La Grèce d'Alexandre et son rêve d'Orient
Sous-titre :
La conquête de l'Empire Perse : un autre mythe, une autre réalité de l'Orient
ISBN :
9782720011535
Editeur :
Auteur :
Info :
248
pages -
Broché -
2008
-
Prix 38,00 €
Thèmes :
4e de couverture :
L'Asie Mineure, le Liban, l'Égypte, la Syrie, Babylone, Suse, Persépolis... Alexandre veut tout dominer, tout occuper et marcher ainsi jusqu'au bout du monde. Ses hommes souffrent du froid sur le plateau iranien, de la chaleur l'été à Babylone. Ils traversent l'Afghanistan, peinent dans les cols du Pamir, arrivent en Ouzbékistan, gagnent l'Indus, se rendent maîtres du Gandhara, du Pendjab, vivent un cauchemar dans le désert du Béloutchistan. Galvanisés par leur chef, stimulés par l'espoir du pillage des richesses dont ils rêvent, ils renversent Darius et se retrouvent à la tête du royaume perse. L'Orient est à feu et à sang. Cette expédition contre Darius marque le début d'une nouvelle période dite hellénistique. Athènes est évincée au profit des empires gréco-macédoniens d'Égypte et de Syrie. Mais la culture grecque se répand dans tout le bassin méditerranéen et brille d'un renouveau exceptionnel. On admire toujours des savants de cette période, mathématiciens, géographes, historiens : Archimède, Mégasthène, Hipparque, ou à Alexandrie, Euclide et Eratosthène. Autre effet de ces bouleversements, une mentalité nouvelle se répand, les Grecs commencent à reconnaître qu'il existe d'autres civilisations que la leur, tout aussi estimables. Les célèbres Bouddhas hellénisés du Gandhara reflètent cette nouvelle ouverture d'esprit.
L'Asie Mineure, le Liban, l'Égypte, la Syrie, Babylone, Suse, Persépolis... Alexandre veut tout dominer, tout occuper et marcher ainsi jusqu'au bout du monde. Ses hommes souffrent du froid sur le plateau iranien, de la chaleur l'été à Babylone. Ils traversent l'Afghanistan, peinent dans les cols du Pamir, arrivent en Ouzbékistan, gagnent l'Indus, se rendent maîtres du Gandhara, du Pendjab, vivent un cauchemar dans le désert du Béloutchistan. Galvanisés par leur chef, stimulés par l'espoir du pillage des richesses dont ils rêvent, ils renversent Darius et se retrouvent à la tête du royaume perse. L'Orient est à feu et à sang. Cette expédition contre Darius marque le début d'une nouvelle période dite hellénistique. Athènes est évincée au profit des empires gréco-macédoniens d'Égypte et de Syrie. Mais la culture grecque se répand dans tout le bassin méditerranéen et brille d'un renouveau exceptionnel. On admire toujours des savants de cette période, mathématiciens, géographes, historiens : Archimède, Mégasthène, Hipparque, ou à Alexandrie, Euclide et Eratosthène. Autre effet de ces bouleversements, une mentalité nouvelle se répand, les Grecs commencent à reconnaître qu'il existe d'autres civilisations que la leur, tout aussi estimables. Les célèbres Bouddhas hellénisés du Gandhara reflètent cette nouvelle ouverture d'esprit.
Avis :
Tout en s'appuyant sur des références précises, ce livre n'est pas réservé à des spécialistes. Il se propose de mettre à la portée de tous les rapports qu'entretiennent les Grecs avec l'Orient après la célèbre conquête d'Alexandre. Leur vision de l'Orient, faite d'attirance et de fascination mais aussi de peur et de rejet, a encore pour nous des résonances actuelles.
Tout en s'appuyant sur des références précises, ce livre n'est pas réservé à des spécialistes. Il se propose de mettre à la portée de tous les rapports qu'entretiennent les Grecs avec l'Orient après la célèbre conquête d'Alexandre. Leur vision de l'Orient, faite d'attirance et de fascination mais aussi de peur et de rejet, a encore pour nous des résonances actuelles.