La religion
Sous-titre :
Cicéron, Lucrèce, Bergson, Spinoza, Hegel
ISBN :
9782200269968
Editeur :
Auteur :
Collection :
Info :
188
pages -
Broché -
2010
-
Prix 22,60 €
Thèmes :
4e de couverture :
La résistance du religieux, naguère jugé en voie de dépassement, intrigue et dérange. Régression passagère de l'humaine raison, en des temps marqués par l'effacement des idéologies de progrès, ou solidité inaltérable d'une forme culturelle sui generis ? Le philosophe, tenant depuis deux millénaires d'une réflexion émancipée, se doit d'affronter la question.
Analyse de la notion
On confrontera deux approches adverses, celle selon laquelle aucune société ne peut se passer de religion, et celle qui maintient que l'âge de la religion est en un sens terminé. D'un côté, la religion apparaît comme un constituant indépassable du lien social, de l'autre, elle appartient à l'ordre de l'imagination subjective, particulière, potentiellement abusive. Dans ce débat, se nouent les questions vives de la tolérance, de la laïcité et des choix éthiques.
Étude de textes
Cicéron met en avant l'aspect civique de la religion ; Spinoza considère la foi d'un point de vue pragmatique et développe un noyau rationnel commun à toutes les religions ; Lucrèce démontre que la terreur religieuse est produite par l'homme lui-même, qui s'en délivrera par le savoir ; pour Bergson, l'intelligence frôlant à tout moment la dissolution, il appartient à la religion, force créatrice, d'assurer la cohésion du tout. Pour Hegel enfin, le contenu théorique de la religion est le même que celui de la philosophie : c'est une manifestation authentique mais partielle de la vie de l'Absolu.
Jacqueline LAGRÉE, agrégée de philosophie, professeur des universités (Rennes-I), a publié plusieurs ouvrages sur les questions religieuses à l'Âge classique.
La collection Vocation philosophe se veut l'instrument privilégié d'une formation exigeante à la pratique de la philosophie, au niveau exigé pour affronter au mieux les concours et examens. L'examen critique des notions fondamentales est associé à l'étude d'extraits d'importance majeure et à un appareil précis de références chronologiques et bibliographiques.
Analyse de la notion
On confrontera deux approches adverses, celle selon laquelle aucune société ne peut se passer de religion, et celle qui maintient que l'âge de la religion est en un sens terminé. D'un côté, la religion apparaît comme un constituant indépassable du lien social, de l'autre, elle appartient à l'ordre de l'imagination subjective, particulière, potentiellement abusive. Dans ce débat, se nouent les questions vives de la tolérance, de la laïcité et des choix éthiques.
Étude de textes
Cicéron met en avant l'aspect civique de la religion ; Spinoza considère la foi d'un point de vue pragmatique et développe un noyau rationnel commun à toutes les religions ; Lucrèce démontre que la terreur religieuse est produite par l'homme lui-même, qui s'en délivrera par le savoir ; pour Bergson, l'intelligence frôlant à tout moment la dissolution, il appartient à la religion, force créatrice, d'assurer la cohésion du tout. Pour Hegel enfin, le contenu théorique de la religion est le même que celui de la philosophie : c'est une manifestation authentique mais partielle de la vie de l'Absolu.
Jacqueline LAGRÉE, agrégée de philosophie, professeur des universités (Rennes-I), a publié plusieurs ouvrages sur les questions religieuses à l'Âge classique.
La collection Vocation philosophe se veut l'instrument privilégié d'une formation exigeante à la pratique de la philosophie, au niveau exigé pour affronter au mieux les concours et examens. L'examen critique des notions fondamentales est associé à l'étude d'extraits d'importance majeure et à un appareil précis de références chronologiques et bibliographiques.
La résistance du religieux, naguère jugé en voie de dépassement, intrigue et dérange. Régression passagère de l'humaine raison, en des temps marqués par l'effacement des idéologies de progrès, ou solidité inaltérable d'une forme culturelle sui generis ? Le philosophe, tenant depuis deux millénaires d'une réflexion émancipée, se doit d'affronter la question.
Analyse de la notion
On confrontera deux approches adverses, celle selon laquelle aucune société ne peut se passer de religion, et celle qui maintient que l'âge de la religion est en un sens terminé. D'un côté, la religion apparaît comme un constituant indépassable du lien social, de l'autre, elle appartient à l'ordre de l'imagination subjective, particulière, potentiellement abusive. Dans ce débat, se nouent les questions vives de la tolérance, de la laïcité et des choix éthiques.
Étude de textes
Cicéron met en avant l'aspect civique de la religion ; Spinoza considère la foi d'un point de vue pragmatique et développe un noyau rationnel commun à toutes les religions ; Lucrèce démontre que la terreur religieuse est produite par l'homme lui-même, qui s'en délivrera par le savoir ; pour Bergson, l'intelligence frôlant à tout moment la dissolution, il appartient à la religion, force créatrice, d'assurer la cohésion du tout. Pour Hegel enfin, le contenu théorique de la religion est le même que celui de la philosophie : c'est une manifestation authentique mais partielle de la vie de l'Absolu.
Jacqueline LAGRÉE, agrégée de philosophie, professeur des universités (Rennes-I), a publié plusieurs ouvrages sur les questions religieuses à l'Âge classique.
La collection Vocation philosophe se veut l'instrument privilégié d'une formation exigeante à la pratique de la philosophie, au niveau exigé pour affronter au mieux les concours et examens. L'examen critique des notions fondamentales est associé à l'étude d'extraits d'importance majeure et à un appareil précis de références chronologiques et bibliographiques.
Analyse de la notion
On confrontera deux approches adverses, celle selon laquelle aucune société ne peut se passer de religion, et celle qui maintient que l'âge de la religion est en un sens terminé. D'un côté, la religion apparaît comme un constituant indépassable du lien social, de l'autre, elle appartient à l'ordre de l'imagination subjective, particulière, potentiellement abusive. Dans ce débat, se nouent les questions vives de la tolérance, de la laïcité et des choix éthiques.
Étude de textes
Cicéron met en avant l'aspect civique de la religion ; Spinoza considère la foi d'un point de vue pragmatique et développe un noyau rationnel commun à toutes les religions ; Lucrèce démontre que la terreur religieuse est produite par l'homme lui-même, qui s'en délivrera par le savoir ; pour Bergson, l'intelligence frôlant à tout moment la dissolution, il appartient à la religion, force créatrice, d'assurer la cohésion du tout. Pour Hegel enfin, le contenu théorique de la religion est le même que celui de la philosophie : c'est une manifestation authentique mais partielle de la vie de l'Absolu.
Jacqueline LAGRÉE, agrégée de philosophie, professeur des universités (Rennes-I), a publié plusieurs ouvrages sur les questions religieuses à l'Âge classique.
La collection Vocation philosophe se veut l'instrument privilégié d'une formation exigeante à la pratique de la philosophie, au niveau exigé pour affronter au mieux les concours et examens. L'examen critique des notions fondamentales est associé à l'étude d'extraits d'importance majeure et à un appareil précis de références chronologiques et bibliographiques.