Vivre ! obstinément
Sous-titre :
Jean Boré - matricule 30830 - Block 31 - Buchenwald
ISBN :
9782953094008
Editeur :
Auteur :
Jean BORÉ, Guy DUCOLONE (préface)
Info :
225
pages -
Broché -
2008
-
Prix 15,00 €
Thèmes :
Statut :
Neuf
4e de couverture :
Ce livre est le récit fait en 2000 par un ancien déporté à Buchenwald, Jean Boré.
Il s'agit également d'un témoignage de reconnaissance envers son père voulu par l'auteur, à tous ses amis déportés, résistants, avec à cœur le besoin de participer au combat indispensable contre tous les négationnismes.
On y découvre comment, un jeune lycéen antifasciste, issu d'une famille Cévenol côté maternel, et Angevine, côté paternel, refuse la défaite de la France et la collaboration des autorités pétainiste, se retrouve à distribuer clandestinement des tracts pour aboutir à "un service de renseignements". Dénoncé, arrêté par la Milice le 21 septembre 1943, Jean Boré est remis à la Gestapo.
Durant 18 mois à Buchenwald, où devient le matricule 30830, il connaîtra une existence de forçat, à la carrière. Plongé ensuite dans l'enfer d'Ordruf, il sera ramené à Buchenwald, où il reprendra place dans l'organisation clandestine pour participer à la libération du camp le 11 avril 1945. Ce récit évoque également des relations fortes avec Marcel Paul, pendant et après la déportation.
Ces pages soulignent que les hommes et les femmes qui connurent les convois pour les camps de concentration étaient programmés pour mourir.
Ce livre est enfin un hymne à la vie, voulu par l'auteur, en écho à la volonté obstinée de Jean Boré ce 24 août 1944, jour de bombardement de Buchenwald : "j'avais 20 ans, et j'avais décidé de fêter mon anniversaire".
Il s'agit également d'un témoignage de reconnaissance envers son père voulu par l'auteur, à tous ses amis déportés, résistants, avec à cœur le besoin de participer au combat indispensable contre tous les négationnismes.
On y découvre comment, un jeune lycéen antifasciste, issu d'une famille Cévenol côté maternel, et Angevine, côté paternel, refuse la défaite de la France et la collaboration des autorités pétainiste, se retrouve à distribuer clandestinement des tracts pour aboutir à "un service de renseignements". Dénoncé, arrêté par la Milice le 21 septembre 1943, Jean Boré est remis à la Gestapo.
Durant 18 mois à Buchenwald, où devient le matricule 30830, il connaîtra une existence de forçat, à la carrière. Plongé ensuite dans l'enfer d'Ordruf, il sera ramené à Buchenwald, où il reprendra place dans l'organisation clandestine pour participer à la libération du camp le 11 avril 1945. Ce récit évoque également des relations fortes avec Marcel Paul, pendant et après la déportation.
Ces pages soulignent que les hommes et les femmes qui connurent les convois pour les camps de concentration étaient programmés pour mourir.
Ce livre est enfin un hymne à la vie, voulu par l'auteur, en écho à la volonté obstinée de Jean Boré ce 24 août 1944, jour de bombardement de Buchenwald : "j'avais 20 ans, et j'avais décidé de fêter mon anniversaire".
Ce livre est le récit fait en 2000 par un ancien déporté à Buchenwald, Jean Boré.
Il s'agit également d'un témoignage de reconnaissance envers son père voulu par l'auteur, à tous ses amis déportés, résistants, avec à cœur le besoin de participer au combat indispensable contre tous les négationnismes.
On y découvre comment, un jeune lycéen antifasciste, issu d'une famille Cévenol côté maternel, et Angevine, côté paternel, refuse la défaite de la France et la collaboration des autorités pétainiste, se retrouve à distribuer clandestinement des tracts pour aboutir à "un service de renseignements". Dénoncé, arrêté par la Milice le 21 septembre 1943, Jean Boré est remis à la Gestapo.
Durant 18 mois à Buchenwald, où devient le matricule 30830, il connaîtra une existence de forçat, à la carrière. Plongé ensuite dans l'enfer d'Ordruf, il sera ramené à Buchenwald, où il reprendra place dans l'organisation clandestine pour participer à la libération du camp le 11 avril 1945. Ce récit évoque également des relations fortes avec Marcel Paul, pendant et après la déportation.
Ces pages soulignent que les hommes et les femmes qui connurent les convois pour les camps de concentration étaient programmés pour mourir.
Ce livre est enfin un hymne à la vie, voulu par l'auteur, en écho à la volonté obstinée de Jean Boré ce 24 août 1944, jour de bombardement de Buchenwald : "j'avais 20 ans, et j'avais décidé de fêter mon anniversaire".
Il s'agit également d'un témoignage de reconnaissance envers son père voulu par l'auteur, à tous ses amis déportés, résistants, avec à cœur le besoin de participer au combat indispensable contre tous les négationnismes.
On y découvre comment, un jeune lycéen antifasciste, issu d'une famille Cévenol côté maternel, et Angevine, côté paternel, refuse la défaite de la France et la collaboration des autorités pétainiste, se retrouve à distribuer clandestinement des tracts pour aboutir à "un service de renseignements". Dénoncé, arrêté par la Milice le 21 septembre 1943, Jean Boré est remis à la Gestapo.
Durant 18 mois à Buchenwald, où devient le matricule 30830, il connaîtra une existence de forçat, à la carrière. Plongé ensuite dans l'enfer d'Ordruf, il sera ramené à Buchenwald, où il reprendra place dans l'organisation clandestine pour participer à la libération du camp le 11 avril 1945. Ce récit évoque également des relations fortes avec Marcel Paul, pendant et après la déportation.
Ces pages soulignent que les hommes et les femmes qui connurent les convois pour les camps de concentration étaient programmés pour mourir.
Ce livre est enfin un hymne à la vie, voulu par l'auteur, en écho à la volonté obstinée de Jean Boré ce 24 août 1944, jour de bombardement de Buchenwald : "j'avais 20 ans, et j'avais décidé de fêter mon anniversaire".