Cévennes 1944
ISBN :
9782956606109
Editeur :
Auteur :
Info :
263
pages -
Relié -
2019
-
Prix 30,00 €
Thèmes :
4e de couverture :
STO, réfractaires, des Maquis à la libération
Récits, témoignages et documents inédits
Des STO (Service du Travail Obligatoire) cévenols réquisitionnés sont envoyés au service des nazis dans les usines colossales IG Farben d'Auschwitz ; ils côtoient, dans leur besogne quotidienne, les "pyjamas" (déportés en camp de concentration).
Ceux qui refusent deviennent des réfractaires et, obligés de se cacher, se réfugient dans les premiers Maquis qui les aident à compenser leurs difficultés morales et matérielles.
Au cœur des Cévennes où toujours plus nombreux ils se réfugient, les réfractaires font l'objet d'une chasse continue. Les nazis, aidés de collaborateurs et délateurs français, les traquent dans leurs refuges les plus retranchés de la montagne de l'Aigoual. Les dramatiques évènements d'Aire-de-Côte et des "Pendus de Nîmes" initient les Cévenols à la réalité de la guerre et renforcent l'esprit de la Résistance. La répression barbare de l'occupant cause stupeur, consternation, haine contre l'Occupant.
La Gestapo, les Waffen SS, la Milice multiplient contre les Maquis les mesures de répression. Les dénonciations entraînent tortures et pertes de grands Résistants cévenols qui sont jetés dans le Puits de Célas.
Churchill consent au support de la Résistance qui peut faciliter l'avancée des troupes alliées. Il charge le Special Operations Executive (SOE) de "mettre le feu à l'Europe", programme de sabotage industriel (Unité de Salindres) et met en place le plan Jedburgh : parachuter des équipes alliées parlant français derrière les lignes ennemies, au cœur de la Résistance. La mission Isotrope, les équipes Jedburgh Packard et Minaret appuient, coordonnent et contrôlent les actions de la Résistance Cévenoles dans ses batailles pour la Libérations.
"Une illustration exceptionnelle dont l'intérêt est encore rehaussé par des documents concernant les missions alliées parachutées en 1944 sur le territoire, des enquêtes quasiment ethnographiques dans les familles qui conservent les souvenirs [...] C'est là aussi que se construit l'unité nationale et que les messages des générations passées peuvent atteindre celles d'aujourd'hui : le bel ouvrage de Ginès Diaz sera là , pour chacun, afin de retrouver celles et ceux qui l'ont été l'honneur de la France".
Jean-Claude Richard Ralite, Directeur de recherche CNRS
Récits, témoignages et documents inédits
Des STO (Service du Travail Obligatoire) cévenols réquisitionnés sont envoyés au service des nazis dans les usines colossales IG Farben d'Auschwitz ; ils côtoient, dans leur besogne quotidienne, les "pyjamas" (déportés en camp de concentration).
Ceux qui refusent deviennent des réfractaires et, obligés de se cacher, se réfugient dans les premiers Maquis qui les aident à compenser leurs difficultés morales et matérielles.
Au cœur des Cévennes où toujours plus nombreux ils se réfugient, les réfractaires font l'objet d'une chasse continue. Les nazis, aidés de collaborateurs et délateurs français, les traquent dans leurs refuges les plus retranchés de la montagne de l'Aigoual. Les dramatiques évènements d'Aire-de-Côte et des "Pendus de Nîmes" initient les Cévenols à la réalité de la guerre et renforcent l'esprit de la Résistance. La répression barbare de l'occupant cause stupeur, consternation, haine contre l'Occupant.
La Gestapo, les Waffen SS, la Milice multiplient contre les Maquis les mesures de répression. Les dénonciations entraînent tortures et pertes de grands Résistants cévenols qui sont jetés dans le Puits de Célas.
Churchill consent au support de la Résistance qui peut faciliter l'avancée des troupes alliées. Il charge le Special Operations Executive (SOE) de "mettre le feu à l'Europe", programme de sabotage industriel (Unité de Salindres) et met en place le plan Jedburgh : parachuter des équipes alliées parlant français derrière les lignes ennemies, au cœur de la Résistance. La mission Isotrope, les équipes Jedburgh Packard et Minaret appuient, coordonnent et contrôlent les actions de la Résistance Cévenoles dans ses batailles pour la Libérations.
"Une illustration exceptionnelle dont l'intérêt est encore rehaussé par des documents concernant les missions alliées parachutées en 1944 sur le territoire, des enquêtes quasiment ethnographiques dans les familles qui conservent les souvenirs [...] C'est là aussi que se construit l'unité nationale et que les messages des générations passées peuvent atteindre celles d'aujourd'hui : le bel ouvrage de Ginès Diaz sera là , pour chacun, afin de retrouver celles et ceux qui l'ont été l'honneur de la France".
Jean-Claude Richard Ralite, Directeur de recherche CNRS
STO, réfractaires, des Maquis à la libération
Récits, témoignages et documents inédits
Des STO (Service du Travail Obligatoire) cévenols réquisitionnés sont envoyés au service des nazis dans les usines colossales IG Farben d'Auschwitz ; ils côtoient, dans leur besogne quotidienne, les "pyjamas" (déportés en camp de concentration).
Ceux qui refusent deviennent des réfractaires et, obligés de se cacher, se réfugient dans les premiers Maquis qui les aident à compenser leurs difficultés morales et matérielles.
Au cœur des Cévennes où toujours plus nombreux ils se réfugient, les réfractaires font l'objet d'une chasse continue. Les nazis, aidés de collaborateurs et délateurs français, les traquent dans leurs refuges les plus retranchés de la montagne de l'Aigoual. Les dramatiques évènements d'Aire-de-Côte et des "Pendus de Nîmes" initient les Cévenols à la réalité de la guerre et renforcent l'esprit de la Résistance. La répression barbare de l'occupant cause stupeur, consternation, haine contre l'Occupant.
La Gestapo, les Waffen SS, la Milice multiplient contre les Maquis les mesures de répression. Les dénonciations entraînent tortures et pertes de grands Résistants cévenols qui sont jetés dans le Puits de Célas.
Churchill consent au support de la Résistance qui peut faciliter l'avancée des troupes alliées. Il charge le Special Operations Executive (SOE) de "mettre le feu à l'Europe", programme de sabotage industriel (Unité de Salindres) et met en place le plan Jedburgh : parachuter des équipes alliées parlant français derrière les lignes ennemies, au cœur de la Résistance. La mission Isotrope, les équipes Jedburgh Packard et Minaret appuient, coordonnent et contrôlent les actions de la Résistance Cévenoles dans ses batailles pour la Libérations.
"Une illustration exceptionnelle dont l'intérêt est encore rehaussé par des documents concernant les missions alliées parachutées en 1944 sur le territoire, des enquêtes quasiment ethnographiques dans les familles qui conservent les souvenirs [...] C'est là aussi que se construit l'unité nationale et que les messages des générations passées peuvent atteindre celles d'aujourd'hui : le bel ouvrage de Ginès Diaz sera là , pour chacun, afin de retrouver celles et ceux qui l'ont été l'honneur de la France".
Jean-Claude Richard Ralite, Directeur de recherche CNRS
Récits, témoignages et documents inédits
Des STO (Service du Travail Obligatoire) cévenols réquisitionnés sont envoyés au service des nazis dans les usines colossales IG Farben d'Auschwitz ; ils côtoient, dans leur besogne quotidienne, les "pyjamas" (déportés en camp de concentration).
Ceux qui refusent deviennent des réfractaires et, obligés de se cacher, se réfugient dans les premiers Maquis qui les aident à compenser leurs difficultés morales et matérielles.
Au cœur des Cévennes où toujours plus nombreux ils se réfugient, les réfractaires font l'objet d'une chasse continue. Les nazis, aidés de collaborateurs et délateurs français, les traquent dans leurs refuges les plus retranchés de la montagne de l'Aigoual. Les dramatiques évènements d'Aire-de-Côte et des "Pendus de Nîmes" initient les Cévenols à la réalité de la guerre et renforcent l'esprit de la Résistance. La répression barbare de l'occupant cause stupeur, consternation, haine contre l'Occupant.
La Gestapo, les Waffen SS, la Milice multiplient contre les Maquis les mesures de répression. Les dénonciations entraînent tortures et pertes de grands Résistants cévenols qui sont jetés dans le Puits de Célas.
Churchill consent au support de la Résistance qui peut faciliter l'avancée des troupes alliées. Il charge le Special Operations Executive (SOE) de "mettre le feu à l'Europe", programme de sabotage industriel (Unité de Salindres) et met en place le plan Jedburgh : parachuter des équipes alliées parlant français derrière les lignes ennemies, au cœur de la Résistance. La mission Isotrope, les équipes Jedburgh Packard et Minaret appuient, coordonnent et contrôlent les actions de la Résistance Cévenoles dans ses batailles pour la Libérations.
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Jean-Claude Richard Ralite, Directeur de recherche CNRS
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