Rahab
Sous-titre :
La prostituée de Jéricho
ISBN :
9782354140731
Editeur :
Auteur :
Info :
128
pages -
Broché -
2013
-
Prix 16,50 €
Thèmes :
4e de couverture :
L'histoire colorée et enivrante de Rahab, la prostituée de Jéricho,
préfacée par Jean-Louis Prunier, pasteur de l'Eglise réformée de France en Lozère.
Jéricho, « ville des palmiers », oasis au milieu du désert où il fait bon vivre, 1230 avant notre ère. Rahab, belle, avenante, généreuse, peu avare de ses charmes, tient une auberge située sur les remparts et c'est avec plaisir que parents, amis et clients occasionnels aiment s'y retrouver pour discuter et se laisser aller aux confidences. Son statut de prostituée fait d'elle une femme libre qui n'est soumise ni à un père, ni à un mari. Un jour, pourtant, tout bascule avec l'arrivée de deux espions hébreux envoyés par Josué. N'écoutant que son cœur, Rahab prend le risque de trahir son peuple pour assurer sa survie et celle de tout son clan. Elle comprend que le salut viendra de son Dieu, le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob. Jéricho sera détruite et le clan devra partir pour recommencer une vie ailleurs, une vie pleine de promesses pour Rahab et les siens.
Après Moi, Sara la rebelle (2007), Nicole Toubert nous fait revivre l'histoire d'une autre femme de la Bible, Rahab, que l'on peut lire dans le livre de Josué. Elle met en scène des personnages hauts en couleur et nous entraîne au milieu des voiles, des bijoux et des senteurs de l'Orient. Elle s'attarde volontiers sur les mets et les vins car c'est autour d'une bonne table que les langues se délient, que les liens d'amitié se resserrent. Et pourtant, nous découvrons aussi un monde de violence, si différent du nôtre et pourtant si semblable par les sentiments qu'il engendre.
Jéricho, « ville des palmiers », oasis au milieu du désert où il fait bon vivre, 1230 avant notre ère. Rahab, belle, avenante, généreuse, peu avare de ses charmes, tient une auberge située sur les remparts et c'est avec plaisir que parents, amis et clients occasionnels aiment s'y retrouver pour discuter et se laisser aller aux confidences. Son statut de prostituée fait d'elle une femme libre qui n'est soumise ni à un père, ni à un mari. Un jour, pourtant, tout bascule avec l'arrivée de deux espions hébreux envoyés par Josué. N'écoutant que son cœur, Rahab prend le risque de trahir son peuple pour assurer sa survie et celle de tout son clan. Elle comprend que le salut viendra de son Dieu, le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob. Jéricho sera détruite et le clan devra partir pour recommencer une vie ailleurs, une vie pleine de promesses pour Rahab et les siens.
Après Moi, Sara la rebelle (2007), Nicole Toubert nous fait revivre l'histoire d'une autre femme de la Bible, Rahab, que l'on peut lire dans le livre de Josué. Elle met en scène des personnages hauts en couleur et nous entraîne au milieu des voiles, des bijoux et des senteurs de l'Orient. Elle s'attarde volontiers sur les mets et les vins car c'est autour d'une bonne table que les langues se délient, que les liens d'amitié se resserrent. Et pourtant, nous découvrons aussi un monde de violence, si différent du nôtre et pourtant si semblable par les sentiments qu'il engendre.
L'histoire colorée et enivrante de Rahab, la prostituée de Jéricho,
préfacée par Jean-Louis Prunier, pasteur de l'Eglise réformée de France en Lozère.
Jéricho, « ville des palmiers », oasis au milieu du désert où il fait bon vivre, 1230 avant notre ère. Rahab, belle, avenante, généreuse, peu avare de ses charmes, tient une auberge située sur les remparts et c'est avec plaisir que parents, amis et clients occasionnels aiment s'y retrouver pour discuter et se laisser aller aux confidences. Son statut de prostituée fait d'elle une femme libre qui n'est soumise ni à un père, ni à un mari. Un jour, pourtant, tout bascule avec l'arrivée de deux espions hébreux envoyés par Josué. N'écoutant que son cœur, Rahab prend le risque de trahir son peuple pour assurer sa survie et celle de tout son clan. Elle comprend que le salut viendra de son Dieu, le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob. Jéricho sera détruite et le clan devra partir pour recommencer une vie ailleurs, une vie pleine de promesses pour Rahab et les siens.
Après Moi, Sara la rebelle (2007), Nicole Toubert nous fait revivre l'histoire d'une autre femme de la Bible, Rahab, que l'on peut lire dans le livre de Josué. Elle met en scène des personnages hauts en couleur et nous entraîne au milieu des voiles, des bijoux et des senteurs de l'Orient. Elle s'attarde volontiers sur les mets et les vins car c'est autour d'une bonne table que les langues se délient, que les liens d'amitié se resserrent. Et pourtant, nous découvrons aussi un monde de violence, si différent du nôtre et pourtant si semblable par les sentiments qu'il engendre.
Jéricho, « ville des palmiers », oasis au milieu du désert où il fait bon vivre, 1230 avant notre ère. Rahab, belle, avenante, généreuse, peu avare de ses charmes, tient une auberge située sur les remparts et c'est avec plaisir que parents, amis et clients occasionnels aiment s'y retrouver pour discuter et se laisser aller aux confidences. Son statut de prostituée fait d'elle une femme libre qui n'est soumise ni à un père, ni à un mari. Un jour, pourtant, tout bascule avec l'arrivée de deux espions hébreux envoyés par Josué. N'écoutant que son cœur, Rahab prend le risque de trahir son peuple pour assurer sa survie et celle de tout son clan. Elle comprend que le salut viendra de son Dieu, le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob. Jéricho sera détruite et le clan devra partir pour recommencer une vie ailleurs, une vie pleine de promesses pour Rahab et les siens.
Après Moi, Sara la rebelle (2007), Nicole Toubert nous fait revivre l'histoire d'une autre femme de la Bible, Rahab, que l'on peut lire dans le livre de Josué. Elle met en scène des personnages hauts en couleur et nous entraîne au milieu des voiles, des bijoux et des senteurs de l'Orient. Elle s'attarde volontiers sur les mets et les vins car c'est autour d'une bonne table que les langues se délient, que les liens d'amitié se resserrent. Et pourtant, nous découvrons aussi un monde de violence, si différent du nôtre et pourtant si semblable par les sentiments qu'il engendre.