La deuxième épître de Pierre ; l'épître de saint Jude
Sous-titre :
Cnt XIIIb
ISBN :
9782830901238
Editeur :
Auteur :
Collection :
Info :
194
pages -
Broché -
1988
-
Prix 32,50 €
Thèmes :
4e de couverture :
Ces deux épîtres du Nouveau Testament sont souvent méconnues, voire mal aimées. Ce commentaire veut démontrer que c'est à tort qu'on en juge ainsi.
Pour sa part, la « Deuxième épître de Pierre est un témoignage – sous forme d'un discours d'adieu – du combat de l'Eglise au début du deuxième siècle pour demeurer fidèle à la doctrine apostolique, ébranlée par la gnose naissante. C'est probablement un des intérêts majeurs de ce texte, de nous faire voir comment certains responsables d'Eglise ont apprécié le danger d'hellénisation de la foi chrétienne.
Quant à « L'épître de Jude », un des écrits les plus brefs du Nouveau Testament, pétrie de littérature juive – apocalyptique en particulier – elle est aussi un témoignage des difficultés de la communauté chrétienne à la fin du premier siècle, sur le plan moral et spirituel. Elle est remarquable par l'utilisation qu'elle fait des textes apocryphes juifs et par le monde d'interprétation typologique de l'Ecriture qu'elle défend. Elle a par ailleurs servi de matériau à l'auteur de 2 Pierre.
Eric Fuchs est professeur honoraire de l'Université de Genève. Spécialiste de l'éthique et de Calvin, il a écrit de nombreux ouvrages sur le protestantisme, la morale ou l'esthétique, dont “Comment faire pour bien faire ? ”, Labor et Fides 1995, “Le désir et la tendresse”, Albin Michel/Labor et Fides 1998 et “Faire voir l'invisible”, Labor et Fides, 2005.
Né en 1931, Pierre Bonnard a fait des études de lettres classiques et de théologie à Genève. Il a été aumônier des étudiants à Genève de 1959 à 1970, puis directeur de la revue « Evangile et culture ».
Pour sa part, la « Deuxième épître de Pierre est un témoignage – sous forme d'un discours d'adieu – du combat de l'Eglise au début du deuxième siècle pour demeurer fidèle à la doctrine apostolique, ébranlée par la gnose naissante. C'est probablement un des intérêts majeurs de ce texte, de nous faire voir comment certains responsables d'Eglise ont apprécié le danger d'hellénisation de la foi chrétienne.
Quant à « L'épître de Jude », un des écrits les plus brefs du Nouveau Testament, pétrie de littérature juive – apocalyptique en particulier – elle est aussi un témoignage des difficultés de la communauté chrétienne à la fin du premier siècle, sur le plan moral et spirituel. Elle est remarquable par l'utilisation qu'elle fait des textes apocryphes juifs et par le monde d'interprétation typologique de l'Ecriture qu'elle défend. Elle a par ailleurs servi de matériau à l'auteur de 2 Pierre.
Eric Fuchs est professeur honoraire de l'Université de Genève. Spécialiste de l'éthique et de Calvin, il a écrit de nombreux ouvrages sur le protestantisme, la morale ou l'esthétique, dont “Comment faire pour bien faire ? ”, Labor et Fides 1995, “Le désir et la tendresse”, Albin Michel/Labor et Fides 1998 et “Faire voir l'invisible”, Labor et Fides, 2005.
Né en 1931, Pierre Bonnard a fait des études de lettres classiques et de théologie à Genève. Il a été aumônier des étudiants à Genève de 1959 à 1970, puis directeur de la revue « Evangile et culture ».
Ces deux épîtres du Nouveau Testament sont souvent méconnues, voire mal aimées. Ce commentaire veut démontrer que c'est à tort qu'on en juge ainsi.
Pour sa part, la « Deuxième épître de Pierre est un témoignage – sous forme d'un discours d'adieu – du combat de l'Eglise au début du deuxième siècle pour demeurer fidèle à la doctrine apostolique, ébranlée par la gnose naissante. C'est probablement un des intérêts majeurs de ce texte, de nous faire voir comment certains responsables d'Eglise ont apprécié le danger d'hellénisation de la foi chrétienne.
Quant à « L'épître de Jude », un des écrits les plus brefs du Nouveau Testament, pétrie de littérature juive – apocalyptique en particulier – elle est aussi un témoignage des difficultés de la communauté chrétienne à la fin du premier siècle, sur le plan moral et spirituel. Elle est remarquable par l'utilisation qu'elle fait des textes apocryphes juifs et par le monde d'interprétation typologique de l'Ecriture qu'elle défend. Elle a par ailleurs servi de matériau à l'auteur de 2 Pierre.
Eric Fuchs est professeur honoraire de l'Université de Genève. Spécialiste de l'éthique et de Calvin, il a écrit de nombreux ouvrages sur le protestantisme, la morale ou l'esthétique, dont “Comment faire pour bien faire ? ”, Labor et Fides 1995, “Le désir et la tendresse”, Albin Michel/Labor et Fides 1998 et “Faire voir l'invisible”, Labor et Fides, 2005.
Né en 1931, Pierre Bonnard a fait des études de lettres classiques et de théologie à Genève. Il a été aumônier des étudiants à Genève de 1959 à 1970, puis directeur de la revue « Evangile et culture ».
Pour sa part, la « Deuxième épître de Pierre est un témoignage – sous forme d'un discours d'adieu – du combat de l'Eglise au début du deuxième siècle pour demeurer fidèle à la doctrine apostolique, ébranlée par la gnose naissante. C'est probablement un des intérêts majeurs de ce texte, de nous faire voir comment certains responsables d'Eglise ont apprécié le danger d'hellénisation de la foi chrétienne.
Quant à « L'épître de Jude », un des écrits les plus brefs du Nouveau Testament, pétrie de littérature juive – apocalyptique en particulier – elle est aussi un témoignage des difficultés de la communauté chrétienne à la fin du premier siècle, sur le plan moral et spirituel. Elle est remarquable par l'utilisation qu'elle fait des textes apocryphes juifs et par le monde d'interprétation typologique de l'Ecriture qu'elle défend. Elle a par ailleurs servi de matériau à l'auteur de 2 Pierre.
Eric Fuchs est professeur honoraire de l'Université de Genève. Spécialiste de l'éthique et de Calvin, il a écrit de nombreux ouvrages sur le protestantisme, la morale ou l'esthétique, dont “Comment faire pour bien faire ? ”, Labor et Fides 1995, “Le désir et la tendresse”, Albin Michel/Labor et Fides 1998 et “Faire voir l'invisible”, Labor et Fides, 2005.
Né en 1931, Pierre Bonnard a fait des études de lettres classiques et de théologie à Genève. Il a été aumônier des étudiants à Genève de 1959 à 1970, puis directeur de la revue « Evangile et culture ».