Une famille dans la Grande Guerre
Sous-titre :
Les Monod et leurs alliés
ISBN :
9782356181237
Editeur :
Auteur :
Info :
221
pages -
Broché -
2018
-
Prix 17,00 €
Thèmes :
Statut :
Neuf
4e de couverture :
Charles Maurras (qui n'a jamais participé à la Grande Guerre) parlait, dans l'Action Française, de la famille Monod comme d'une "race étrangère... l'Anti-France... métèque, protestante et enjuivée".
Un cinglant démenti lui est apporté par cette étude qui révèle qu'avec près de 20% de mobilisés morts ou disparus (contre 17.6% pour la moyenne nationale) et 10% d'engagés volontaires (contre 2% pour l'ensemble de l'armée française), les Monod, famille aisée et intellectuelle, ont montré leur attachement à la défense de la patrie. Cette approche sociologique d'un groupe homogène et lié permet d'autre part de mieux comprendre l'impact de la Grande Guerre sur les familles françaises.
Un cinglant démenti lui est apporté par cette étude qui révèle qu'avec près de 20% de mobilisés morts ou disparus (contre 17.6% pour la moyenne nationale) et 10% d'engagés volontaires (contre 2% pour l'ensemble de l'armée française), les Monod, famille aisée et intellectuelle, ont montré leur attachement à la défense de la patrie. Cette approche sociologique d'un groupe homogène et lié permet d'autre part de mieux comprendre l'impact de la Grande Guerre sur les familles françaises.
Charles Maurras (qui n'a jamais participé à la Grande Guerre) parlait, dans l'Action Française, de la famille Monod comme d'une "race étrangère... l'Anti-France... métèque, protestante et enjuivée".
Un cinglant démenti lui est apporté par cette étude qui révèle qu'avec près de 20% de mobilisés morts ou disparus (contre 17.6% pour la moyenne nationale) et 10% d'engagés volontaires (contre 2% pour l'ensemble de l'armée française), les Monod, famille aisée et intellectuelle, ont montré leur attachement à la défense de la patrie. Cette approche sociologique d'un groupe homogène et lié permet d'autre part de mieux comprendre l'impact de la Grande Guerre sur les familles françaises.
Un cinglant démenti lui est apporté par cette étude qui révèle qu'avec près de 20% de mobilisés morts ou disparus (contre 17.6% pour la moyenne nationale) et 10% d'engagés volontaires (contre 2% pour l'ensemble de l'armée française), les Monod, famille aisée et intellectuelle, ont montré leur attachement à la défense de la patrie. Cette approche sociologique d'un groupe homogène et lié permet d'autre part de mieux comprendre l'impact de la Grande Guerre sur les familles françaises.