Dans les pas de Joachim du Bellay
Sous-titre :
Poète angevin 1522-1560
ISBN :
9782847125160
Editeur :
Auteur :
Info :
200
pages -
Broché -
2016
-
Prix 20,00 €
Thèmes :
4e de couverture :
Joachim du Bellay est né il y a 500 ans.?La douceur angevine de ses vers coule encore à nos oreilles, comme la Loire entre ses rives.?Orphelin de père et mère, de santé fragile, il laisse une œuvre empreinte d'une douce et immortelle nostalgie.
Ses vers décrivent sa vie, ses pensées. Ce fier gentilhomme de Liré, porteur d'un nom célèbre à la cour, devient l'ami de Marguerite, sœur du roi. Ses premiers poèmes, sa Défense et illustration de la langue française et sa participation au mouvement littéraire de la Pléiade le rendent célèbre mais, faute d'emploi, il part à Rome au service de son cousin le cardinal Jean. Il y passe quatre ans et y écrit ses plus beaux poèmes, ceux des Regrets, où il exprime sa tristesse romantique d'exilé.
Moins heureux qu'Ulysse, il revient à Paris, devient sourd et malade, est renié par le cardinal qu'il a servi, voit mourir en tournoi le roi Henri qu'il aimait, puis partir sa protectrice Marguerite. Il s'éteint dans le chagrin le 1er janvier 1560 avant d'avoir atteint sa trente-huitième année.
Ses vers décrivent sa vie, ses pensées. Ce fier gentilhomme de Liré, porteur d'un nom célèbre à la cour, devient l'ami de Marguerite, sœur du roi. Ses premiers poèmes, sa Défense et illustration de la langue française et sa participation au mouvement littéraire de la Pléiade le rendent célèbre mais, faute d'emploi, il part à Rome au service de son cousin le cardinal Jean. Il y passe quatre ans et y écrit ses plus beaux poèmes, ceux des Regrets, où il exprime sa tristesse romantique d'exilé.
Moins heureux qu'Ulysse, il revient à Paris, devient sourd et malade, est renié par le cardinal qu'il a servi, voit mourir en tournoi le roi Henri qu'il aimait, puis partir sa protectrice Marguerite. Il s'éteint dans le chagrin le 1er janvier 1560 avant d'avoir atteint sa trente-huitième année.
Joachim du Bellay est né il y a 500 ans.?La douceur angevine de ses vers coule encore à nos oreilles, comme la Loire entre ses rives.?Orphelin de père et mère, de santé fragile, il laisse une œuvre empreinte d'une douce et immortelle nostalgie.
Ses vers décrivent sa vie, ses pensées. Ce fier gentilhomme de Liré, porteur d'un nom célèbre à la cour, devient l'ami de Marguerite, sœur du roi. Ses premiers poèmes, sa Défense et illustration de la langue française et sa participation au mouvement littéraire de la Pléiade le rendent célèbre mais, faute d'emploi, il part à Rome au service de son cousin le cardinal Jean. Il y passe quatre ans et y écrit ses plus beaux poèmes, ceux des Regrets, où il exprime sa tristesse romantique d'exilé.
Moins heureux qu'Ulysse, il revient à Paris, devient sourd et malade, est renié par le cardinal qu'il a servi, voit mourir en tournoi le roi Henri qu'il aimait, puis partir sa protectrice Marguerite. Il s'éteint dans le chagrin le 1er janvier 1560 avant d'avoir atteint sa trente-huitième année.
Ses vers décrivent sa vie, ses pensées. Ce fier gentilhomme de Liré, porteur d'un nom célèbre à la cour, devient l'ami de Marguerite, sœur du roi. Ses premiers poèmes, sa Défense et illustration de la langue française et sa participation au mouvement littéraire de la Pléiade le rendent célèbre mais, faute d'emploi, il part à Rome au service de son cousin le cardinal Jean. Il y passe quatre ans et y écrit ses plus beaux poèmes, ceux des Regrets, où il exprime sa tristesse romantique d'exilé.
Moins heureux qu'Ulysse, il revient à Paris, devient sourd et malade, est renié par le cardinal qu'il a servi, voit mourir en tournoi le roi Henri qu'il aimait, puis partir sa protectrice Marguerite. Il s'éteint dans le chagrin le 1er janvier 1560 avant d'avoir atteint sa trente-huitième année.