La citoyenne
ISBN :
9782080646019
Editeur :
Auteur :
Info :
292
pages -
Broché -
1985
-
Prix 12,40 €
Thèmes :
4e de couverture :
"Je suis une enfant de rouges, de salopards, de camisards. C'est Pierrot, mon petit ami de Hache-IV, qui me l'a dit, son papa, lui, il est Croix de Feu..."
Des années plus tard, au lendemain du 10 mai 81, ce n'est plus la petite fille du Front populaire qui parle mais la citoyenne qu'elle est devenue. Elle nous entraîne à travers l'époque, à travers l'Europe mais aussi jusqu'au cœur de la France.
Dépolitisée comme on est fanatique, républicaine comme on est monarchiste, ne militant que pour la vie, Frédérique Hébrard refuse de porter une étiquette.
"Quelle étiquette, d'abord ? La droite ? La gauche ?
Mais moi ?
J'ai envie d'être moi, de penser comme moi.
Au lieu de m'étouffer avec un cache-nez dont je n'ai choisi ni la laine ni la couleur, laissez-moi respirer avec mon nez."
Et, une fois de plus, c'est notre propre vie que nous découvrons, comme un roman d'aventures, sous la plume de Frédérique Hébrard.
Frédérique Hébrard est née dans un encrier. Parce que les amis d'André Chamson — son père — s'appelaient Malraux, Gide, Guilloux, Prévost, Saint-Exupéry ou Guéhenno, elle a longtemps cru que tout le monde était écrivain.
Dans La Chambre de Goethe elle avait commencé à nous raconter son enfance, dans La Citoyenne elle va plus loin et, partant des sources de notre temps, elle nous raconte aujourd'hui.
Des années plus tard, au lendemain du 10 mai 81, ce n'est plus la petite fille du Front populaire qui parle mais la citoyenne qu'elle est devenue. Elle nous entraîne à travers l'époque, à travers l'Europe mais aussi jusqu'au cœur de la France.
Dépolitisée comme on est fanatique, républicaine comme on est monarchiste, ne militant que pour la vie, Frédérique Hébrard refuse de porter une étiquette.
"Quelle étiquette, d'abord ? La droite ? La gauche ?
Mais moi ?
J'ai envie d'être moi, de penser comme moi.
Au lieu de m'étouffer avec un cache-nez dont je n'ai choisi ni la laine ni la couleur, laissez-moi respirer avec mon nez."
Et, une fois de plus, c'est notre propre vie que nous découvrons, comme un roman d'aventures, sous la plume de Frédérique Hébrard.
Frédérique Hébrard est née dans un encrier. Parce que les amis d'André Chamson — son père — s'appelaient Malraux, Gide, Guilloux, Prévost, Saint-Exupéry ou Guéhenno, elle a longtemps cru que tout le monde était écrivain.
Dans La Chambre de Goethe elle avait commencé à nous raconter son enfance, dans La Citoyenne elle va plus loin et, partant des sources de notre temps, elle nous raconte aujourd'hui.
"Je suis une enfant de rouges, de salopards, de camisards. C'est Pierrot, mon petit ami de Hache-IV, qui me l'a dit, son papa, lui, il est Croix de Feu..."
Des années plus tard, au lendemain du 10 mai 81, ce n'est plus la petite fille du Front populaire qui parle mais la citoyenne qu'elle est devenue. Elle nous entraîne à travers l'époque, à travers l'Europe mais aussi jusqu'au cœur de la France.
Dépolitisée comme on est fanatique, républicaine comme on est monarchiste, ne militant que pour la vie, Frédérique Hébrard refuse de porter une étiquette.
"Quelle étiquette, d'abord ? La droite ? La gauche ?
Mais moi ?
J'ai envie d'être moi, de penser comme moi.
Au lieu de m'étouffer avec un cache-nez dont je n'ai choisi ni la laine ni la couleur, laissez-moi respirer avec mon nez."
Et, une fois de plus, c'est notre propre vie que nous découvrons, comme un roman d'aventures, sous la plume de Frédérique Hébrard.
Frédérique Hébrard est née dans un encrier. Parce que les amis d'André Chamson — son père — s'appelaient Malraux, Gide, Guilloux, Prévost, Saint-Exupéry ou Guéhenno, elle a longtemps cru que tout le monde était écrivain.
Dans La Chambre de Goethe elle avait commencé à nous raconter son enfance, dans La Citoyenne elle va plus loin et, partant des sources de notre temps, elle nous raconte aujourd'hui.
Des années plus tard, au lendemain du 10 mai 81, ce n'est plus la petite fille du Front populaire qui parle mais la citoyenne qu'elle est devenue. Elle nous entraîne à travers l'époque, à travers l'Europe mais aussi jusqu'au cœur de la France.
Dépolitisée comme on est fanatique, républicaine comme on est monarchiste, ne militant que pour la vie, Frédérique Hébrard refuse de porter une étiquette.
"Quelle étiquette, d'abord ? La droite ? La gauche ?
Mais moi ?
J'ai envie d'être moi, de penser comme moi.
Au lieu de m'étouffer avec un cache-nez dont je n'ai choisi ni la laine ni la couleur, laissez-moi respirer avec mon nez."
Et, une fois de plus, c'est notre propre vie que nous découvrons, comme un roman d'aventures, sous la plume de Frédérique Hébrard.
Frédérique Hébrard est née dans un encrier. Parce que les amis d'André Chamson — son père — s'appelaient Malraux, Gide, Guilloux, Prévost, Saint-Exupéry ou Guéhenno, elle a longtemps cru que tout le monde était écrivain.
Dans La Chambre de Goethe elle avait commencé à nous raconter son enfance, dans La Citoyenne elle va plus loin et, partant des sources de notre temps, elle nous raconte aujourd'hui.