Marie Durand et les captives d'Aigues-Mortes
ISBN :
9782869718425
Editeur :
Auteur :
Info :
160
pages -
Broché -
1993
-
Prix 15,00 €
Thèmes :
Statut :
Neuf
4e de couverture :
Nous sommes en pleine guerre de religion entre protestants et catholiques dans les Cévennes où se trouvaient de nombreux huguenots, réfugiés là depuis la révocation par Louis XIV et l'Edit de Nantes, acte qui garantissait, en 1598, les droits des protestants sous Henri IV. Mais Louis XIV les persécuta odieusement. 5000.000 habitants allèrent porter hors de France leur savoir et leur industrie.Sous Louis XV, leur situation ne s'amélioras pas. La lutte pouvoir royal-Eglise catholique d'Etat contre les réformés continuera jusqu'à l'aube de la Révolution française.
Nous assistons dans cet ouvrage à une partie de cette lutte des réformés pour conserver librement l'exercice de leur religion, en particulier la lutte des femmes huguenotes qui furent emprisonnées dans leur tour de Constance à Aigues-Mortes.Marie Durant, l'une d'elles, fut la plus remarquable par son courage, sa ténacité, l'ardeur de sa foi. Belle figure de femme, elle fut enfermée dans la tour à l'âge de 15 ans et n'en sortit que 38 ans plus tard : aidant ses compagnes, les exhortant à la patience, agissante et efficace, elle est la bonne fée consolatrice et l'âme de son misérable troupeau.
La postérité gardera d'elle l'image de la première Française qui grava sur le mur de la prison le mot merveilleux, le mot magique, symbole de tant de libérations à venir : "Résister".
Nous assistons dans cet ouvrage à une partie de cette lutte des réformés pour conserver librement l'exercice de leur religion, en particulier la lutte des femmes huguenotes qui furent emprisonnées dans leur tour de Constance à Aigues-Mortes.Marie Durant, l'une d'elles, fut la plus remarquable par son courage, sa ténacité, l'ardeur de sa foi. Belle figure de femme, elle fut enfermée dans la tour à l'âge de 15 ans et n'en sortit que 38 ans plus tard : aidant ses compagnes, les exhortant à la patience, agissante et efficace, elle est la bonne fée consolatrice et l'âme de son misérable troupeau.
La postérité gardera d'elle l'image de la première Française qui grava sur le mur de la prison le mot merveilleux, le mot magique, symbole de tant de libérations à venir : "Résister".
Nous sommes en pleine guerre de religion entre protestants et catholiques dans les Cévennes où se trouvaient de nombreux huguenots, réfugiés là depuis la révocation par Louis XIV et l'Edit de Nantes, acte qui garantissait, en 1598, les droits des protestants sous Henri IV. Mais Louis XIV les persécuta odieusement. 5000.000 habitants allèrent porter hors de France leur savoir et leur industrie.Sous Louis XV, leur situation ne s'amélioras pas. La lutte pouvoir royal-Eglise catholique d'Etat contre les réformés continuera jusqu'à l'aube de la Révolution française.
Nous assistons dans cet ouvrage à une partie de cette lutte des réformés pour conserver librement l'exercice de leur religion, en particulier la lutte des femmes huguenotes qui furent emprisonnées dans leur tour de Constance à Aigues-Mortes.Marie Durant, l'une d'elles, fut la plus remarquable par son courage, sa ténacité, l'ardeur de sa foi. Belle figure de femme, elle fut enfermée dans la tour à l'âge de 15 ans et n'en sortit que 38 ans plus tard : aidant ses compagnes, les exhortant à la patience, agissante et efficace, elle est la bonne fée consolatrice et l'âme de son misérable troupeau.
La postérité gardera d'elle l'image de la première Française qui grava sur le mur de la prison le mot merveilleux, le mot magique, symbole de tant de libérations à venir : "Résister".
Nous assistons dans cet ouvrage à une partie de cette lutte des réformés pour conserver librement l'exercice de leur religion, en particulier la lutte des femmes huguenotes qui furent emprisonnées dans leur tour de Constance à Aigues-Mortes.Marie Durant, l'une d'elles, fut la plus remarquable par son courage, sa ténacité, l'ardeur de sa foi. Belle figure de femme, elle fut enfermée dans la tour à l'âge de 15 ans et n'en sortit que 38 ans plus tard : aidant ses compagnes, les exhortant à la patience, agissante et efficace, elle est la bonne fée consolatrice et l'âme de son misérable troupeau.
La postérité gardera d'elle l'image de la première Française qui grava sur le mur de la prison le mot merveilleux, le mot magique, symbole de tant de libérations à venir : "Résister".