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La flamme du Shabbath

image La flamme du Shabbath




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Épuisé
Prix à titre indicatif. Contactez-nous pour plus de renseignements.
ISBN :
9782259004190
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Info :
284 pages - Broché - - Prix : 4,30 €
Votre prix : 4,09 €
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4e de couverture :
Il existe une géographie singulière qui, depuis la Diaspora, a dispersé les juifs aux quatre coins du monde.
En Europe orientale, à la fin du siècle dernier, le foyer du peuple juif est le Schtetl, petite bourgade dont l'espérance, le but unique de la vie est le Shabbath.
« Six jours par semaine, nous dit Abraham Heschel, l'esprit est solitaire... La pensée de l'arrivée du septième jour éveille dans le cÅ“ur une impatience passionnée... Pour un instant, l'esprit du Messie va glisser sur la face de la terre... »
Dans ce livre dont l'aura mystique est d'une grande élévation, Josef Erlich, modeste ouvrier de Wolbrom, petite ville polonaise près de Cracovie et - signe du destin ? - voisine d'Auschwitz, nous fait assister, minute après minute d'un rigoureux hiver, à la préparation et au déroulement de ce jour sacré durant lequel « s'établit un pont entre le juif et son Dieu ».
L'auteur n'est pas un romancier : né à Wolbrom où il a vécu jusqu'à 24 ans et dont la mémoire l'habite, c'est avec une minutie d'ethnographe qu'il décrit, sans omettre un détail, les rites très précis suivis en famille, les offices réservés aux hommes, les vêtements, les nourritures spéciales de la cérémonie.
La tradition mystique est que les 613 prescriptions que doit remplir le juif visent à la restauration de l'état de perfection où se trouvaient non seulement l'homme mais Dieu, avant la chute.
En ce livre, nous nous trouvons plongés au sein même de l'une de ces communautés juives polonaises installées dans l'Europe de l'Est depuis le début de la grande peste noire, au XIVe siècle, et qui vivaient, tournées vers Dieu, dans l'attente de l'arrivée du Messie qui délivrera le monde.
C'est comme intérieurement obligé que Josef Erlich a écrit en yiddish « La flamme du Shabbath », pour louer Dieu et perpétuer la tradition.
Grâce à ce texte inspiré, d'un rare pouvoir d'évocation, on parvient à prendre conscience de ce que représente le Shabbath pour un juif religieux. « Fiancée d'Israël » et aus… [lire +]
Il existe une géographie singulière qui, depuis la Diaspora, a dispersé les juifs aux quatre coins du monde.
En Europe orientale, à la fin du siècle dernier, le foyer du peuple juif est le Schtetl, petite bourgade dont l'espérance, le but unique de la vie est le Shabbath.
« Six jours par semaine, nous dit Abraham Heschel, l'esprit est solitaire... La pensée de l'arrivée du septième jour éveille dans le cÅ“ur une impatience passionnée... Pour un instant, l'esprit du Messie va glisser sur la face de la terre... »
Dans ce livre dont l'aura mystique est d'une grande élévation, Josef Erlich, modeste ouvrier de Wolbrom, petite ville polonaise près de Cracovie et - signe du destin ? - voisine d'Auschwitz, nous fait assister, minute après minute d'un rigoureux hiver, à la préparation et au déroulement de ce jour sacré durant lequel « s'établit un pont entre le juif et son Dieu ».
L'auteur n'est pas un romancier : né à Wolbrom où il a vécu jusqu'à 24 ans et dont la mémoire l'habite, c'est avec une minutie d'ethnographe qu'il décrit, sans omettre un détail, les rites très précis suivis en famille, les offices réservés aux hommes, les vêtements, les nourritures spéciales de la cérémonie.
La tradition mystique est que les 613 prescriptions que doit remplir le juif visent à la restauration de l'état de perfection où se trouvaient non seulement l'homme mais Dieu, avant la chute.
En ce livre, nous nous trouvons plongés au sein même de l'une de ces communautés juives polonaises installées dans l'Europe de l'Est depuis le début de la grande peste noire, au XIVe siècle, et qui vivaient, tournées vers Dieu, dans l'attente de l'arrivée du Messie qui délivrera le monde.
C'est comme intérieurement obligé que Josef Erlich a écrit en yiddish « La flamme du Shabbath », pour louer Dieu et perpétuer la tradition.
Grâce à ce texte inspiré, d'un rare pouvoir d'évocation, on parvient à prendre conscience de ce que représente le Shabbath pour un juif religieux. « Fiancée d'Israël » et aussi, selon les Écritures, « Nom de Dieu, le Shabbath précède la création du monde. »
Peu à peu, on est comme envoûté ; on partage l'intimité nimbée de tendresse de cette famille pauvre et courageuse. Avec une ferveur grave et émerveillée, dans le respect des prescriptions divines, on vit ce temps du Shabbath, moment d'éternité.
Allons, mon ami, au-devant de la fiancée. Le Sabbath vient à nous : allons le recevoir. « Observe et souviens-toi ». Ces mots, le Dieu unique nous les fait entendre en un précepte unique.
Avis :
Josef Erlich est né le 14 décembre 1908 à Chszhanow, en Galicie (Pologne), dans une famille de commerçants aisés. Jusqu'à l'âge de vingt-quatre ans, il a vécu à Wolbrom où il nous fait revivre les journées du Shabbath, au temps de sa jeunesse.
Profondément croyant, Erlich a voulu écrire ce témoignage qui, selon lui, est « sa propre contribution, sa pierre gravée en lettres hébraïques », afin que ceux de sa génération qui ont survécu, ses enfants et les enfants de ses enfants continuent d'honorer et de protéger les valeurs et les traditions immémoriales de leur peuple.
Erlich - ouvrier technicien en Pologne - a émigré en Israël en 1933 ; il y fut successivement agriculteur, maçon puis fonctionnaire. S'il n'a fallu qu'une année à l'auteur pour écrire en yiddish ce récit inspiré, c'est qu'il le portait en lui-même depuis de longues années.
Le texte a été revu par le Professeur Dov Saddan, professeur de yiddish à l'Université hébraïque de Jérusalem. Il a paru à Tel-Aviv en 1970, où Joseph Erlich réside actuellement.

Marc Rittel, traducteur de ce livre auquel il tenait particulièrement, est mort une semaine après avoir remis ce texte presque religieusement fidèle. Né à Czortkow (Pologne), haut lieu du hassidisme, il se retrouva, à dix-sept ans, seul survivant d'une famille de cinq enfants assassinés par les Nazis.
Josef Erlich est né le 14 décembre 1908 à Chszhanow, en Galicie (Pologne), dans une famille de commerçants aisés. Jusqu'à l'âge de vingt-quatre ans, il a vécu à Wolbrom où il nous fait revivre les journées du Shabbath, au temps de sa jeunesse.
Profondément croyant, Erlich a voulu écrire ce témoignage qui, selon lui, est « sa propre contribution, sa pierre gravée en lettres hébraïques », afin que ceux de sa génération qui ont survécu, ses enfants et les enfants de ses enfants continuent d'honorer et de protéger les valeurs et les traditions immémoriales de leur peuple.
Erlich - ouvrier technicien en Pologne - a émigré en Israël en 1933 ; il y fut successivement agriculteur, maçon puis fonctionnaire. S'il n'a fallu qu'une année à l'auteur pour écrire en yiddish ce récit inspiré, c'est qu'il le portait en lui-même depuis de longues années.
Le texte a été revu par le Professeur Dov Saddan, professeur de yiddish à l'Université hébraïque de Jérusalem. Il a paru à Tel-Aviv en 1970, où Joseph Erlich réside actuellement.

Marc Rittel, traducteur de ce livre auquel il tenait particulièrement, est mort une semaine après avoir remis ce texte presque religieusement fidèle. Né à Czortkow (Pologne), haut lieu du hassidisme, il se retrouva, à dix-sept ans, seul survivant d'une famille de cinq enfants assassinés par les Nazis.

La flamme du Shabbath - par Josef ERLICH - Editeur Plon



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