Se dire en vérité
Sous-titre :
Séminaire de 3e cycle en théologie pratique des facultés de théologie de Suisse romande
ISBN :
9782830901153
Editeur :
Auteur :
Info :
166
pages -
1988
-
Prix 15,70 €
Thèmes :
4e de couverture :
Pour pouvoir se dire soi-même en vérité, par quels apprentissaÂges, quelles expériences exaltantes, quels cruels échecs, quelles désillusions éprouvantes, quelles rencontres signifiantes ne faut-il pas passer !
Pour pouvoir se dire soi-même en vérité, il ne suffit pas, nous l'avons appris en notre temps, avec Freud, Jung et quelques autres, de se vouloir sincère comme Rousseau le voulut en écrivant les « Confessions ». Car on peut sérieusement se méconnaître. Il ne suffit pas de se vouloir sincère. Encore faut-il pouvoir devenir lucide. Mais alors : comment se rendre assez transparent à soi-Âmême pour accéder à un tel regard ?
Une telle question ne peut laisser la théologie indifférente : il faut en prendre la mesure, dénombrer les illusions qu'elle engendre et les chances qu'elle offre à l'homme en quête du « dire de soi en vérité ». La théologie s'emploiera, avec ses ressources propres, à déchiffrer les diverses figures du spectacle narratif dont l'homme d'aujourd'hui est à la fois l'auteur, l'acteur et le spectateur.
Pour pouvoir se dire soi-même en vérité, il ne suffit pas, nous l'avons appris en notre temps, avec Freud, Jung et quelques autres, de se vouloir sincère comme Rousseau le voulut en écrivant les « Confessions ». Car on peut sérieusement se méconnaître. Il ne suffit pas de se vouloir sincère. Encore faut-il pouvoir devenir lucide. Mais alors : comment se rendre assez transparent à soi-Âmême pour accéder à un tel regard ?
Une telle question ne peut laisser la théologie indifférente : il faut en prendre la mesure, dénombrer les illusions qu'elle engendre et les chances qu'elle offre à l'homme en quête du « dire de soi en vérité ». La théologie s'emploiera, avec ses ressources propres, à déchiffrer les diverses figures du spectacle narratif dont l'homme d'aujourd'hui est à la fois l'auteur, l'acteur et le spectateur.
Pour pouvoir se dire soi-même en vérité, par quels apprentissaÂges, quelles expériences exaltantes, quels cruels échecs, quelles désillusions éprouvantes, quelles rencontres signifiantes ne faut-il pas passer !
Pour pouvoir se dire soi-même en vérité, il ne suffit pas, nous l'avons appris en notre temps, avec Freud, Jung et quelques autres, de se vouloir sincère comme Rousseau le voulut en écrivant les « Confessions ». Car on peut sérieusement se méconnaître. Il ne suffit pas de se vouloir sincère. Encore faut-il pouvoir devenir lucide. Mais alors : comment se rendre assez transparent à soi-Âmême pour accéder à un tel regard ?
Une telle question ne peut laisser la théologie indifférente : il faut en prendre la mesure, dénombrer les illusions qu'elle engendre et les chances qu'elle offre à l'homme en quête du « dire de soi en vérité ». La théologie s'emploiera, avec ses ressources propres, à déchiffrer les diverses figures du spectacle narratif dont l'homme d'aujourd'hui est à la fois l'auteur, l'acteur et le spectateur.
Pour pouvoir se dire soi-même en vérité, il ne suffit pas, nous l'avons appris en notre temps, avec Freud, Jung et quelques autres, de se vouloir sincère comme Rousseau le voulut en écrivant les « Confessions ». Car on peut sérieusement se méconnaître. Il ne suffit pas de se vouloir sincère. Encore faut-il pouvoir devenir lucide. Mais alors : comment se rendre assez transparent à soi-Âmême pour accéder à un tel regard ?
Une telle question ne peut laisser la théologie indifférente : il faut en prendre la mesure, dénombrer les illusions qu'elle engendre et les chances qu'elle offre à l'homme en quête du « dire de soi en vérité ». La théologie s'emploiera, avec ses ressources propres, à déchiffrer les diverses figures du spectacle narratif dont l'homme d'aujourd'hui est à la fois l'auteur, l'acteur et le spectateur.