Histoire religieuse de l'Occident médiéval [ancienne édition]
![image Histoire religieuse de l'Occident médiéval [ancienne édition]](/var/data_ljc/cov/full/5778.jpg)
ISBN :
9782012790742
Editeur :
Auteur :
Collection :
Info :
661
pages -
Broché -
2008
-
Prix 10,00 €
Thèmes :
4e de couverture :
Longtemps l'histoire de l'Église a étudié sa hiérarchie, son enseignement, son appel aux hommes sans se soucier de la réplique fournie à cet appel. Le présent livre vise à réintégrer le peuple de Dieu dans l'histoire de l'Église médiévale. L'homme n'est pas seulement chrétien par le culte, mais dans tous les aspects de sa vie quotidienne, dont peu sont exclusivement profanes. Les habitudes, les mentalités, les formes de la sensibilité constituent des champs riches d'observations significatives dans le domaine religieux.
L'Église médiévale n'a jamais été ce qu'elle est parfois devenue à l'époque contemporaine, un monde à part, en marge d'un univers laïcisé. L'Église médiévale portait tous les hommes d'Occident. Elle était le miroir où se reflétait l'humanité de son temps.
Jean Chélini est professeur au département d'Histoire de la Faculté de droit et de sciences politique de l'université Aix-Marseille III, ainsi qu'à l'Institut d'études politiques d'Aix-en-Provence. Il a créé et dirigé l'Institut de droit et d'histoire canoniques d'Aix-en-Provence.
L'Église médiévale n'a jamais été ce qu'elle est parfois devenue à l'époque contemporaine, un monde à part, en marge d'un univers laïcisé. L'Église médiévale portait tous les hommes d'Occident. Elle était le miroir où se reflétait l'humanité de son temps.
Jean Chélini est professeur au département d'Histoire de la Faculté de droit et de sciences politique de l'université Aix-Marseille III, ainsi qu'à l'Institut d'études politiques d'Aix-en-Provence. Il a créé et dirigé l'Institut de droit et d'histoire canoniques d'Aix-en-Provence.
Longtemps l'histoire de l'Église a étudié sa hiérarchie, son enseignement, son appel aux hommes sans se soucier de la réplique fournie à cet appel. Le présent livre vise à réintégrer le peuple de Dieu dans l'histoire de l'Église médiévale. L'homme n'est pas seulement chrétien par le culte, mais dans tous les aspects de sa vie quotidienne, dont peu sont exclusivement profanes. Les habitudes, les mentalités, les formes de la sensibilité constituent des champs riches d'observations significatives dans le domaine religieux.
L'Église médiévale n'a jamais été ce qu'elle est parfois devenue à l'époque contemporaine, un monde à part, en marge d'un univers laïcisé. L'Église médiévale portait tous les hommes d'Occident. Elle était le miroir où se reflétait l'humanité de son temps.
Jean Chélini est professeur au département d'Histoire de la Faculté de droit et de sciences politique de l'université Aix-Marseille III, ainsi qu'à l'Institut d'études politiques d'Aix-en-Provence. Il a créé et dirigé l'Institut de droit et d'histoire canoniques d'Aix-en-Provence.
L'Église médiévale n'a jamais été ce qu'elle est parfois devenue à l'époque contemporaine, un monde à part, en marge d'un univers laïcisé. L'Église médiévale portait tous les hommes d'Occident. Elle était le miroir où se reflétait l'humanité de son temps.
Jean Chélini est professeur au département d'Histoire de la Faculté de droit et de sciences politique de l'université Aix-Marseille III, ainsi qu'à l'Institut d'études politiques d'Aix-en-Provence. Il a créé et dirigé l'Institut de droit et d'histoire canoniques d'Aix-en-Provence.
Avis :
- Le Chélini a une grande qualité : il est bien écrit et se lit donc bien. Il est clair, synthétique, il permet de mettre en place un certain nombre de choses ( chronologie, débats qui pouvaient agiter l'Eglise, successions d'empereurs, de papes...), une large vue d'ensemble.
- Cela dit, il a quelques travers, en général imputables au format (plutôt un ouvrage de bonne vulgarisation ) : un appareil critique très faible sinon inexistant, par conséquent des sources très peu citées ou évoquées, pas d'index, et des débats historiographiques rarement évoqués.
- De plus, Chélini est très peu critique et n'hésite pas à formuler des jugements de valeur sur ce qu'il évoque ; pour schématiser à outrance, les périodes où le pouvoir temporel domine l'Eglise sont des périodes de décadence tandis que lorsque l'Eglise s'émancipe, c'est positif et cela est permis par des papes - légitimes - parés de toutes les vertus. Il faut donc une certaine distance critique vis-à -vis du texte qui peut prendre un aspect militant pas toujours à son avantage.
- Cela dit, il a quelques travers, en général imputables au format (plutôt un ouvrage de bonne vulgarisation ) : un appareil critique très faible sinon inexistant, par conséquent des sources très peu citées ou évoquées, pas d'index, et des débats historiographiques rarement évoqués.
- De plus, Chélini est très peu critique et n'hésite pas à formuler des jugements de valeur sur ce qu'il évoque ; pour schématiser à outrance, les périodes où le pouvoir temporel domine l'Eglise sont des périodes de décadence tandis que lorsque l'Eglise s'émancipe, c'est positif et cela est permis par des papes - légitimes - parés de toutes les vertus. Il faut donc une certaine distance critique vis-à -vis du texte qui peut prendre un aspect militant pas toujours à son avantage.
- Le Chélini a une grande qualité : il est bien écrit et se lit donc bien. Il est clair, synthétique, il permet de mettre en place un certain nombre de choses ( chronologie, débats qui pouvaient agiter l'Eglise, successions d'empereurs, de papes...), une large vue d'ensemble.
- Cela dit, il a quelques travers, en général imputables au format (plutôt un ouvrage de bonne vulgarisation ) : un appareil critique très faible sinon inexistant, par conséquent des sources très peu citées ou évoquées, pas d'index, et des débats historiographiques rarement évoqués.
- De plus, Chélini est très peu critique et n'hésite pas à formuler des jugements de valeur sur ce qu'il évoque ; pour schématiser à outrance, les périodes où le pouvoir temporel domine l'Eglise sont des périodes de décadence tandis que lorsque l'Eglise s'émancipe, c'est positif et cela est permis par des papes - légitimes - parés de toutes les vertus. Il faut donc une certaine distance critique vis-à -vis du texte qui peut prendre un aspect militant pas toujours à son avantage.
- Cela dit, il a quelques travers, en général imputables au format (plutôt un ouvrage de bonne vulgarisation ) : un appareil critique très faible sinon inexistant, par conséquent des sources très peu citées ou évoquées, pas d'index, et des débats historiographiques rarement évoqués.
- De plus, Chélini est très peu critique et n'hésite pas à formuler des jugements de valeur sur ce qu'il évoque ; pour schématiser à outrance, les périodes où le pouvoir temporel domine l'Eglise sont des périodes de décadence tandis que lorsque l'Eglise s'émancipe, c'est positif et cela est permis par des papes - légitimes - parés de toutes les vertus. Il faut donc une certaine distance critique vis-à -vis du texte qui peut prendre un aspect militant pas toujours à son avantage.


