Des églises d'Occident face aux exportations d'armes
ISBN :
9782858009657
Editeur :
Auteur :
Info :
135
pages -
Broché -
1979
-
Prix 2,00 €
Thèmes :
4e de couverture :
PRIX INITIAL = 19€
Mitrailleuses et canons, bombes et napalm, avions et missiles, chars et navires constituent ce que l'on appelle les armes conventionnelles. A la différence de l'arme nucléaire, autrement destructrice mais qui n'a pas été employée depuis Hiroshima, les armes conventionnelles sont utilisées, depuis la fin de la guerre mondiale, dans les guerres qui éclatent en un point ou l'autre du monde.
Les pays industrialisés produisent et exportent la plus grande partie de ces armes. Quatre-vingt-dix pour cent des exportations d'armes sont réalisées, sous la responsabilité des gouvernements, par quatre pays. Les États-Unis et l'U.R.S.S. viennent en tête, puis la France et la Grande-Bretagne. La France se classe même au premier rang de la vente d'armes par tête d'habitant...
Dans la crise économique actuelle, tous les pays exportateurs sont tentés, pour équilibrer leur balance des paiements, d'exploiter au maximum les possibilités d'exportation d'armements et de matériel militaire. De plus, les industries d'armement fournissent, dans chaque pays, un nombre important d'emplois (270.000 environ, en France). Mais des femmes, des hommes, des syndicats, des groupements culturels, des partis politiques sont conscients que le commerce des armes est un problème économique et politique, mais aussi un problème moral. On ne vend pas des armes impunément.
Dans ce contexte, les Églises, depuis les années 60, dénoncent le caractère scandaleux de la course aux armements et du commerce des armes. A partir de 1969-1970, des Églises se sont exprimées en fonction de la situation même de leur pays. Le 13 avril 1973, une déclaration œcuménique en France. Puis, en Angleterre (1976-1977) et aux États-Unis (1978), des déclarations du même genre sont publiées. Un point commun : ces déclarations ne sont pas seulement un cri. Elles proposent une étude documentée sur cette « plaie collective » qu'est la course aux armements.
Les Églises n'ont pas compétence pour indiquer des solutions techniques et politiques. Leur mission propre, en raison de l'espérance d'un monde renouvelé, est de repousser tout sentiment de résignation à une fatalité et de refuser toute capitulation devant les déterminismes de violence qui dominent actuellement le monde.
Mitrailleuses et canons, bombes et napalm, avions et missiles, chars et navires constituent ce que l'on appelle les armes conventionnelles. A la différence de l'arme nucléaire, autrement destructrice mais qui n'a pas été employée depuis Hiroshima, les armes conventionnelles sont utilisées, depuis la fin de la guerre mondiale, dans les guerres qui éclatent en un point ou l'autre du monde.
Les pays industrialisés produisent et exportent la plus grande partie de ces armes. Quatre-vingt-dix pour cent des exportations d'armes sont réalisées, sous la responsabilité des gouvernements, par quatre pays. Les États-Unis et l'U.R.S.S. viennent en tête, puis la France et la Grande-Bretagne. La France se classe même au premier rang de la vente d'armes par tête d'habitant...
Dans la crise économique actuelle, tous les pays exportateurs sont tentés, pour équilibrer leur balance des paiements, d'exploiter au maximum les possibilités d'exportation d'armements et de matériel militaire. De plus, les industries d'armement fournissent, dans chaque pays, un nombre important d'emplois (270.000 environ, en France). Mais des femmes, des hommes, des syndicats, des groupements culturels, des partis politiques sont conscients que le commerce des armes est un problème économique et politique, mais aussi un problème moral. On ne vend pas des armes impunément.
Dans ce contexte, les Églises, depuis les années 60, dénoncent le caractère scandaleux de la course aux armements et du commerce des armes. A partir de 1969-1970, des Églises se sont exprimées en fonction de la situation même de leur pays. Le 13 avril 1973, une déclaration œcuménique en France. Puis, en Angleterre (1976-1977) et aux États-Unis (1978), des déclarations du même genre sont publiées. Un point commun : ces déclarations ne sont pas seulement un cri. Elles proposent une étude documentée sur cette « plaie collective » qu'est la course aux armements.
Les Églises n'ont pas compétence pour indiquer des solutions techniques et politiques. Leur mission propre, en raison de l'espérance d'un monde renouvelé, est de repousser tout sentiment de résignation à une fatalité et de refuser toute capitulation devant les déterminismes de violence qui dominent actuellement le monde.
PRIX INITIAL = 19€
Mitrailleuses et canons, bombes et napalm, avions et missiles, chars et navires constituent ce que l'on appelle les armes conventionnelles. A la différence de l'arme nucléaire, autrement destructrice mais qui n'a pas été employée depuis Hiroshima, les armes conventionnelles sont utilisées, depuis la fin de la guerre mondiale, dans les guerres qui éclatent en un point ou l'autre du monde.
Les pays industrialisés produisent et exportent la plus grande partie de ces armes. Quatre-vingt-dix pour cent des exportations d'armes sont réalisées, sous la responsabilité des gouvernements, par quatre pays. Les États-Unis et l'U.R.S.S. viennent en tête, puis la France et la Grande-Bretagne. La France se classe même au premier rang de la vente d'armes par tête d'habitant...
Dans la crise économique actuelle, tous les pays exportateurs sont tentés, pour équilibrer leur balance des paiements, d'exploiter au maximum les possibilités d'exportation d'armements et de matériel militaire. De plus, les industries d'armement fournissent, dans chaque pays, un nombre important d'emplois (270.000 environ, en France). Mais des femmes, des hommes, des syndicats, des groupements culturels, des partis politiques sont conscients que le commerce des armes est un problème économique et politique, mais aussi un problème moral. On ne vend pas des armes impunément.
Dans ce contexte, les Églises, depuis les années 60, dénoncent le caractère scandaleux de la course aux armements et du commerce des armes. A partir de 1969-1970, des Églises se sont exprimées en fonction de la situation même de leur pays. Le 13 avril 1973, une déclaration œcuménique en France. Puis, en Angleterre (1976-1977) et aux États-Unis (1978), des déclarations du même genre sont publiées. Un point commun : ces déclarations ne sont pas seulement un cri. Elles proposent une étude documentée sur cette « plaie collective » qu'est la course aux armements.
Les Églises n'ont pas compétence pour indiquer des solutions techniques et politiques. Leur mission propre, en raison de l'espérance d'un monde renouvelé, est de repousser tout sentiment de résignation à une fatalité et de refuser toute capitulation devant les déterminismes de violence qui dominent actuellement le monde.
Mitrailleuses et canons, bombes et napalm, avions et missiles, chars et navires constituent ce que l'on appelle les armes conventionnelles. A la différence de l'arme nucléaire, autrement destructrice mais qui n'a pas été employée depuis Hiroshima, les armes conventionnelles sont utilisées, depuis la fin de la guerre mondiale, dans les guerres qui éclatent en un point ou l'autre du monde.
Les pays industrialisés produisent et exportent la plus grande partie de ces armes. Quatre-vingt-dix pour cent des exportations d'armes sont réalisées, sous la responsabilité des gouvernements, par quatre pays. Les États-Unis et l'U.R.S.S. viennent en tête, puis la France et la Grande-Bretagne. La France se classe même au premier rang de la vente d'armes par tête d'habitant...
Dans la crise économique actuelle, tous les pays exportateurs sont tentés, pour équilibrer leur balance des paiements, d'exploiter au maximum les possibilités d'exportation d'armements et de matériel militaire. De plus, les industries d'armement fournissent, dans chaque pays, un nombre important d'emplois (270.000 environ, en France). Mais des femmes, des hommes, des syndicats, des groupements culturels, des partis politiques sont conscients que le commerce des armes est un problème économique et politique, mais aussi un problème moral. On ne vend pas des armes impunément.
Dans ce contexte, les Églises, depuis les années 60, dénoncent le caractère scandaleux de la course aux armements et du commerce des armes. A partir de 1969-1970, des Églises se sont exprimées en fonction de la situation même de leur pays. Le 13 avril 1973, une déclaration œcuménique en France. Puis, en Angleterre (1976-1977) et aux États-Unis (1978), des déclarations du même genre sont publiées. Un point commun : ces déclarations ne sont pas seulement un cri. Elles proposent une étude documentée sur cette « plaie collective » qu'est la course aux armements.
Les Églises n'ont pas compétence pour indiquer des solutions techniques et politiques. Leur mission propre, en raison de l'espérance d'un monde renouvelé, est de repousser tout sentiment de résignation à une fatalité et de refuser toute capitulation devant les déterminismes de violence qui dominent actuellement le monde.