L'homme désincarné
Sous-titre :
du corps charnel au corps fabriqué
ISBN :
9782072867347
Editeur :
Auteur :
Info :
48
pages -
Agrafé -
2019
-
Prix 3,90 €
Thèmes :
Statut :
Neuf
4e de couverture :
« Notre corps charnel nous est propre, mais il ne nous appartient pas comme un bien, autrement dit une propriété aliénable, que l´on peut donner ou vendre, comme un vélo ou une maison. La confusion fatale entre les deux est délibérément entretenue par l´idéologie ultralibérale qui veut nous persuader que, puisque notre corps "nous appartient", nous sommes libres de l´aliéner. Admirons le paradoxe. »
Sylviane Agacinski.
L´homme moderne veut dominer la nature, changer sa nature, et s´affranchir de la chair, de la mort et de la génération sexuée. Grâce à la puissance scientifique et technique, certains rêvent de changer de corps et de produire leur descendance en laboratoire. L´homme futur sera-t-il sexuellement indifférencié ? Naîtra-t-il sans père ni mère ? Aux dépens de qui ?
À la veille du débat au Parlement, et alors que la « bioéthique » semble perdre tout repère, ce Tract nous alerte sur les dangers d´un ultralibéralisme dont le modèle, en ce domaine, est la Californie.
Sylviane Agacinski.
L´homme moderne veut dominer la nature, changer sa nature, et s´affranchir de la chair, de la mort et de la génération sexuée. Grâce à la puissance scientifique et technique, certains rêvent de changer de corps et de produire leur descendance en laboratoire. L´homme futur sera-t-il sexuellement indifférencié ? Naîtra-t-il sans père ni mère ? Aux dépens de qui ?
À la veille du débat au Parlement, et alors que la « bioéthique » semble perdre tout repère, ce Tract nous alerte sur les dangers d´un ultralibéralisme dont le modèle, en ce domaine, est la Californie.
« Notre corps charnel nous est propre, mais il ne nous appartient pas comme un bien, autrement dit une propriété aliénable, que l´on peut donner ou vendre, comme un vélo ou une maison. La confusion fatale entre les deux est délibérément entretenue par l´idéologie ultralibérale qui veut nous persuader que, puisque notre corps "nous appartient", nous sommes libres de l´aliéner. Admirons le paradoxe. »
Sylviane Agacinski.
L´homme moderne veut dominer la nature, changer sa nature, et s´affranchir de la chair, de la mort et de la génération sexuée. Grâce à la puissance scientifique et technique, certains rêvent de changer de corps et de produire leur descendance en laboratoire. L´homme futur sera-t-il sexuellement indifférencié ? Naîtra-t-il sans père ni mère ? Aux dépens de qui ?
À la veille du débat au Parlement, et alors que la « bioéthique » semble perdre tout repère, ce Tract nous alerte sur les dangers d´un ultralibéralisme dont le modèle, en ce domaine, est la Californie.
Sylviane Agacinski.
L´homme moderne veut dominer la nature, changer sa nature, et s´affranchir de la chair, de la mort et de la génération sexuée. Grâce à la puissance scientifique et technique, certains rêvent de changer de corps et de produire leur descendance en laboratoire. L´homme futur sera-t-il sexuellement indifférencié ? Naîtra-t-il sans père ni mère ? Aux dépens de qui ?
À la veille du débat au Parlement, et alors que la « bioéthique » semble perdre tout repère, ce Tract nous alerte sur les dangers d´un ultralibéralisme dont le modèle, en ce domaine, est la Californie.