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« Histoire de la Mission Timothée »

Dieu, l'homme et la nature

image Dieu, l'homme et la nature




Disponibilité

Épuisé
Prix à titre indicatif. Contactez-nous pour plus de renseignements.
Sous-titre :
L'écologie, nouvel opium du peuple ?
ISBN :
9782849411537
Editeur :
Auteur :
Collection :
Info :
306 pages - Broché - - Prix 22,00 € Livraison reduite
Thèmes :
4e de couverture :
Quelle place l'écologie réserve-t-elle à l'homme ? Sous le couvert de craintes en partie justifiées sur l'avenir de la nature, ne risque-t-on pas de voir émerger une profonde remise en cause des conceptions judéo-chrétiennes et de la place de l'homme dans l'univers ? C'est à cette interrogation essentielle que veut répondre Samuele Furfari.
Pour lui, derrière le discours scientifique ou parfois pseudo-scientifique de l'écologie se cache en fait le retour d'une nouvelle religion reprenant de manière moderne le culte de la nature des sociétés païennes.

Passionnante et vitale, cette réflexion où se mêlent religion, morale et science, nous permet de mieux comprendre les termes d'un débat qui nous concerne tous.

Samuele Furfari, docteur en sciences appliquées et ingénieur, est haut fonctionnaire à la Commission européenne sur les aspects énergétiques et de développement durable ; il a participé notamment aux négociations du protocole de Kyoto. Il enseigne également la géopolitique de l'énergie à l'Université libre de Bruxelles et a publié un ouvrage de référence sur l'énergie : Le Monde et l'Energie. Enjeux géopolitiques (Editions Technip).
Chrétien engagé, Samuele Furfari est président de l'Association des églises protestantes évangéliques de Belgique.
Quelle place l'écologie réserve-t-elle à l'homme ? Sous le couvert de craintes en partie justifiées sur l'avenir de la nature, ne risque-t-on pas de voir émerger une profonde remise en cause des conceptions judéo-chrétiennes et de la place de l'homme dans l'univers ? C'est à cette interrogation essentielle que veut répondre Samuele Furfari.
Pour lui, derrière le discours scientifique ou parfois pseudo-scientifique de l'écologie se cache en fait le retour d'une nouvelle religion reprenant de manière moderne le culte de la nature des sociétés païennes.

Passionnante et vitale, cette réflexion où se mêlent religion, morale et science, nous permet de mieux comprendre les termes d'un débat qui nous concerne tous.

Samuele Furfari, docteur en sciences appliquées et ingénieur, est haut fonctionnaire à la Commission européenne sur les aspects énergétiques et de développement durable ; il a participé notamment aux négociations du protocole de Kyoto. Il enseigne également la géopolitique de l'énergie à l'Université libre de Bruxelles et a publié un ouvrage de référence sur l'énergie : Le Monde et l'Energie. Enjeux géopolitiques (Editions Technip).
Chrétien engagé, Samuele Furfari est président de l'Association des églises protestantes évangéliques de Belgique.
Avis :
• Dans son essai, audacieux, et semble-t-il à première vue, documenté et rigoureux, l’auteur a un mérite certain : interroger ce nouveau dogme de l’écologie et du développement durable. Son souci principal est qu’en réinvestissant la terre d’une sacralité nouvelle, la « vague verte » des écologistes renverse la tendance judéo-chrétienne qui avait prévalu ; elle replace l’homme en serviteur de la Nature. Pour lui, derrière le discours scientifique ou pseudo scientifique de l’écologie se cache en fait le retour du culte de la Nature des sociétés païennes, aliénant l’homme à une réalité qu’il est censé surplomber.

• L’argumentation de Furfari, à la fois scientifique et théologique, se place sur un double front : il attaque d’une part le catastrophisme des discours officiels par une foi dans la Providence de Dieu, et d'autre part l’argumentation scientifique de la « climatologie » par un scepticisme qui en relève toutes les contradictions (ch. 6). Pour ce faire, il replace l’homme et son mandat créationnel dans le cadre du plan de Dieu tel que la Bible le révèle (Ch. II et IX) : l’homme comme intendant est appelé à achever la création par l’usage de ses capacités (ce qui implique une saine gestion des ressources) ; il rappelle en parallèle les manières dont la Nature fut perçue (Ancien et Nouveau Testament, Eglises, New Age, Modernité : ch. II, III, IV, V) en expliquant les origines du mouvement écologiste. L’auteur finit par faire l’apologie (ch. VII, VIII, IX), selon une orientation qu'on pourrait qualifier de néo-calviniste, du judéo-christianisme et de ses valeurs comme source d’un véritable progrès d’où l’homme ne soit pas, en fin de compte, évincé.

• L’avertissement mérite d’être entendu ; il n’est pas besoin de partager les convictions de l’auteur pour prendre conscience du danger idéologique d’un pan-écologisme qui imposerait son mode de pensée – surtout au sein des Eglises – et de l’illusion syncrétiste à laquelle il conduit. Certaines de ses analyses sont à la fois tout à fait pertinentes et courageuses. Mais on regrettera une réflexion orientée par une sorte d’optimisme chrétien que justifie une théologie du mandat culturel : « Vers un monde meilleur » ; se référant à Ellul, l’auteur semble en oublier le pessimisme radical pour le monde tel qu’il va (La raison d’être, Fausse présence au monde moderne).
• Dans son essai, audacieux, et semble-t-il à première vue, documenté et rigoureux, l’auteur a un mérite certain : interroger ce nouveau dogme de l’écologie et du développement durable. Son souci principal est qu’en réinvestissant la terre d’une sacralité nouvelle, la « vague verte » des écologistes renverse la tendance judéo-chrétienne qui avait prévalu ; elle replace l’homme en serviteur de la Nature. Pour lui, derrière le discours scientifique ou pseudo scientifique de l’écologie se cache en fait le retour du culte de la Nature des sociétés païennes, aliénant l’homme à une réalité qu’il est censé surplomber.

• L’argumentation de Furfari, à la fois scientifique et théologique, se place sur un double front : il attaque d’une part le catastrophisme des discours officiels par une foi dans la Providence de Dieu, et d'autre part l’argumentation scientifique de la « climatologie » par un scepticisme qui en relève toutes les contradictions (ch. 6). Pour ce faire, il replace l’homme et son mandat créationnel dans le cadre du plan de Dieu tel que la Bible le révèle (Ch. II et IX) : l’homme comme intendant est appelé à achever la création par l’usage de ses capacités (ce qui implique une saine gestion des ressources) ; il rappelle en parallèle les manières dont la Nature fut perçue (Ancien et Nouveau Testament, Eglises, New Age, Modernité : ch. II, III, IV, V) en expliquant les origines du mouvement écologiste. L’auteur finit par faire l’apologie (ch. VII, VIII, IX), selon une orientation qu'on pourrait qualifier de néo-calviniste, du judéo-christianisme et de ses valeurs comme source d’un véritable progrès d’où l’homme ne soit pas, en fin de compte, évincé.

• L’avertissement mérite d’être entendu ; il n’est pas besoin de partager les convictions de l’auteur pour prendre conscience du danger idéologique d’un pan-écologisme qui imposerait son mode de pensée – surtout au sein des Eglises – et de l’illusion syncrétiste à laquelle il conduit. Certaines de ses analyses sont à la fois tout à fait pertinentes et courageuses. Mais on regrettera une réflexion orientée par une sorte d’optimisme chrétien que justifie une théologie du mandat culturel : « Vers un monde meilleur » ; se référant à Ellul, l’auteur semble en oublier le pessimisme radical pour le monde tel qu’il va (La raison d’être, Fausse présence au monde moderne).

Dieu, l'homme et la nature - L'écologie, nouvel opium du peuple ? - par Samuele FURFARI - Editeur BOURIN EDITEUR



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