La vraie piété
Sous-titre :
Divers traités de Jean Calvin et Confession de foi de Guillaume Farel
ISBN :
9782830900729
Editeur :
Auteur :
Info :
226
pages -
Broché -
1986
-
Prix 24,00 €
Thèmes :
Statut :
Neuf
4e de couverture :
Ce recueil de textes évoque le climat et l'arrière-plan théologique de la Réforme à Genève. Bien qu'il n'y ait qu'un seul parmi les cinq traités (la Confession de foi de 1537 par Guillaume Farel) qui se rapporte directement aux événements de 1536, tous les cinq ont néanmoins la même orientation.
L'Épître à tous amateurs de Jésus-Christ (1535), La Réponse de Calvin à Sadolet (1540) (publiée ici avec l'Épître du Cardinal), le Petit Traité de la Sainte Cène (1541) et le Traité des Reliques (1543) mettent en valeur le même ensemble d'idées. Ils affirment tous que c'est l'homme qui est l'auteur du mal, que le gouvernement civil joue un rôle important dans l'accomplissement de la justice divine et que l'Écriture sainte est le seul fondement de la doctrine chrétienne. Il n'est pas question de présenter une théologie élaborée. Calvin et Farel s'efforcent de convaincre le grand public de la nécessité non encore reconnue de la Réforme et s'emploient à mettre les fidèles en garde contre les abus de l'Église de Rome. Il s'agit d'enseigner la « vraie piété », ce qui signifie pour les Réformateurs la piété qui dépend le moins possible de toute « fabrication humaine ».
L'Épître à tous amateurs de Jésus-Christ (1535), La Réponse de Calvin à Sadolet (1540) (publiée ici avec l'Épître du Cardinal), le Petit Traité de la Sainte Cène (1541) et le Traité des Reliques (1543) mettent en valeur le même ensemble d'idées. Ils affirment tous que c'est l'homme qui est l'auteur du mal, que le gouvernement civil joue un rôle important dans l'accomplissement de la justice divine et que l'Écriture sainte est le seul fondement de la doctrine chrétienne. Il n'est pas question de présenter une théologie élaborée. Calvin et Farel s'efforcent de convaincre le grand public de la nécessité non encore reconnue de la Réforme et s'emploient à mettre les fidèles en garde contre les abus de l'Église de Rome. Il s'agit d'enseigner la « vraie piété », ce qui signifie pour les Réformateurs la piété qui dépend le moins possible de toute « fabrication humaine ».
Ce recueil de textes évoque le climat et l'arrière-plan théologique de la Réforme à Genève. Bien qu'il n'y ait qu'un seul parmi les cinq traités (la Confession de foi de 1537 par Guillaume Farel) qui se rapporte directement aux événements de 1536, tous les cinq ont néanmoins la même orientation.
L'Épître à tous amateurs de Jésus-Christ (1535), La Réponse de Calvin à Sadolet (1540) (publiée ici avec l'Épître du Cardinal), le Petit Traité de la Sainte Cène (1541) et le Traité des Reliques (1543) mettent en valeur le même ensemble d'idées. Ils affirment tous que c'est l'homme qui est l'auteur du mal, que le gouvernement civil joue un rôle important dans l'accomplissement de la justice divine et que l'Écriture sainte est le seul fondement de la doctrine chrétienne. Il n'est pas question de présenter une théologie élaborée. Calvin et Farel s'efforcent de convaincre le grand public de la nécessité non encore reconnue de la Réforme et s'emploient à mettre les fidèles en garde contre les abus de l'Église de Rome. Il s'agit d'enseigner la « vraie piété », ce qui signifie pour les Réformateurs la piété qui dépend le moins possible de toute « fabrication humaine ».
L'Épître à tous amateurs de Jésus-Christ (1535), La Réponse de Calvin à Sadolet (1540) (publiée ici avec l'Épître du Cardinal), le Petit Traité de la Sainte Cène (1541) et le Traité des Reliques (1543) mettent en valeur le même ensemble d'idées. Ils affirment tous que c'est l'homme qui est l'auteur du mal, que le gouvernement civil joue un rôle important dans l'accomplissement de la justice divine et que l'Écriture sainte est le seul fondement de la doctrine chrétienne. Il n'est pas question de présenter une théologie élaborée. Calvin et Farel s'efforcent de convaincre le grand public de la nécessité non encore reconnue de la Réforme et s'emploient à mettre les fidèles en garde contre les abus de l'Église de Rome. Il s'agit d'enseigner la « vraie piété », ce qui signifie pour les Réformateurs la piété qui dépend le moins possible de toute « fabrication humaine ».