1793, La Révolution contre l'Église : De la Raison à l'Être Suprême
ISBN :
9782870278901
Editeur :
Auteur :
Info :
312
pages -
Broché -
1988
-
Prix 8,90 €

Thèmes :
4e de couverture :
Entre octobre 1793 et juin 1794, la France a été le lieu où s'est déployée une offensive multiforme d'éradication de la religion en place.
La déesse Raison triomphe : on lui ouvre des temples, sous les traits de personnages vivants, la Raison s'offre aux regards dans les cortèges. Mais on promène aussi les « dépouilles du fanatisme et de la superstition » dans des mascarades burlesques où flambent les bûchers de l'autodafé.
Par dizaine de milliers, les prêtres abdiquent leur qualité sacerdotale et nombre d'entre eux se marient. Cependant, en plus d'un lieu, le culte clandestin survit et des manifestations hostiles témoignent du refus de la déchristianisation.
Six mois de fièvre. Sans doute l'épisode le plus surprenant et le plus spectaculaire de la Révolution française.
« À partir d'une étude minutieuse, avec cartes à l'appui, de la grande vague déchristianisatrice de brumaire à germinal an II, Michel Vovelle, [...], développe une analyse très pénétrante et neuve des rapports entre religion et Révolution. »
Nouvel Observateur
Michel Vovelle, professeur d'histoire de la Révolution française de Paris I (Panthéon-Sorbonne), directeur de l'Institut d'histoire de la Révolution, est spécialiste d'histoire des mentalités (La Mort et l'Occident ; Les Métamorphoses de la Fête), et singulièrement des mentalités révolutionnaires (La Chute de la Monarchie ; La Mentalité révolutionnaire ; La Révolution française, Images et récits).
La déesse Raison triomphe : on lui ouvre des temples, sous les traits de personnages vivants, la Raison s'offre aux regards dans les cortèges. Mais on promène aussi les « dépouilles du fanatisme et de la superstition » dans des mascarades burlesques où flambent les bûchers de l'autodafé.
Par dizaine de milliers, les prêtres abdiquent leur qualité sacerdotale et nombre d'entre eux se marient. Cependant, en plus d'un lieu, le culte clandestin survit et des manifestations hostiles témoignent du refus de la déchristianisation.
Six mois de fièvre. Sans doute l'épisode le plus surprenant et le plus spectaculaire de la Révolution française.
« À partir d'une étude minutieuse, avec cartes à l'appui, de la grande vague déchristianisatrice de brumaire à germinal an II, Michel Vovelle, [...], développe une analyse très pénétrante et neuve des rapports entre religion et Révolution. »
Nouvel Observateur
Michel Vovelle, professeur d'histoire de la Révolution française de Paris I (Panthéon-Sorbonne), directeur de l'Institut d'histoire de la Révolution, est spécialiste d'histoire des mentalités (La Mort et l'Occident ; Les Métamorphoses de la Fête), et singulièrement des mentalités révolutionnaires (La Chute de la Monarchie ; La Mentalité révolutionnaire ; La Révolution française, Images et récits).
Entre octobre 1793 et juin 1794, la France a été le lieu où s'est déployée une offensive multiforme d'éradication de la religion en place.
La déesse Raison triomphe : on lui ouvre des temples, sous les traits de personnages vivants, la Raison s'offre aux regards dans les cortèges. Mais on promène aussi les « dépouilles du fanatisme et de la superstition » dans des mascarades burlesques où flambent les bûchers de l'autodafé.
Par dizaine de milliers, les prêtres abdiquent leur qualité sacerdotale et nombre d'entre eux se marient. Cependant, en plus d'un lieu, le culte clandestin survit et des manifestations hostiles témoignent du refus de la déchristianisation.
Six mois de fièvre. Sans doute l'épisode le plus surprenant et le plus spectaculaire de la Révolution française.
« À partir d'une étude minutieuse, avec cartes à l'appui, de la grande vague déchristianisatrice de brumaire à germinal an II, Michel Vovelle, [...], développe une analyse très pénétrante et neuve des rapports entre religion et Révolution. »
Nouvel Observateur
Michel Vovelle, professeur d'histoire de la Révolution française de Paris I (Panthéon-Sorbonne), directeur de l'Institut d'histoire de la Révolution, est spécialiste d'histoire des mentalités (La Mort et l'Occident ; Les Métamorphoses de la Fête), et singulièrement des mentalités révolutionnaires (La Chute de la Monarchie ; La Mentalité révolutionnaire ; La Révolution française, Images et récits).
La déesse Raison triomphe : on lui ouvre des temples, sous les traits de personnages vivants, la Raison s'offre aux regards dans les cortèges. Mais on promène aussi les « dépouilles du fanatisme et de la superstition » dans des mascarades burlesques où flambent les bûchers de l'autodafé.
Par dizaine de milliers, les prêtres abdiquent leur qualité sacerdotale et nombre d'entre eux se marient. Cependant, en plus d'un lieu, le culte clandestin survit et des manifestations hostiles témoignent du refus de la déchristianisation.
Six mois de fièvre. Sans doute l'épisode le plus surprenant et le plus spectaculaire de la Révolution française.
« À partir d'une étude minutieuse, avec cartes à l'appui, de la grande vague déchristianisatrice de brumaire à germinal an II, Michel Vovelle, [...], développe une analyse très pénétrante et neuve des rapports entre religion et Révolution. »
Nouvel Observateur
Michel Vovelle, professeur d'histoire de la Révolution française de Paris I (Panthéon-Sorbonne), directeur de l'Institut d'histoire de la Révolution, est spécialiste d'histoire des mentalités (La Mort et l'Occident ; Les Métamorphoses de la Fête), et singulièrement des mentalités révolutionnaires (La Chute de la Monarchie ; La Mentalité révolutionnaire ; La Révolution française, Images et récits).