Basville, roi solitaire du Languedoc
Sous-titre :
Intendant de Montpellier de 1685 Ã 1718
ISBN :
9782859981013
Editeur :
Auteur :
Info :
336
pages -
Broché -
1992
-
Prix : 5,90 €
Votre prix : 4,96 €
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Thèmes :
4e de couverture :
Pour Saint-Simon, Basville fut roi et tyran du Languedoc. Pour d'autres, il fut un zélé serviteur de Louis XIV, son maître, et un grand commis de l'Etat.
Dans son ouvrage, qui a nécessité un long travail de recherches, Robert Poujol se livre à une approche minutieuse et passionnée de cet homme, né en 1648, mort en 1724. Si l'auteur dévoile des aspects ignorés de la vie de Basville : son éducation par les jésuites, son séjour à Venise en 1669, ses rêves d'une carrière militaire et sa participation à la bataille de Turckheim, l'essentiel de la biographie est consacré aux trente-trois années que Basville passa en Languedoc. En effet, après avoir été nommé intendant du Poitou en 1682, il fut appelé en Languedoc où il devait servir de 1685 à 1718.
Sans doute, la lutte anti-protestante et la répression contre les camisards occupent-elles une part non négligeable de l'ouvrage, mais Robert Poujol se penche aussi sur les institutions, qu'il s'agisse des finances, de l'économie, des lettres et des arts, sans oublier de nous livrer, au passage, quelques indiscrétions sur les secrets d'alcôve de l'intendant.
On retiendra que Basville fut un remarquable administrateur se doublant d'un inlassable bâtisseur. Non seulement, il a aidé à la protection et à la restauration de plusieurs vestiges antiques (comme le Pont du Gard et la Maison Carrée), mais c'est à lui - en coopération avec l'architecte d'Aviler -, que l'on doit le développement urbanistique de Montpellier, notamment la construction de l'arc de triomphe et les premiers aménagements de la promenade du Peyrou.
Plus de 50 photos, cartes et gravures éclairent ce parcours.
Dans son ouvrage, qui a nécessité un long travail de recherches, Robert Poujol se livre à une approche minutieuse et passionnée de cet homme, né en 1648, mort en 1724. Si l'auteur dévoile des aspects ignorés de la vie de Basville : son éducation par les jésuites, son séjour à Venise en 1669, ses rêves d'une carrière militaire et sa participation à la bataille de Turckheim, l'essentiel de la biographie est consacré aux trente-trois années que Basville passa en Languedoc. En effet, après avoir été nommé intendant du Poitou en 1682, il fut appelé en Languedoc où il devait servir de 1685 à 1718.
Sans doute, la lutte anti-protestante et la répression contre les camisards occupent-elles une part non négligeable de l'ouvrage, mais Robert Poujol se penche aussi sur les institutions, qu'il s'agisse des finances, de l'économie, des lettres et des arts, sans oublier de nous livrer, au passage, quelques indiscrétions sur les secrets d'alcôve de l'intendant.
On retiendra que Basville fut un remarquable administrateur se doublant d'un inlassable bâtisseur. Non seulement, il a aidé à la protection et à la restauration de plusieurs vestiges antiques (comme le Pont du Gard et la Maison Carrée), mais c'est à lui - en coopération avec l'architecte d'Aviler -, que l'on doit le développement urbanistique de Montpellier, notamment la construction de l'arc de triomphe et les premiers aménagements de la promenade du Peyrou.
Plus de 50 photos, cartes et gravures éclairent ce parcours.
Pour Saint-Simon, Basville fut roi et tyran du Languedoc. Pour d'autres, il fut un zélé serviteur de Louis XIV, son maître, et un grand commis de l'Etat.
Dans son ouvrage, qui a nécessité un long travail de recherches, Robert Poujol se livre à une approche minutieuse et passionnée de cet homme, né en 1648, mort en 1724. Si l'auteur dévoile des aspects ignorés de la vie de Basville : son éducation par les jésuites, son séjour à Venise en 1669, ses rêves d'une carrière militaire et sa participation à la bataille de Turckheim, l'essentiel de la biographie est consacré aux trente-trois années que Basville passa en Languedoc. En effet, après avoir été nommé intendant du Poitou en 1682, il fut appelé en Languedoc où il devait servir de 1685 à 1718.
Sans doute, la lutte anti-protestante et la répression contre les camisards occupent-elles une part non négligeable de l'ouvrage, mais Robert Poujol se penche aussi sur les institutions, qu'il s'agisse des finances, de l'économie, des lettres et des arts, sans oublier de nous livrer, au passage, quelques indiscrétions sur les secrets d'alcôve de l'intendant.
On retiendra que Basville fut un remarquable administrateur se doublant d'un inlassable bâtisseur. Non seulement, il a aidé à la protection et à la restauration de plusieurs vestiges antiques (comme le Pont du Gard et la Maison Carrée), mais c'est à lui - en coopération avec l'architecte d'Aviler -, que l'on doit le développement urbanistique de Montpellier, notamment la construction de l'arc de triomphe et les premiers aménagements de la promenade du Peyrou.
Plus de 50 photos, cartes et gravures éclairent ce parcours.
Dans son ouvrage, qui a nécessité un long travail de recherches, Robert Poujol se livre à une approche minutieuse et passionnée de cet homme, né en 1648, mort en 1724. Si l'auteur dévoile des aspects ignorés de la vie de Basville : son éducation par les jésuites, son séjour à Venise en 1669, ses rêves d'une carrière militaire et sa participation à la bataille de Turckheim, l'essentiel de la biographie est consacré aux trente-trois années que Basville passa en Languedoc. En effet, après avoir été nommé intendant du Poitou en 1682, il fut appelé en Languedoc où il devait servir de 1685 à 1718.
Sans doute, la lutte anti-protestante et la répression contre les camisards occupent-elles une part non négligeable de l'ouvrage, mais Robert Poujol se penche aussi sur les institutions, qu'il s'agisse des finances, de l'économie, des lettres et des arts, sans oublier de nous livrer, au passage, quelques indiscrétions sur les secrets d'alcôve de l'intendant.
On retiendra que Basville fut un remarquable administrateur se doublant d'un inlassable bâtisseur. Non seulement, il a aidé à la protection et à la restauration de plusieurs vestiges antiques (comme le Pont du Gard et la Maison Carrée), mais c'est à lui - en coopération avec l'architecte d'Aviler -, que l'on doit le développement urbanistique de Montpellier, notamment la construction de l'arc de triomphe et les premiers aménagements de la promenade du Peyrou.
Plus de 50 photos, cartes et gravures éclairent ce parcours.