Pierre Dugua, sieur de Mons, fondateur de Québec
ISBN :
9782907967488
Editeur :
Auteur :
Info :
368
pages -
Broché -
1999
-
Prix 20,58 €
Thèmes :
Statut :
Occasion
4e de couverture :
Enfant de Royan très tôt attiré par la mer, Pierre Dugua (vers 1560-1628) consacre une première partie de sa vie à combattre dans les armées du roi, puis une fois marié (avec la Saintongeaise Judith Chesnel, de Meux), il vend ses domaines et investit tout dans des entreprises outremer. Pendant près de quinze ans, il va ainsi affirmer la présence française dans le Saint-Laurent, devenir lieutenant-général de la Nouvelle-France et développer un fructueux commerce de pelleterie. Il reste dans l'histoire comme le fondateur de Québec, brillamment secondé par son lieutenant Samuel Champlain. À la fin de sa vie, il revient en Saintonge, d'abord comme gouverneur de Pons, une ville agitée, puis comme seigneur du château d'Ardennes.
C'est cette histoire passionnante que restitue ce livre. On y retrouve les liens de famille saintongeais, les intérêts politiques au centre desquels Pierre Dugua se débat. On y retrouve surtout l'extraordinaire aventure que furent les premiers pas de la colonisation du Canada, en particulier grâce aux écrits de Champlain : les curiosités naturalistes, les relations avec les Indiens, les hivers marqués par le scorbut, la concurrence anglaise et hollandaise, l'armement des navires, le rôle de ports comme La Rochelle, Saint-Jean-de-Luz, Le Havre, Dieppe, Saint-Malo et surtout Honfleur... Un des points les plus neufs abordé ici est la création des "compagnies" en lesquelles s'associent des marchands dont certains n'hésitent pas à frauder pour augmenter leurs profits : la pêche à la morue ou à la baleine ainsi que le commerce du duvet de castor qui, des rives encore sauvages du Saint-Laurent, alimente la mode parisienne des chapeaux, constituent en effet la motivation majeure de l'entreprise, Le personnage de Pierre Dugua y apparaît comme sachant allier le minuscule et le grandiose, les pures préoccupations patrimoniales et les hauts enjeux stratégiques...
C'est cette histoire passionnante que restitue ce livre. On y retrouve les liens de famille saintongeais, les intérêts politiques au centre desquels Pierre Dugua se débat. On y retrouve surtout l'extraordinaire aventure que furent les premiers pas de la colonisation du Canada, en particulier grâce aux écrits de Champlain : les curiosités naturalistes, les relations avec les Indiens, les hivers marqués par le scorbut, la concurrence anglaise et hollandaise, l'armement des navires, le rôle de ports comme La Rochelle, Saint-Jean-de-Luz, Le Havre, Dieppe, Saint-Malo et surtout Honfleur... Un des points les plus neufs abordé ici est la création des "compagnies" en lesquelles s'associent des marchands dont certains n'hésitent pas à frauder pour augmenter leurs profits : la pêche à la morue ou à la baleine ainsi que le commerce du duvet de castor qui, des rives encore sauvages du Saint-Laurent, alimente la mode parisienne des chapeaux, constituent en effet la motivation majeure de l'entreprise, Le personnage de Pierre Dugua y apparaît comme sachant allier le minuscule et le grandiose, les pures préoccupations patrimoniales et les hauts enjeux stratégiques...
Enfant de Royan très tôt attiré par la mer, Pierre Dugua (vers 1560-1628) consacre une première partie de sa vie à combattre dans les armées du roi, puis une fois marié (avec la Saintongeaise Judith Chesnel, de Meux), il vend ses domaines et investit tout dans des entreprises outremer. Pendant près de quinze ans, il va ainsi affirmer la présence française dans le Saint-Laurent, devenir lieutenant-général de la Nouvelle-France et développer un fructueux commerce de pelleterie. Il reste dans l'histoire comme le fondateur de Québec, brillamment secondé par son lieutenant Samuel Champlain. À la fin de sa vie, il revient en Saintonge, d'abord comme gouverneur de Pons, une ville agitée, puis comme seigneur du château d'Ardennes.
C'est cette histoire passionnante que restitue ce livre. On y retrouve les liens de famille saintongeais, les intérêts politiques au centre desquels Pierre Dugua se débat. On y retrouve surtout l'extraordinaire aventure que furent les premiers pas de la colonisation du Canada, en particulier grâce aux écrits de Champlain : les curiosités naturalistes, les relations avec les Indiens, les hivers marqués par le scorbut, la concurrence anglaise et hollandaise, l'armement des navires, le rôle de ports comme La Rochelle, Saint-Jean-de-Luz, Le Havre, Dieppe, Saint-Malo et surtout Honfleur... Un des points les plus neufs abordé ici est la création des "compagnies" en lesquelles s'associent des marchands dont certains n'hésitent pas à frauder pour augmenter leurs profits : la pêche à la morue ou à la baleine ainsi que le commerce du duvet de castor qui, des rives encore sauvages du Saint-Laurent, alimente la mode parisienne des chapeaux, constituent en effet la motivation majeure de l'entreprise, Le personnage de Pierre Dugua y apparaît comme sachant allier le minuscule et le grandiose, les pures préoccupations patrimoniales et les hauts enjeux stratégiques...
C'est cette histoire passionnante que restitue ce livre. On y retrouve les liens de famille saintongeais, les intérêts politiques au centre desquels Pierre Dugua se débat. On y retrouve surtout l'extraordinaire aventure que furent les premiers pas de la colonisation du Canada, en particulier grâce aux écrits de Champlain : les curiosités naturalistes, les relations avec les Indiens, les hivers marqués par le scorbut, la concurrence anglaise et hollandaise, l'armement des navires, le rôle de ports comme La Rochelle, Saint-Jean-de-Luz, Le Havre, Dieppe, Saint-Malo et surtout Honfleur... Un des points les plus neufs abordé ici est la création des "compagnies" en lesquelles s'associent des marchands dont certains n'hésitent pas à frauder pour augmenter leurs profits : la pêche à la morue ou à la baleine ainsi que le commerce du duvet de castor qui, des rives encore sauvages du Saint-Laurent, alimente la mode parisienne des chapeaux, constituent en effet la motivation majeure de l'entreprise, Le personnage de Pierre Dugua y apparaît comme sachant allier le minuscule et le grandiose, les pures préoccupations patrimoniales et les hauts enjeux stratégiques...