La politique des reliques de Constantin à saint Louis
ISBN :
9782701014913
Editeur :
Auteur :
Edina BOZOKY, Jean-Claude SCHMITT (préface)
Info :
320
pages -
Broché -
2006
-
Prix 15,00 €
Thèmes :
4e de couverture :
PRIX INITIAL= 39.5€
Jusqu'à ce jour, les reliques du Christ, de la Vierge et des saints ont été un objet de culte. Au Moyen Âge, elles étaient aussi un instrument de pouvoir. Parce que l'on croyait qu'elles assuraient par leur puissance miraculeuse la protection collective, les détenteurs de l'autorité publique les ont souvent utilisées pour augmenter leur prestige, voire asseoir leur légitimité.
À l'exemple de Byzance, empereurs, rois et princes sont régulièrement intervenus dans les translations et autres mises en valeur des reliques. C'est toute une circulation qui s'est instaurée alors de ces fragments sacrés, ponctuée de cortèges solennels, d'offrandes de reliquaires somptueux, ou parfois même de vols.
Dans cette synthèse originale, Edina Bozoky interprète les enjeux politiques que représentaient la possession et le contrôle des reliques. Le lecteur y trouvera quantité de dossiers parfois peu connus, mais surtout une contribution décisive à la compréhension des rapports entre religion et exercice du pouvoir.
Edina Bozoky est maître de conférences en histoire médiévale à l'université de Poitiers et membre du Centre d'études supérieures de civilisation médiévale. Elle dirige la collection « Culture et société médiévales » aux éditions Brepols. Ses recherches englobent divers aspects de la religiosité médiévale : croyances hérétiques, pratiques apotropaïques, légendes hagiographiques, culte des saints et des reliques. Elle a publié, aux éditions Beauchesne, Le Livre secret des cathares, Interrogatio Iohannis.
Jusqu'à ce jour, les reliques du Christ, de la Vierge et des saints ont été un objet de culte. Au Moyen Âge, elles étaient aussi un instrument de pouvoir. Parce que l'on croyait qu'elles assuraient par leur puissance miraculeuse la protection collective, les détenteurs de l'autorité publique les ont souvent utilisées pour augmenter leur prestige, voire asseoir leur légitimité.
À l'exemple de Byzance, empereurs, rois et princes sont régulièrement intervenus dans les translations et autres mises en valeur des reliques. C'est toute une circulation qui s'est instaurée alors de ces fragments sacrés, ponctuée de cortèges solennels, d'offrandes de reliquaires somptueux, ou parfois même de vols.
Dans cette synthèse originale, Edina Bozoky interprète les enjeux politiques que représentaient la possession et le contrôle des reliques. Le lecteur y trouvera quantité de dossiers parfois peu connus, mais surtout une contribution décisive à la compréhension des rapports entre religion et exercice du pouvoir.
Edina Bozoky est maître de conférences en histoire médiévale à l'université de Poitiers et membre du Centre d'études supérieures de civilisation médiévale. Elle dirige la collection « Culture et société médiévales » aux éditions Brepols. Ses recherches englobent divers aspects de la religiosité médiévale : croyances hérétiques, pratiques apotropaïques, légendes hagiographiques, culte des saints et des reliques. Elle a publié, aux éditions Beauchesne, Le Livre secret des cathares, Interrogatio Iohannis.
PRIX INITIAL= 39.5€
Jusqu'à ce jour, les reliques du Christ, de la Vierge et des saints ont été un objet de culte. Au Moyen Âge, elles étaient aussi un instrument de pouvoir. Parce que l'on croyait qu'elles assuraient par leur puissance miraculeuse la protection collective, les détenteurs de l'autorité publique les ont souvent utilisées pour augmenter leur prestige, voire asseoir leur légitimité.
À l'exemple de Byzance, empereurs, rois et princes sont régulièrement intervenus dans les translations et autres mises en valeur des reliques. C'est toute une circulation qui s'est instaurée alors de ces fragments sacrés, ponctuée de cortèges solennels, d'offrandes de reliquaires somptueux, ou parfois même de vols.
Dans cette synthèse originale, Edina Bozoky interprète les enjeux politiques que représentaient la possession et le contrôle des reliques. Le lecteur y trouvera quantité de dossiers parfois peu connus, mais surtout une contribution décisive à la compréhension des rapports entre religion et exercice du pouvoir.
Edina Bozoky est maître de conférences en histoire médiévale à l'université de Poitiers et membre du Centre d'études supérieures de civilisation médiévale. Elle dirige la collection « Culture et société médiévales » aux éditions Brepols. Ses recherches englobent divers aspects de la religiosité médiévale : croyances hérétiques, pratiques apotropaïques, légendes hagiographiques, culte des saints et des reliques. Elle a publié, aux éditions Beauchesne, Le Livre secret des cathares, Interrogatio Iohannis.
Jusqu'à ce jour, les reliques du Christ, de la Vierge et des saints ont été un objet de culte. Au Moyen Âge, elles étaient aussi un instrument de pouvoir. Parce que l'on croyait qu'elles assuraient par leur puissance miraculeuse la protection collective, les détenteurs de l'autorité publique les ont souvent utilisées pour augmenter leur prestige, voire asseoir leur légitimité.
À l'exemple de Byzance, empereurs, rois et princes sont régulièrement intervenus dans les translations et autres mises en valeur des reliques. C'est toute une circulation qui s'est instaurée alors de ces fragments sacrés, ponctuée de cortèges solennels, d'offrandes de reliquaires somptueux, ou parfois même de vols.
Dans cette synthèse originale, Edina Bozoky interprète les enjeux politiques que représentaient la possession et le contrôle des reliques. Le lecteur y trouvera quantité de dossiers parfois peu connus, mais surtout une contribution décisive à la compréhension des rapports entre religion et exercice du pouvoir.
Edina Bozoky est maître de conférences en histoire médiévale à l'université de Poitiers et membre du Centre d'études supérieures de civilisation médiévale. Elle dirige la collection « Culture et société médiévales » aux éditions Brepols. Ses recherches englobent divers aspects de la religiosité médiévale : croyances hérétiques, pratiques apotropaïques, légendes hagiographiques, culte des saints et des reliques. Elle a publié, aux éditions Beauchesne, Le Livre secret des cathares, Interrogatio Iohannis.