Au vent des cyclones
ISBN :
9782853040150
Editeur :
Auteur :
Info :
465
pages -
1986
-
Prix 13,72 €
Thèmes :
4e de couverture :
Les dépressions tropicales et les cyclones sont des phénomènes d'une violence extrême et donc susceptibles de causer de lourdes pertes en vies humaines ainsi que de graves dommages particulièrement dans le monde fragile des îles.
Depuis 1941 on a dénombré sur le territoire de la Polynésie Française ou dans la zone voisine une trentaine de dépressions et cyclones tropicaux. Parfois d'intensité faible ou modérée ils peuvent devenir très violents et causer de grands dégâts en raison des formidables énergies mises en œuvre par les forces de la nature.
Mais la Polynésie a aussi connu des cyclones d'une autre sorte depuis qu'elle est entrée dans l'histoire du Pacifique. Les changements religieux, sociaux et politiques qui l'ont bouleversée ont été plus ravageurs encore que les phénomènes de la nature.
Après sa découverte, la Polynésie a connu des épidémies foudroyantes, le mal vénérien, l'alcoolisme qui l'ont affaiblie plus encore que les luttes intestines. L'agression provoquée par les nouvelles cultures socio-religieuses, le mercantilisme éhonté puis la politique de prestige des grandes nations suivie par un colonialisme dominateur, tout cela a dénaturé le génie et l'identité polynésienne. La volonté d'assimilation totale de l'occupant a marginalisé la population autochtone dans son propre environnement.
Le dernier changement et le plus grave fut celui provoqué par l'installation du C.E.P. (Centre d'Expérimentation du Pacifique). Les structures de base démantelées ont provoqué chez le Polynésien un raz-de-marée démobilisateur et un vide culturel profitable à un néo-colonialisme.
Tout au long de ces deux siècles d'histoire et au milieu même des énormes difficultés rencontrées l'Evangile, accepté dès 1820, fut comme une source de renouveau, de stabilité et d'espoir pour les Polynésiens. Ils l'ont découvert comme un ordre possible d'entente et de paix au milieu même des changements qu'ils ont subis.
Aujourd'hui, devant les situations totalement nouvelles, une dépendance absolue de son peuple aux options du pouvoir, des structures sociales construites d'après les formes du capitalisme international et anonyme, l'Eglise Evangélique pourra- t-elle rester fidèle à l'esprit de ses pères ?
L'Espérance est au cœur de la foi.
Depuis 1941 on a dénombré sur le territoire de la Polynésie Française ou dans la zone voisine une trentaine de dépressions et cyclones tropicaux. Parfois d'intensité faible ou modérée ils peuvent devenir très violents et causer de grands dégâts en raison des formidables énergies mises en œuvre par les forces de la nature.
Mais la Polynésie a aussi connu des cyclones d'une autre sorte depuis qu'elle est entrée dans l'histoire du Pacifique. Les changements religieux, sociaux et politiques qui l'ont bouleversée ont été plus ravageurs encore que les phénomènes de la nature.
Après sa découverte, la Polynésie a connu des épidémies foudroyantes, le mal vénérien, l'alcoolisme qui l'ont affaiblie plus encore que les luttes intestines. L'agression provoquée par les nouvelles cultures socio-religieuses, le mercantilisme éhonté puis la politique de prestige des grandes nations suivie par un colonialisme dominateur, tout cela a dénaturé le génie et l'identité polynésienne. La volonté d'assimilation totale de l'occupant a marginalisé la population autochtone dans son propre environnement.
Le dernier changement et le plus grave fut celui provoqué par l'installation du C.E.P. (Centre d'Expérimentation du Pacifique). Les structures de base démantelées ont provoqué chez le Polynésien un raz-de-marée démobilisateur et un vide culturel profitable à un néo-colonialisme.
Tout au long de ces deux siècles d'histoire et au milieu même des énormes difficultés rencontrées l'Evangile, accepté dès 1820, fut comme une source de renouveau, de stabilité et d'espoir pour les Polynésiens. Ils l'ont découvert comme un ordre possible d'entente et de paix au milieu même des changements qu'ils ont subis.
Aujourd'hui, devant les situations totalement nouvelles, une dépendance absolue de son peuple aux options du pouvoir, des structures sociales construites d'après les formes du capitalisme international et anonyme, l'Eglise Evangélique pourra- t-elle rester fidèle à l'esprit de ses pères ?
L'Espérance est au cœur de la foi.
Les dépressions tropicales et les cyclones sont des phénomènes d'une violence extrême et donc susceptibles de causer de lourdes pertes en vies humaines ainsi que de graves dommages particulièrement dans le monde fragile des îles.
Depuis 1941 on a dénombré sur le territoire de la Polynésie Française ou dans la zone voisine une trentaine de dépressions et cyclones tropicaux. Parfois d'intensité faible ou modérée ils peuvent devenir très violents et causer de grands dégâts en raison des formidables énergies mises en œuvre par les forces de la nature.
Mais la Polynésie a aussi connu des cyclones d'une autre sorte depuis qu'elle est entrée dans l'histoire du Pacifique. Les changements religieux, sociaux et politiques qui l'ont bouleversée ont été plus ravageurs encore que les phénomènes de la nature.
Après sa découverte, la Polynésie a connu des épidémies foudroyantes, le mal vénérien, l'alcoolisme qui l'ont affaiblie plus encore que les luttes intestines. L'agression provoquée par les nouvelles cultures socio-religieuses, le mercantilisme éhonté puis la politique de prestige des grandes nations suivie par un colonialisme dominateur, tout cela a dénaturé le génie et l'identité polynésienne. La volonté d'assimilation totale de l'occupant a marginalisé la population autochtone dans son propre environnement.
Le dernier changement et le plus grave fut celui provoqué par l'installation du C.E.P. (Centre d'Expérimentation du Pacifique). Les structures de base démantelées ont provoqué chez le Polynésien un raz-de-marée démobilisateur et un vide culturel profitable à un néo-colonialisme.
Tout au long de ces deux siècles d'histoire et au milieu même des énormes difficultés rencontrées l'Evangile, accepté dès 1820, fut comme une source de renouveau, de stabilité et d'espoir pour les Polynésiens. Ils l'ont découvert comme un ordre possible d'entente et de paix au milieu même des changements qu'ils ont subis.
Aujourd'hui, devant les situations totalement nouvelles, une dépendance absolue de son peuple aux options du pouvoir, des structures sociales construites d'après les formes du capitalisme international et anonyme, l'Eglise Evangélique pourra- t-elle rester fidèle à l'esprit de ses pères ?
L'Espérance est au cœur de la foi.
Depuis 1941 on a dénombré sur le territoire de la Polynésie Française ou dans la zone voisine une trentaine de dépressions et cyclones tropicaux. Parfois d'intensité faible ou modérée ils peuvent devenir très violents et causer de grands dégâts en raison des formidables énergies mises en œuvre par les forces de la nature.
Mais la Polynésie a aussi connu des cyclones d'une autre sorte depuis qu'elle est entrée dans l'histoire du Pacifique. Les changements religieux, sociaux et politiques qui l'ont bouleversée ont été plus ravageurs encore que les phénomènes de la nature.
Après sa découverte, la Polynésie a connu des épidémies foudroyantes, le mal vénérien, l'alcoolisme qui l'ont affaiblie plus encore que les luttes intestines. L'agression provoquée par les nouvelles cultures socio-religieuses, le mercantilisme éhonté puis la politique de prestige des grandes nations suivie par un colonialisme dominateur, tout cela a dénaturé le génie et l'identité polynésienne. La volonté d'assimilation totale de l'occupant a marginalisé la population autochtone dans son propre environnement.
Le dernier changement et le plus grave fut celui provoqué par l'installation du C.E.P. (Centre d'Expérimentation du Pacifique). Les structures de base démantelées ont provoqué chez le Polynésien un raz-de-marée démobilisateur et un vide culturel profitable à un néo-colonialisme.
Tout au long de ces deux siècles d'histoire et au milieu même des énormes difficultés rencontrées l'Evangile, accepté dès 1820, fut comme une source de renouveau, de stabilité et d'espoir pour les Polynésiens. Ils l'ont découvert comme un ordre possible d'entente et de paix au milieu même des changements qu'ils ont subis.
Aujourd'hui, devant les situations totalement nouvelles, une dépendance absolue de son peuple aux options du pouvoir, des structures sociales construites d'après les formes du capitalisme international et anonyme, l'Eglise Evangélique pourra- t-elle rester fidèle à l'esprit de ses pères ?
L'Espérance est au cœur de la foi.