Vingt-quatre juin, la mort d'un fils
ISBN :
9782884131803
Editeur :
Auteur :
Info :
80
pages -
Broché -
2011
-
Prix 17,00 €
Thèmes :
4e de couverture :
Extrait
« Un soir, un peu plus de trois ans après sa mort. Je me dis : qui blâmer, tout le monde nous a aidés. Les amis nous ont logés, accompagnés, soutenus en toutes choses. Ses professeurs ont suivi Damien. L'un d'eux a été admirable. Il écrit encore maintenant. Les médecins ont fait le maximum. Alors, qui laisse mourir les enfants ? Les jeunes pleins de promesses et qui ne demandent qu'à vivre, qu'à servir. Je sens mes larmes. Je déprime. Qui laisse mourir les enfants ? Qui les laisse souffrir ? Pas le mien seulement Tous les autres aussi. Dans la nuit, le silence me répond. »
« Un soir, un peu plus de trois ans après sa mort. Je me dis : qui blâmer, tout le monde nous a aidés. Les amis nous ont logés, accompagnés, soutenus en toutes choses. Ses professeurs ont suivi Damien. L'un d'eux a été admirable. Il écrit encore maintenant. Les médecins ont fait le maximum. Alors, qui laisse mourir les enfants ? Les jeunes pleins de promesses et qui ne demandent qu'à vivre, qu'à servir. Je sens mes larmes. Je déprime. Qui laisse mourir les enfants ? Qui les laisse souffrir ? Pas le mien seulement Tous les autres aussi. Dans la nuit, le silence me répond. »
Extrait
« Un soir, un peu plus de trois ans après sa mort. Je me dis : qui blâmer, tout le monde nous a aidés. Les amis nous ont logés, accompagnés, soutenus en toutes choses. Ses professeurs ont suivi Damien. L'un d'eux a été admirable. Il écrit encore maintenant. Les médecins ont fait le maximum. Alors, qui laisse mourir les enfants ? Les jeunes pleins de promesses et qui ne demandent qu'à vivre, qu'à servir. Je sens mes larmes. Je déprime. Qui laisse mourir les enfants ? Qui les laisse souffrir ? Pas le mien seulement Tous les autres aussi. Dans la nuit, le silence me répond. »
« Un soir, un peu plus de trois ans après sa mort. Je me dis : qui blâmer, tout le monde nous a aidés. Les amis nous ont logés, accompagnés, soutenus en toutes choses. Ses professeurs ont suivi Damien. L'un d'eux a été admirable. Il écrit encore maintenant. Les médecins ont fait le maximum. Alors, qui laisse mourir les enfants ? Les jeunes pleins de promesses et qui ne demandent qu'à vivre, qu'à servir. Je sens mes larmes. Je déprime. Qui laisse mourir les enfants ? Qui les laisse souffrir ? Pas le mien seulement Tous les autres aussi. Dans la nuit, le silence me répond. »