Main basse sur les vivants
Sous-titre :
De la Genèse à la génétique
ISBN :
9782213604701
Editeur :
Auteur :
Info :
276
pages -
Broché -
2000
-
Prix 23,00 €
Thèmes :
Statut :
Neuf
4e de couverture :
Moins de vingt ans séparent la première naissance par fécondation in vitro des perspectives annoncées de clonage et de trans-genèse humaine. Dans l'intervalle, c'est à un formidable déchaînement expérimental que nous auront convié les biologistes. Sous couvert de « projet parental » s'élabore ainsi une inquiétante instrumentalisation de l'être humain. L'embryon simple matériau, se prête aux combinaisons les plus aberrantes : bébés postmortem, grands-mères porteuses, jumeaux conçus à la même date en laboratoire et naissant à des années d'écart...
Quelles sont les significations profondes de cet acharnement sur la filiation qu'aucune urgence humaine ne rend compréhensible ? C'est à cette interrogation que Monette Vacquin nous invite, cherchant le sens de ces interventions sur l'espèce, dont les conséquences échappent à toute représentation.
Soulignant la faiblesse de la « bio-éthique », ainsi que la stérilité et la violence des controverses actuelles sur le sujet, l'auteur révèle un déficit symbolique sans précédent dans notre société. Aura-t-il pour conséquence ultime une casse irrémédiable de l'homme ?
Main basse sur les vivants renverse toutes les certitudes acquises. En tentant de cerner ce qui prend la forme d'un redoutable passage à l'acte sur l'espèce, l'auteur affronte l'un des enjeux essentiels de cette fin de siècle.
Monette Vacquin, psychanalyste, travaille depuis des années avec des biologistes, philosophes, psychanalystes et anthropologues. Elle a publié Frankenstein ou les délires de la raison François Bourin, 1989, réédité chez Julliard), a contribué au Magasin des enfants sous la direction de Jacques Testart (Gallimard, coll. « Folio », l990) et a dirigé un numéro de la revue Autrement « La responsabilité : la condition de notre humanité », coll. « Morales » (1994).
Quelles sont les significations profondes de cet acharnement sur la filiation qu'aucune urgence humaine ne rend compréhensible ? C'est à cette interrogation que Monette Vacquin nous invite, cherchant le sens de ces interventions sur l'espèce, dont les conséquences échappent à toute représentation.
Soulignant la faiblesse de la « bio-éthique », ainsi que la stérilité et la violence des controverses actuelles sur le sujet, l'auteur révèle un déficit symbolique sans précédent dans notre société. Aura-t-il pour conséquence ultime une casse irrémédiable de l'homme ?
Main basse sur les vivants renverse toutes les certitudes acquises. En tentant de cerner ce qui prend la forme d'un redoutable passage à l'acte sur l'espèce, l'auteur affronte l'un des enjeux essentiels de cette fin de siècle.
Monette Vacquin, psychanalyste, travaille depuis des années avec des biologistes, philosophes, psychanalystes et anthropologues. Elle a publié Frankenstein ou les délires de la raison François Bourin, 1989, réédité chez Julliard), a contribué au Magasin des enfants sous la direction de Jacques Testart (Gallimard, coll. « Folio », l990) et a dirigé un numéro de la revue Autrement « La responsabilité : la condition de notre humanité », coll. « Morales » (1994).
Moins de vingt ans séparent la première naissance par fécondation in vitro des perspectives annoncées de clonage et de trans-genèse humaine. Dans l'intervalle, c'est à un formidable déchaînement expérimental que nous auront convié les biologistes. Sous couvert de « projet parental » s'élabore ainsi une inquiétante instrumentalisation de l'être humain. L'embryon simple matériau, se prête aux combinaisons les plus aberrantes : bébés postmortem, grands-mères porteuses, jumeaux conçus à la même date en laboratoire et naissant à des années d'écart...
Quelles sont les significations profondes de cet acharnement sur la filiation qu'aucune urgence humaine ne rend compréhensible ? C'est à cette interrogation que Monette Vacquin nous invite, cherchant le sens de ces interventions sur l'espèce, dont les conséquences échappent à toute représentation.
Soulignant la faiblesse de la « bio-éthique », ainsi que la stérilité et la violence des controverses actuelles sur le sujet, l'auteur révèle un déficit symbolique sans précédent dans notre société. Aura-t-il pour conséquence ultime une casse irrémédiable de l'homme ?
Main basse sur les vivants renverse toutes les certitudes acquises. En tentant de cerner ce qui prend la forme d'un redoutable passage à l'acte sur l'espèce, l'auteur affronte l'un des enjeux essentiels de cette fin de siècle.
Monette Vacquin, psychanalyste, travaille depuis des années avec des biologistes, philosophes, psychanalystes et anthropologues. Elle a publié Frankenstein ou les délires de la raison François Bourin, 1989, réédité chez Julliard), a contribué au Magasin des enfants sous la direction de Jacques Testart (Gallimard, coll. « Folio », l990) et a dirigé un numéro de la revue Autrement « La responsabilité : la condition de notre humanité », coll. « Morales » (1994).
Quelles sont les significations profondes de cet acharnement sur la filiation qu'aucune urgence humaine ne rend compréhensible ? C'est à cette interrogation que Monette Vacquin nous invite, cherchant le sens de ces interventions sur l'espèce, dont les conséquences échappent à toute représentation.
Soulignant la faiblesse de la « bio-éthique », ainsi que la stérilité et la violence des controverses actuelles sur le sujet, l'auteur révèle un déficit symbolique sans précédent dans notre société. Aura-t-il pour conséquence ultime une casse irrémédiable de l'homme ?
Main basse sur les vivants renverse toutes les certitudes acquises. En tentant de cerner ce qui prend la forme d'un redoutable passage à l'acte sur l'espèce, l'auteur affronte l'un des enjeux essentiels de cette fin de siècle.
Monette Vacquin, psychanalyste, travaille depuis des années avec des biologistes, philosophes, psychanalystes et anthropologues. Elle a publié Frankenstein ou les délires de la raison François Bourin, 1989, réédité chez Julliard), a contribué au Magasin des enfants sous la direction de Jacques Testart (Gallimard, coll. « Folio », l990) et a dirigé un numéro de la revue Autrement « La responsabilité : la condition de notre humanité », coll. « Morales » (1994).