Les Eglises protestantes de Gardonnenque de 1802 Ã 1906
ISBN :
9782750451257
Editeur :
Auteur :
Info :
121
pages -
Broché -
1990
-
Prix 10,00 €
Thèmes :
Statut :
Neuf
4e de couverture :
L'ouvrage : Première étude sur les Églises réformées consistoriales du XIXem siècle, délaissées jusqu'à ce jour par l'historiographie protestante au profit du mouvement du Réveil. Or les documents sont là qui ne demandaient qu'à être exploités. Sur la base des registres consistoriaux de Saint-Chaptes, Vézenobres, Sommières et Saint-Mamert, soit la Gardonnenque au sens large, l'auteur montre comment, au prix d'un patient labeur, les Consistoires et leurs pasteurs, depuis 1802, puis à l'aide, depuis 1852, des conseils presbytéraux recréés et jusqu'à la séparation de 1905-1906, sont arrivés à multiplier le nombre de secteurs ou paroisses, donc de pasteurs, à faire construire la quasi-totalité des temples qui nous abritent aujourd'hui, à influencer la vie sociale et politique de la région et même celle de la nation, puisqu'ils furent, pendant plus d'un siècle, faute de Synodes, mal vus des Bonaparte, les seuls interlocuteurs légaux du gouvernement français. L'auteur montre aussi les répercussions, sur le plan local, du grand affrontement entre libéraux et orthodoxes qui ne prit fin qu'avec la constitution, en 1938, de l'Église réformée de France.
L'ouvrage : Première étude sur les Églises réformées consistoriales du XIXem siècle, délaissées jusqu'à ce jour par l'historiographie protestante au profit du mouvement du Réveil. Or les documents sont là qui ne demandaient qu'à être exploités. Sur la base des registres consistoriaux de Saint-Chaptes, Vézenobres, Sommières et Saint-Mamert, soit la Gardonnenque au sens large, l'auteur montre comment, au prix d'un patient labeur, les Consistoires et leurs pasteurs, depuis 1802, puis à l'aide, depuis 1852, des conseils presbytéraux recréés et jusqu'à la séparation de 1905-1906, sont arrivés à multiplier le nombre de secteurs ou paroisses, donc de pasteurs, à faire construire la quasi-totalité des temples qui nous abritent aujourd'hui, à influencer la vie sociale et politique de la région et même celle de la nation, puisqu'ils furent, pendant plus d'un siècle, faute de Synodes, mal vus des Bonaparte, les seuls interlocuteurs légaux du gouvernement français. L'auteur montre aussi les répercussions, sur le plan local, du grand affrontement entre libéraux et orthodoxes qui ne prit fin qu'avec la constitution, en 1938, de l'Église réformée de France.