Réveil et christianisme social
Sous-titre :
Correspondance 1886-1897
ISBN :
9782830915150
Editeur :
Auteur :
Collection :
Info :
405
pages -
Broché -
2013
-
Prix 29,00 €
Thèmes :
Statut :
Neuf
4e de couverture :
Prix Editeur initial 29€
• Correspondance introduite, commentée et éditée par Christophe
• Chalamet et Grégoire Humbert
• Avant-propos de Patrick Cabanel
•
• Le protestantisme français doit beaucoup à Élie Gounelle (1865-1950) et à Henri Nick (1868-1954), deux figures majeures parmi les réformés français du XXe siècle. Élie Gounelle lança le mouvement des « Solidarités » à Roubaix en 1896 avant de devenir, avec Wilfred Monod, le chef de file du Christianisme social. Henri Nick se consacra à l'évangélisation pendant plus de cinquante ans au « Foyer du peuple » qu'il avait fondé parmi les ouvriers de Fives, à Lille. Mais avant tout cela, ces deux hommes furent camarades d'études à la Faculté de théologie de Montauban, puis pasteurs non loin l'un de l'autre (Alès et Mialet), avant de poursuivre leur collaboration et leur amitié dans le Nord de la France (Roubaix et Lille). Au travers de 168 lettres échangées par Gounelle et Nick durant leurs années d'études et leurs ministères cévenols, mais grâce également à 35 lettres inédites de la plume de Tommy Fallot, Wilfred Monod, Paul Minault et d'autres, nous découvrons toute une génération d'étudiants en théologie et de pasteurs, le plus souvent issus du Réveil, qui découvrirent les dimensions sociales du message biblique.
Élie Gounelle (1865-1950) et Henri Nick (1868-1954) sont deux figures majeures parmi les réformés français du XXe siècle.
• Correspondance introduite, commentée et éditée par Christophe
• Chalamet et Grégoire Humbert
• Avant-propos de Patrick Cabanel
•
• Le protestantisme français doit beaucoup à Élie Gounelle (1865-1950) et à Henri Nick (1868-1954), deux figures majeures parmi les réformés français du XXe siècle. Élie Gounelle lança le mouvement des « Solidarités » à Roubaix en 1896 avant de devenir, avec Wilfred Monod, le chef de file du Christianisme social. Henri Nick se consacra à l'évangélisation pendant plus de cinquante ans au « Foyer du peuple » qu'il avait fondé parmi les ouvriers de Fives, à Lille. Mais avant tout cela, ces deux hommes furent camarades d'études à la Faculté de théologie de Montauban, puis pasteurs non loin l'un de l'autre (Alès et Mialet), avant de poursuivre leur collaboration et leur amitié dans le Nord de la France (Roubaix et Lille). Au travers de 168 lettres échangées par Gounelle et Nick durant leurs années d'études et leurs ministères cévenols, mais grâce également à 35 lettres inédites de la plume de Tommy Fallot, Wilfred Monod, Paul Minault et d'autres, nous découvrons toute une génération d'étudiants en théologie et de pasteurs, le plus souvent issus du Réveil, qui découvrirent les dimensions sociales du message biblique.
Élie Gounelle (1865-1950) et Henri Nick (1868-1954) sont deux figures majeures parmi les réformés français du XXe siècle.
Prix Editeur initial 29€
• Correspondance introduite, commentée et éditée par Christophe
• Chalamet et Grégoire Humbert
• Avant-propos de Patrick Cabanel
•
• Le protestantisme français doit beaucoup à Élie Gounelle (1865-1950) et à Henri Nick (1868-1954), deux figures majeures parmi les réformés français du XXe siècle. Élie Gounelle lança le mouvement des « Solidarités » à Roubaix en 1896 avant de devenir, avec Wilfred Monod, le chef de file du Christianisme social. Henri Nick se consacra à l'évangélisation pendant plus de cinquante ans au « Foyer du peuple » qu'il avait fondé parmi les ouvriers de Fives, à Lille. Mais avant tout cela, ces deux hommes furent camarades d'études à la Faculté de théologie de Montauban, puis pasteurs non loin l'un de l'autre (Alès et Mialet), avant de poursuivre leur collaboration et leur amitié dans le Nord de la France (Roubaix et Lille). Au travers de 168 lettres échangées par Gounelle et Nick durant leurs années d'études et leurs ministères cévenols, mais grâce également à 35 lettres inédites de la plume de Tommy Fallot, Wilfred Monod, Paul Minault et d'autres, nous découvrons toute une génération d'étudiants en théologie et de pasteurs, le plus souvent issus du Réveil, qui découvrirent les dimensions sociales du message biblique.
Élie Gounelle (1865-1950) et Henri Nick (1868-1954) sont deux figures majeures parmi les réformés français du XXe siècle.
• Correspondance introduite, commentée et éditée par Christophe
• Chalamet et Grégoire Humbert
• Avant-propos de Patrick Cabanel
•
• Le protestantisme français doit beaucoup à Élie Gounelle (1865-1950) et à Henri Nick (1868-1954), deux figures majeures parmi les réformés français du XXe siècle. Élie Gounelle lança le mouvement des « Solidarités » à Roubaix en 1896 avant de devenir, avec Wilfred Monod, le chef de file du Christianisme social. Henri Nick se consacra à l'évangélisation pendant plus de cinquante ans au « Foyer du peuple » qu'il avait fondé parmi les ouvriers de Fives, à Lille. Mais avant tout cela, ces deux hommes furent camarades d'études à la Faculté de théologie de Montauban, puis pasteurs non loin l'un de l'autre (Alès et Mialet), avant de poursuivre leur collaboration et leur amitié dans le Nord de la France (Roubaix et Lille). Au travers de 168 lettres échangées par Gounelle et Nick durant leurs années d'études et leurs ministères cévenols, mais grâce également à 35 lettres inédites de la plume de Tommy Fallot, Wilfred Monod, Paul Minault et d'autres, nous découvrons toute une génération d'étudiants en théologie et de pasteurs, le plus souvent issus du Réveil, qui découvrirent les dimensions sociales du message biblique.
Élie Gounelle (1865-1950) et Henri Nick (1868-1954) sont deux figures majeures parmi les réformés français du XXe siècle.