La dernière croisade
Sous-titre :
Les fous de Dieu version américaine
ISBN :
9782259199599
Editeur :
Auteur :
Info :
344
pages -
Broché -
2004
-
Prix 5,00 €
Thèmes :
4e de couverture :
En sillonnant les États-Unis pour conduire mes recherches sur l'influence des chrétiens évangéliques sur la texture morale, sociale et culturelle de l'Amérique, j'ai découvert que mon pays est devenu la proie d'extrémismes irrationnels.
Même les adversaires du programme religieux et militaire de George W. Bush, tel Michael Moore, ne sont pas impartiaux dans l'exposé de leurs idées et rendent compte de l'autre face du tableau avec un dogmatisme et un dédain comparables à ceux dont use la présente administration pour susciter la crainte dans le cœur de tous les Américains. En tant qu'américaine, j'ai toujours été fière de mon pays à cause de toutes les libertés qu'il reconnaît à ses citoyens, de l'humour et de l'aisance que les Américains manifestent dans leurs rapports aux autres peuples, à cause enfin du climat général de ce pays où l'effort est récompensé, où l'individu peut réussir à tout faire, quel que soit au départ son statut économique ou social.
Les temps ont changé. La triste leçon qu'il nous faut tirer aujourd'hui est que l'extrémisme sous toutes ses formes est l'ennemi juré de la paix et de la prospérité. Si les États-Unis s'obstinent à mener seuls la guerre pour l'éradication du terrorisme islamiste, je crains fort qu'on n'assiste en vérité à la dernière croisade pour mon pays et pour le monde. Barbara Victor
Même les adversaires du programme religieux et militaire de George W. Bush, tel Michael Moore, ne sont pas impartiaux dans l'exposé de leurs idées et rendent compte de l'autre face du tableau avec un dogmatisme et un dédain comparables à ceux dont use la présente administration pour susciter la crainte dans le cœur de tous les Américains. En tant qu'américaine, j'ai toujours été fière de mon pays à cause de toutes les libertés qu'il reconnaît à ses citoyens, de l'humour et de l'aisance que les Américains manifestent dans leurs rapports aux autres peuples, à cause enfin du climat général de ce pays où l'effort est récompensé, où l'individu peut réussir à tout faire, quel que soit au départ son statut économique ou social.
Les temps ont changé. La triste leçon qu'il nous faut tirer aujourd'hui est que l'extrémisme sous toutes ses formes est l'ennemi juré de la paix et de la prospérité. Si les États-Unis s'obstinent à mener seuls la guerre pour l'éradication du terrorisme islamiste, je crains fort qu'on n'assiste en vérité à la dernière croisade pour mon pays et pour le monde. Barbara Victor
En sillonnant les États-Unis pour conduire mes recherches sur l'influence des chrétiens évangéliques sur la texture morale, sociale et culturelle de l'Amérique, j'ai découvert que mon pays est devenu la proie d'extrémismes irrationnels.
Même les adversaires du programme religieux et militaire de George W. Bush, tel Michael Moore, ne sont pas impartiaux dans l'exposé de leurs idées et rendent compte de l'autre face du tableau avec un dogmatisme et un dédain comparables à ceux dont use la présente administration pour susciter la crainte dans le cœur de tous les Américains. En tant qu'américaine, j'ai toujours été fière de mon pays à cause de toutes les libertés qu'il reconnaît à ses citoyens, de l'humour et de l'aisance que les Américains manifestent dans leurs rapports aux autres peuples, à cause enfin du climat général de ce pays où l'effort est récompensé, où l'individu peut réussir à tout faire, quel que soit au départ son statut économique ou social.
Les temps ont changé. La triste leçon qu'il nous faut tirer aujourd'hui est que l'extrémisme sous toutes ses formes est l'ennemi juré de la paix et de la prospérité. Si les États-Unis s'obstinent à mener seuls la guerre pour l'éradication du terrorisme islamiste, je crains fort qu'on n'assiste en vérité à la dernière croisade pour mon pays et pour le monde. Barbara Victor
Même les adversaires du programme religieux et militaire de George W. Bush, tel Michael Moore, ne sont pas impartiaux dans l'exposé de leurs idées et rendent compte de l'autre face du tableau avec un dogmatisme et un dédain comparables à ceux dont use la présente administration pour susciter la crainte dans le cœur de tous les Américains. En tant qu'américaine, j'ai toujours été fière de mon pays à cause de toutes les libertés qu'il reconnaît à ses citoyens, de l'humour et de l'aisance que les Américains manifestent dans leurs rapports aux autres peuples, à cause enfin du climat général de ce pays où l'effort est récompensé, où l'individu peut réussir à tout faire, quel que soit au départ son statut économique ou social.
Les temps ont changé. La triste leçon qu'il nous faut tirer aujourd'hui est que l'extrémisme sous toutes ses formes est l'ennemi juré de la paix et de la prospérité. Si les États-Unis s'obstinent à mener seuls la guerre pour l'éradication du terrorisme islamiste, je crains fort qu'on n'assiste en vérité à la dernière croisade pour mon pays et pour le monde. Barbara Victor