De la réforme au protestantisme
Sous-titre :
Essai d'ecclésiologie réformée
ISBN :
9782701000794
Editeur :
Auteur :
Info :
208
pages -
Broché -
1977
-
Prix 36,00 €
Thèmes :
Statut :
Neuf
4e de couverture :
Le présent essai voudrait être une question posée aux Eglises réformées sur le sens de leur vocation en relation avec leurs origines. Se souviennent-elles qu'elle sont été suscitées pour manifester localement l'existence d'une Eglise catholique réformée par la parole de Dieu ?
Comment en est-on venu, historiquement, de la réforme de l'Eglise une à l'existence de communautés séparées les unes des autres ?
Poser un problème n'est pas le résoudre. Peut-être est-ce tout de même une étape sur le chemin de sa solution.
Jaques COURVOISIER, docteur en théologie, est né le 12 février 1900 à Genève. Etudes à Paris, Genève, Tubingue, Strasbourg. Ministère pastoral à Bière (Vaud) et Genève. Professeur ordinaire d'histoire ecclésiastique à l'Université de Genève de 1939 à 1969. Professeur suppléant dans la même discipline à l'Université de Neuchâtel de 1944 à 1956. Recteur de l'Université de Genève de 1958 à 1960. Président de la Conférence permanente des recteurs et vice-chanceliers des Universités européennes de 1964 à 1969. Président de la Commission des prisonniers de guerre du Conseil œcuménique de 1940 à 1950. Président du Centre Universitaire d'études œcuméniques de Bossey de 1955 à 1969.
Comment en est-on venu, historiquement, de la réforme de l'Eglise une à l'existence de communautés séparées les unes des autres ?
Poser un problème n'est pas le résoudre. Peut-être est-ce tout de même une étape sur le chemin de sa solution.
Jaques COURVOISIER, docteur en théologie, est né le 12 février 1900 à Genève. Etudes à Paris, Genève, Tubingue, Strasbourg. Ministère pastoral à Bière (Vaud) et Genève. Professeur ordinaire d'histoire ecclésiastique à l'Université de Genève de 1939 à 1969. Professeur suppléant dans la même discipline à l'Université de Neuchâtel de 1944 à 1956. Recteur de l'Université de Genève de 1958 à 1960. Président de la Conférence permanente des recteurs et vice-chanceliers des Universités européennes de 1964 à 1969. Président de la Commission des prisonniers de guerre du Conseil œcuménique de 1940 à 1950. Président du Centre Universitaire d'études œcuméniques de Bossey de 1955 à 1969.
Le présent essai voudrait être une question posée aux Eglises réformées sur le sens de leur vocation en relation avec leurs origines. Se souviennent-elles qu'elle sont été suscitées pour manifester localement l'existence d'une Eglise catholique réformée par la parole de Dieu ?
Comment en est-on venu, historiquement, de la réforme de l'Eglise une à l'existence de communautés séparées les unes des autres ?
Poser un problème n'est pas le résoudre. Peut-être est-ce tout de même une étape sur le chemin de sa solution.
Jaques COURVOISIER, docteur en théologie, est né le 12 février 1900 à Genève. Etudes à Paris, Genève, Tubingue, Strasbourg. Ministère pastoral à Bière (Vaud) et Genève. Professeur ordinaire d'histoire ecclésiastique à l'Université de Genève de 1939 à 1969. Professeur suppléant dans la même discipline à l'Université de Neuchâtel de 1944 à 1956. Recteur de l'Université de Genève de 1958 à 1960. Président de la Conférence permanente des recteurs et vice-chanceliers des Universités européennes de 1964 à 1969. Président de la Commission des prisonniers de guerre du Conseil œcuménique de 1940 à 1950. Président du Centre Universitaire d'études œcuméniques de Bossey de 1955 à 1969.
Comment en est-on venu, historiquement, de la réforme de l'Eglise une à l'existence de communautés séparées les unes des autres ?
Poser un problème n'est pas le résoudre. Peut-être est-ce tout de même une étape sur le chemin de sa solution.
Jaques COURVOISIER, docteur en théologie, est né le 12 février 1900 à Genève. Etudes à Paris, Genève, Tubingue, Strasbourg. Ministère pastoral à Bière (Vaud) et Genève. Professeur ordinaire d'histoire ecclésiastique à l'Université de Genève de 1939 à 1969. Professeur suppléant dans la même discipline à l'Université de Neuchâtel de 1944 à 1956. Recteur de l'Université de Genève de 1958 à 1960. Président de la Conférence permanente des recteurs et vice-chanceliers des Universités européennes de 1964 à 1969. Président de la Commission des prisonniers de guerre du Conseil œcuménique de 1940 à 1950. Président du Centre Universitaire d'études œcuméniques de Bossey de 1955 à 1969.
Avis :
- Réflexion sérieuse et exigeante sur la vocation initiale de la Réforme, définie dans sa recherche d'une Réforme de l'Eglise catholique romaine en vue d'une Eglise catholique au sens d'universelle.
- La thèse de l'auteur est que la conscience d'un protestantisme indépendant vis-à -vis du catholicisme est une évolution de l'histoire et ne correspondait pas à la volonté première des réformateurs, qui visait non la création d'une nouvelle église mais la transformation de celle existante.
- Dans cette perspective, l'auteur définit l'ecclésiologie des premiers réformateurs (Zwingli, Calvin, Bucer) par rapport à celle de l'Eglise romaine et à celle des anabaptistes, et étudie ensuite l'orthodoxie et les apports puritains et piétistes qui feront évoluer les églises réformées vers le protestantisme.
- Malgré une lecture oeucuménisante qui comporte une certaine ambiguïté entre catholicité de l'Eglise et unité institutionnelle (les termes sont assez mal définis), l'essai s'avère extrêmement intéressant, éclairant et stimulant pour comprendre les différentes manières de concevoir l'Eglise. Ouvrage incontournable il nous semble pour une réflexion authentique sur le sujet.
- La thèse de l'auteur est que la conscience d'un protestantisme indépendant vis-à -vis du catholicisme est une évolution de l'histoire et ne correspondait pas à la volonté première des réformateurs, qui visait non la création d'une nouvelle église mais la transformation de celle existante.
- Dans cette perspective, l'auteur définit l'ecclésiologie des premiers réformateurs (Zwingli, Calvin, Bucer) par rapport à celle de l'Eglise romaine et à celle des anabaptistes, et étudie ensuite l'orthodoxie et les apports puritains et piétistes qui feront évoluer les églises réformées vers le protestantisme.
- Malgré une lecture oeucuménisante qui comporte une certaine ambiguïté entre catholicité de l'Eglise et unité institutionnelle (les termes sont assez mal définis), l'essai s'avère extrêmement intéressant, éclairant et stimulant pour comprendre les différentes manières de concevoir l'Eglise. Ouvrage incontournable il nous semble pour une réflexion authentique sur le sujet.
- Réflexion sérieuse et exigeante sur la vocation initiale de la Réforme, définie dans sa recherche d'une Réforme de l'Eglise catholique romaine en vue d'une Eglise catholique au sens d'universelle.
- La thèse de l'auteur est que la conscience d'un protestantisme indépendant vis-à -vis du catholicisme est une évolution de l'histoire et ne correspondait pas à la volonté première des réformateurs, qui visait non la création d'une nouvelle église mais la transformation de celle existante.
- Dans cette perspective, l'auteur définit l'ecclésiologie des premiers réformateurs (Zwingli, Calvin, Bucer) par rapport à celle de l'Eglise romaine et à celle des anabaptistes, et étudie ensuite l'orthodoxie et les apports puritains et piétistes qui feront évoluer les églises réformées vers le protestantisme.
- Malgré une lecture oeucuménisante qui comporte une certaine ambiguïté entre catholicité de l'Eglise et unité institutionnelle (les termes sont assez mal définis), l'essai s'avère extrêmement intéressant, éclairant et stimulant pour comprendre les différentes manières de concevoir l'Eglise. Ouvrage incontournable il nous semble pour une réflexion authentique sur le sujet.
- La thèse de l'auteur est que la conscience d'un protestantisme indépendant vis-à -vis du catholicisme est une évolution de l'histoire et ne correspondait pas à la volonté première des réformateurs, qui visait non la création d'une nouvelle église mais la transformation de celle existante.
- Dans cette perspective, l'auteur définit l'ecclésiologie des premiers réformateurs (Zwingli, Calvin, Bucer) par rapport à celle de l'Eglise romaine et à celle des anabaptistes, et étudie ensuite l'orthodoxie et les apports puritains et piétistes qui feront évoluer les églises réformées vers le protestantisme.
- Malgré une lecture oeucuménisante qui comporte une certaine ambiguïté entre catholicité de l'Eglise et unité institutionnelle (les termes sont assez mal définis), l'essai s'avère extrêmement intéressant, éclairant et stimulant pour comprendre les différentes manières de concevoir l'Eglise. Ouvrage incontournable il nous semble pour une réflexion authentique sur le sujet.


