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Charles Dickens, la musique et la vie artistique à Londres à l'époque victorienne

image Charles Dickens, la musique et la vie artistique à Londres à l'époque victorienne




Disponibilité

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ISBN :
9782701020341
Editeur :
Auteur :
Info :
268 pages - Broché - - Prix 23,00 € Livraison reduite
Thèmes :
Statut :
Neuf
4e de couverture :
Au travers du récit que James Lyon nous fait de l'existence de Dickens, il apparaît bien vite que l'écrivain se doublait d'un précieux défenseur des arts et de la musique. Rares sont pourtant ses écrits musicographiques ; c'est au travers des références musicales qui entrent dans ses livres que l'on constate la grande culture musicale de l'écrivain. Il se profilera d'ailleurs de plus en plus comme le défenseur d'une musique authentiquement anglaise, forte de cette tradition évoquée plus haut.

Et s'il ne fallait qu'un seul témoignage enthousiaste pour décrire la grandeur musicale de l'Angleterre, il suffit de lire le témoignage de Berlioz (cité ci-dessous aux pages 52 à 56) à la suite d'un concert des Charity Children donné à la cathédrale St Paul en juin 1851, qu'il termine par ce véritable credo : « ... à l'aide des premiers rudiments de la musique, les Anglais veulent et peuvent. Grand peuple, qui a l'instinct des grandes choses ! ! ! L'âme de Shakespeare est en lui ! »

Et quelques semaines plus tard d'ajouter : « Il n'y a pas de ville au monde où l'on consomme autant de musique que Londres. »

Les pages qui suivent ont l'immense mérite d'éclairer de nombreuses zones d'ombre sur une culture humaniste exemplaire et néanmoins peu chauvine, surtout si on la lit au travers des écrits de Dickens.

La richesse des informations et des références que renferme ce livre, baignant constamment dans ce monde musical qui apparaît sous toutes ses formes, entre une chanson populaire ou une musique plus savante, fait littéralement saliver l'imagination du lecteur qui ne doit pas appréhender ce livre dans un souci de retenir tout le savoir qu'il renferme.
Au travers du récit que James Lyon nous fait de l'existence de Dickens, il apparaît bien vite que l'écrivain se doublait d'un précieux défenseur des arts et de la musique. Rares sont pourtant ses écrits musicographiques ; c'est au travers des références musicales qui entrent dans ses livres que l'on constate la grande culture musicale de l'écrivain. Il se profilera d'ailleurs de plus en plus comme le défenseur d'une musique authentiquement anglaise, forte de cette tradition évoquée plus haut.

Et s'il ne fallait qu'un seul témoignage enthousiaste pour décrire la grandeur musicale de l'Angleterre, il suffit de lire le témoignage de Berlioz (cité ci-dessous aux pages 52 à 56) à la suite d'un concert des Charity Children donné à la cathédrale St Paul en juin 1851, qu'il termine par ce véritable credo : « ... à l'aide des premiers rudiments de la musique, les Anglais veulent et peuvent. Grand peuple, qui a l'instinct des grandes choses ! ! ! L'âme de Shakespeare est en lui ! »

Et quelques semaines plus tard d'ajouter : « Il n'y a pas de ville au monde où l'on consomme autant de musique que Londres. »

Les pages qui suivent ont l'immense mérite d'éclairer de nombreuses zones d'ombre sur une culture humaniste exemplaire et néanmoins peu chauvine, surtout si on la lit au travers des écrits de Dickens.

La richesse des informations et des références que renferme ce livre, baignant constamment dans ce monde musical qui apparaît sous toutes ses formes, entre une chanson populaire ou une musique plus savante, fait littéralement saliver l'imagination du lecteur qui ne doit pas appréhender ce livre dans un souci de retenir tout le savoir qu'il renferme.

Charles Dickens, la musique et la vie artistique à Londres à l'époque victorienne - par James LYON - Editeur BEAUCHESNE


Tél. : Alès 04.66.86.16.61 - Cholet 02.41.58.01.17 - Rennes 09.73.88.08.09