Å’uvres philosophiques, tome III
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ISBN :
9782070111060
Editeur :
Auteur :
Collection :
Info :
1600
pages -
Relié -
1986
-
Prix 57,00 €
Thèmes :
4e de couverture :
Thomas de Quincey − pour marquer la prépondérance de Kant dans la philosophie occidentale − osait affirmer que si un lecteur prétendait être indifférent à sa philosophie, il faudrait supposer qu'il soit « parfaitement inintellectuel » ou, encore, « feindre, par politesse, de supposer le contraire ».
Avec ce tome III s'achève, dans la Pléiade, la publication des ?uvres du philosophe. Le lecteur, saisissant − ne serait-ce qu'intuitivement − les modifications apportées aux structures de la pensée par la construction de Kant, pourra ainsi avoir un libre et facile accès à l'?uvre d'un des philosophes qu'on ne peut « éviter ». On sait trop que c'est à Kant d'abord qu'Heidegger dut s'affronter.
L'éditeur a voulu restituer les ?uvres dans la simplicité de leur évolution chronologique. Si on peut penser que ce dernier volume n'apporte plus de découvertes majeures (il ne faudrait néanmoins pas oublier de quel poids la Métaphysique des m?urs pèse sur nos sociétés et ne pas nier que nous relevons encore du fantasme d'un Projet de paix perpétuelle), on pourra cependant mesurer de quel incessant travail de reprise et d'affinement la pensée de Kant est capable. Ferdinand Alquié − le maître d'?uvre de cette publication − déclarait qu'« une édition de Kant n'est pas une thèse sur Kant ». C'est donc à un humble travail de balisage que se sont attachés ses divers collaborateurs pour guider l'homme curieux − donc susceptible de philosopher − dans cette ?uvre gigantesque qui, incontestablement et peut-être à notre insu −, nous a tous « fondés ».
Ce volume contient
Les écrits de 1792-1793 : La religion dans les limites de la simple raison - Lettres à Fichte (1792-1793) - Sur le lieu commun : Il se peut que ce soit juste en théorie mais, en pratique, cela ne vaut point. Des réflexions sur la fin de toutes choses à l'examen d'un prétendu droit de mentir par humanité : La fin de toutes choses - Projet de paix perpétuelle - À propo… [lire +]
Avec ce tome III s'achève, dans la Pléiade, la publication des ?uvres du philosophe. Le lecteur, saisissant − ne serait-ce qu'intuitivement − les modifications apportées aux structures de la pensée par la construction de Kant, pourra ainsi avoir un libre et facile accès à l'?uvre d'un des philosophes qu'on ne peut « éviter ». On sait trop que c'est à Kant d'abord qu'Heidegger dut s'affronter.
L'éditeur a voulu restituer les ?uvres dans la simplicité de leur évolution chronologique. Si on peut penser que ce dernier volume n'apporte plus de découvertes majeures (il ne faudrait néanmoins pas oublier de quel poids la Métaphysique des m?urs pèse sur nos sociétés et ne pas nier que nous relevons encore du fantasme d'un Projet de paix perpétuelle), on pourra cependant mesurer de quel incessant travail de reprise et d'affinement la pensée de Kant est capable. Ferdinand Alquié − le maître d'?uvre de cette publication − déclarait qu'« une édition de Kant n'est pas une thèse sur Kant ». C'est donc à un humble travail de balisage que se sont attachés ses divers collaborateurs pour guider l'homme curieux − donc susceptible de philosopher − dans cette ?uvre gigantesque qui, incontestablement et peut-être à notre insu −, nous a tous « fondés ».
Ce volume contient
Les écrits de 1792-1793 : La religion dans les limites de la simple raison - Lettres à Fichte (1792-1793) - Sur le lieu commun : Il se peut que ce soit juste en théorie mais, en pratique, cela ne vaut point. Des réflexions sur la fin de toutes choses à l'examen d'un prétendu droit de mentir par humanité : La fin de toutes choses - Projet de paix perpétuelle - À propo… [lire +]
Thomas de Quincey − pour marquer la prépondérance de Kant dans la philosophie occidentale − osait affirmer que si un lecteur prétendait être indifférent à sa philosophie, il faudrait supposer qu'il soit « parfaitement inintellectuel » ou, encore, « feindre, par politesse, de supposer le contraire ».
Avec ce tome III s'achève, dans la Pléiade, la publication des ?uvres du philosophe. Le lecteur, saisissant − ne serait-ce qu'intuitivement − les modifications apportées aux structures de la pensée par la construction de Kant, pourra ainsi avoir un libre et facile accès à l'?uvre d'un des philosophes qu'on ne peut « éviter ». On sait trop que c'est à Kant d'abord qu'Heidegger dut s'affronter.
L'éditeur a voulu restituer les ?uvres dans la simplicité de leur évolution chronologique. Si on peut penser que ce dernier volume n'apporte plus de découvertes majeures (il ne faudrait néanmoins pas oublier de quel poids la Métaphysique des m?urs pèse sur nos sociétés et ne pas nier que nous relevons encore du fantasme d'un Projet de paix perpétuelle), on pourra cependant mesurer de quel incessant travail de reprise et d'affinement la pensée de Kant est capable. Ferdinand Alquié − le maître d'?uvre de cette publication − déclarait qu'« une édition de Kant n'est pas une thèse sur Kant ». C'est donc à un humble travail de balisage que se sont attachés ses divers collaborateurs pour guider l'homme curieux − donc susceptible de philosopher − dans cette ?uvre gigantesque qui, incontestablement et peut-être à notre insu −, nous a tous « fondés ».
Ce volume contient
Les écrits de 1792-1793 : La religion dans les limites de la simple raison - Lettres à Fichte (1792-1793) - Sur le lieu commun : Il se peut que ce soit juste en théorie mais, en pratique, cela ne vaut point. Des réflexions sur la fin de toutes choses à l'examen d'un prétendu droit de mentir par humanité : La fin de toutes choses - Projet de paix perpétuelle - À propos de l'ouvrage de Sömmering sur l'organe de l'âme - Sur un ton supérieur nouvellement pris en philosophie - Annonce de la prochaine conclusion d'un traité de paix perpétuelle en philosophie - Sur un prétendu droit de mentir par humanité. La métaphysique des m?urs et le conflit des facultés : Métaphysique des m?urs - Lettres à Tieftrunk - Le conflit des facultés. Anthropologie et pédagogie : Anthropologie du point de vue pragmatique - Propos de pédagogie. ?uvres inachevées : Déclaration à l'égard de la doctrine de la science de Fichte - Sur la question mise au concours par l'Académie royale des Sciences pour l'année 1791 : Quels sont les progrès réels de la métaphysique en Allemagne depuis le temps de Leibniz et de Wolff ?
Avec ce tome III s'achève, dans la Pléiade, la publication des ?uvres du philosophe. Le lecteur, saisissant − ne serait-ce qu'intuitivement − les modifications apportées aux structures de la pensée par la construction de Kant, pourra ainsi avoir un libre et facile accès à l'?uvre d'un des philosophes qu'on ne peut « éviter ». On sait trop que c'est à Kant d'abord qu'Heidegger dut s'affronter.
L'éditeur a voulu restituer les ?uvres dans la simplicité de leur évolution chronologique. Si on peut penser que ce dernier volume n'apporte plus de découvertes majeures (il ne faudrait néanmoins pas oublier de quel poids la Métaphysique des m?urs pèse sur nos sociétés et ne pas nier que nous relevons encore du fantasme d'un Projet de paix perpétuelle), on pourra cependant mesurer de quel incessant travail de reprise et d'affinement la pensée de Kant est capable. Ferdinand Alquié − le maître d'?uvre de cette publication − déclarait qu'« une édition de Kant n'est pas une thèse sur Kant ». C'est donc à un humble travail de balisage que se sont attachés ses divers collaborateurs pour guider l'homme curieux − donc susceptible de philosopher − dans cette ?uvre gigantesque qui, incontestablement et peut-être à notre insu −, nous a tous « fondés ».
Ce volume contient
Les écrits de 1792-1793 : La religion dans les limites de la simple raison - Lettres à Fichte (1792-1793) - Sur le lieu commun : Il se peut que ce soit juste en théorie mais, en pratique, cela ne vaut point. Des réflexions sur la fin de toutes choses à l'examen d'un prétendu droit de mentir par humanité : La fin de toutes choses - Projet de paix perpétuelle - À propos de l'ouvrage de Sömmering sur l'organe de l'âme - Sur un ton supérieur nouvellement pris en philosophie - Annonce de la prochaine conclusion d'un traité de paix perpétuelle en philosophie - Sur un prétendu droit de mentir par humanité. La métaphysique des m?urs et le conflit des facultés : Métaphysique des m?urs - Lettres à Tieftrunk - Le conflit des facultés. Anthropologie et pédagogie : Anthropologie du point de vue pragmatique - Propos de pédagogie. ?uvres inachevées : Déclaration à l'égard de la doctrine de la science de Fichte - Sur la question mise au concours par l'Académie royale des Sciences pour l'année 1791 : Quels sont les progrès réels de la métaphysique en Allemagne depuis le temps de Leibniz et de Wolff ?