Captive des Indiens (ancienne édition)
Sous-titre :
Récit d'une puritaine de Nouvelle Angleterre enlevée en 1675
ISBN :
9782905291387
Editeur :
Auteur :
Info :
108
pages -
Broché -
1995
-
Prix 15,00 €
Thèmes :
4e de couverture :
Le 10 Février 1675, en pleine guerre entre les colons anglais puritains et les tribus indiennes de Nouvelles-Angleterre, à l'issue d'une attaque sur la ville de Lancaster, Mary Rowlandson, femme de pasteur, est enlevée avec ses enfants. Prisonnière de la tribu des Narrhagansets, elle va, durant onze semaines, en proie au froid et à la faim, s'enfoncer avec d'autres captifs, dans un pays encore sauvage. Après bien des malheurs (à ses yeux, autant d'épreuves envoyées par Dieu), Mary, échangée contre une rançon, retrouvera son mari.
Ce récit, écrit après sa délivrance, et publié en 1682, constitue un document irremplaçable sur la vie des Amérindiens de cette deuxième moitié du XVIIe siècle : coutumes, habitat, nourriture, guerres... Ce texte, qui fut un best-seller de la littérature américaine et qui connut une longue et riche postérité, inédit en français à ce jour, nous donne à entendre une des premières voix de femmes venues du Nouveau Monde.
Mary White, la future Mary Rowlandson, née à Somerset, en Angleterre (1637 ?), émigre avec ses parents en Nouvelle-Angleterre. Vers l'âge de vingt ans, elle épouse le pasteur Joseph Rowlandson, dont elle a trois enfants. Veuve en 1678, peu après avoir rédigé son récit de captivité, elle se remarie l'année suivante. Elle s'éteindra en 1711, âgée d'environ soixante-treize ans.
Ce récit, écrit après sa délivrance, et publié en 1682, constitue un document irremplaçable sur la vie des Amérindiens de cette deuxième moitié du XVIIe siècle : coutumes, habitat, nourriture, guerres... Ce texte, qui fut un best-seller de la littérature américaine et qui connut une longue et riche postérité, inédit en français à ce jour, nous donne à entendre une des premières voix de femmes venues du Nouveau Monde.
Mary White, la future Mary Rowlandson, née à Somerset, en Angleterre (1637 ?), émigre avec ses parents en Nouvelle-Angleterre. Vers l'âge de vingt ans, elle épouse le pasteur Joseph Rowlandson, dont elle a trois enfants. Veuve en 1678, peu après avoir rédigé son récit de captivité, elle se remarie l'année suivante. Elle s'éteindra en 1711, âgée d'environ soixante-treize ans.
Le 10 Février 1675, en pleine guerre entre les colons anglais puritains et les tribus indiennes de Nouvelles-Angleterre, à l'issue d'une attaque sur la ville de Lancaster, Mary Rowlandson, femme de pasteur, est enlevée avec ses enfants. Prisonnière de la tribu des Narrhagansets, elle va, durant onze semaines, en proie au froid et à la faim, s'enfoncer avec d'autres captifs, dans un pays encore sauvage. Après bien des malheurs (à ses yeux, autant d'épreuves envoyées par Dieu), Mary, échangée contre une rançon, retrouvera son mari.
Ce récit, écrit après sa délivrance, et publié en 1682, constitue un document irremplaçable sur la vie des Amérindiens de cette deuxième moitié du XVIIe siècle : coutumes, habitat, nourriture, guerres... Ce texte, qui fut un best-seller de la littérature américaine et qui connut une longue et riche postérité, inédit en français à ce jour, nous donne à entendre une des premières voix de femmes venues du Nouveau Monde.
Mary White, la future Mary Rowlandson, née à Somerset, en Angleterre (1637 ?), émigre avec ses parents en Nouvelle-Angleterre. Vers l'âge de vingt ans, elle épouse le pasteur Joseph Rowlandson, dont elle a trois enfants. Veuve en 1678, peu après avoir rédigé son récit de captivité, elle se remarie l'année suivante. Elle s'éteindra en 1711, âgée d'environ soixante-treize ans.
Ce récit, écrit après sa délivrance, et publié en 1682, constitue un document irremplaçable sur la vie des Amérindiens de cette deuxième moitié du XVIIe siècle : coutumes, habitat, nourriture, guerres... Ce texte, qui fut un best-seller de la littérature américaine et qui connut une longue et riche postérité, inédit en français à ce jour, nous donne à entendre une des premières voix de femmes venues du Nouveau Monde.
Mary White, la future Mary Rowlandson, née à Somerset, en Angleterre (1637 ?), émigre avec ses parents en Nouvelle-Angleterre. Vers l'âge de vingt ans, elle épouse le pasteur Joseph Rowlandson, dont elle a trois enfants. Veuve en 1678, peu après avoir rédigé son récit de captivité, elle se remarie l'année suivante. Elle s'éteindra en 1711, âgée d'environ soixante-treize ans.