Chrétiens devant l'injustice
Sous-titre :
Question œcuménique et responsabilité individuelle
ISBN :
9782830900309
Editeur :
Auteur :
Info :
120
pages -
1985
-
Prix 11,20 €
Thèmes :
4e de couverture :
Au sein des débats actuels sur l'engaÂgement chrétien dans le monde, l'exiÂgence de la « justice » apparaît centrale. N'est-elle pas liée au Royaume, qu'il faut chercher premièrement ? Mais le terme justice a plusieurs sens. Il faut tenter d'y voir clair. La première partie de cet ouvrage est consacrée à l'expéÂrience commune que nous faisons de l'injustice et aux essais de définir la jusÂtice, souvent représentée « les yeux banÂdés ». Paradoxalement, le témoignage biblique parle d'une jusÂtice qui « voit » la détresse de l'opprimé et qui « intervient » pour le libérer de l'injustice, celle des autres et la sienne. C'est l'objet de la seconde partie. Dans la troisième sont évoquées quelÂques étapes de l'histoire où l'on a cherché à articuler ces deux justices, une orientation qui s'exprime aujourd'hui dans les documents des Eglises, tant à Rome qu'au Conseil Å“cuméniÂque. L'auteur examine certaines critiques qui leur sont faites et conclut dans le sens d'une justice sociale qui ne saurait se confondre avec la justice salvatrice de Dieu, mais qui néanÂmoins en tire sa force et s'oriente à sa lumière.
Au sein des débats actuels sur l'engaÂgement chrétien dans le monde, l'exiÂgence de la « justice » apparaît centrale. N'est-elle pas liée au Royaume, qu'il faut chercher premièrement ? Mais le terme justice a plusieurs sens. Il faut tenter d'y voir clair. La première partie de cet ouvrage est consacrée à l'expéÂrience commune que nous faisons de l'injustice et aux essais de définir la jusÂtice, souvent représentée « les yeux banÂdés ». Paradoxalement, le témoignage biblique parle d'une jusÂtice qui « voit » la détresse de l'opprimé et qui « intervient » pour le libérer de l'injustice, celle des autres et la sienne. C'est l'objet de la seconde partie. Dans la troisième sont évoquées quelÂques étapes de l'histoire où l'on a cherché à articuler ces deux justices, une orientation qui s'exprime aujourd'hui dans les documents des Eglises, tant à Rome qu'au Conseil Å“cuméniÂque. L'auteur examine certaines critiques qui leur sont faites et conclut dans le sens d'une justice sociale qui ne saurait se confondre avec la justice salvatrice de Dieu, mais qui néanÂmoins en tire sa force et s'oriente à sa lumière.