Histoire de la Bulgarie
Sous-titre :
Au pays des roses
ISBN :
9782910878320
Editeur :
Auteur :
Info :
351
pages -
Relié -
2007
-
Prix 38,00 €
Thèmes :
4e de couverture :
Bien que membre de l'UE depuis 2007, la Bulgarie demeure l'un des pays d'Europe les plus méconnus. Absorbée durant l'Antiquité par les Grecs, conquise par Rome, elle prend son allure définitive avec la colonisation des Slaves aux VIe-VIIe siècles.
Les Protobulgares, peuple asiatique mélangé aux Slaves, fondèrent un royaume qui domina sous le « tsar » Siméon (893-927) la majeure partie des Balkans, s'imposant à l'Empire byzantin. Mais les Ottomans conquirent l'ensemble des Balkans et la Bulgarie disparut dans leur Empire en 1396. Pour cinq siècles un ordre musulman s'imposa. Une « Renaissance » se manifesta au XVIIIe siècle, mais il fallut une guerre turco-russe pour que Constantinople accepte l'autonomie des Bulgares. Un nouvel État était né, une royauté, qui modernisa le pays tout en essayant de réunir l'ensemble des Bulgares. De là les Guerres balkaniques et leurs conséquences désastreuses. L'alliance avec l'Allemagne pendant la Grande Guerre aboutit à une seconde catastrophe.
Ruinés et mécontents, les Bulgares subirent à nouveau le mauvais choix de leurs dirigeants en 1941, qui conduisit le pays à être pendant cinquante ans une « république » docile de l'URSS jusqu'en 1991 : les Bulgares purent alors, pour la première fois, s'exprimer. Après une transition difficile la Bulgarie paraît avoir trouvé un équilibre nouveau.
C'est l'histoire de ce pays et de sa littérature, depuis l'Antiquité jusqu'au début du XXIe siècle, que cet ouvrage offre au grand public, dans le but de faire découvrir cette nation culturellement riche et traditionnellement hospitalière.
Georges CASTELLAN, agrégé d'histoire, docteur d'État, est professeur émérite de l'université Paris III-Sorbonne. Il est l'auteur de plusieurs monographies consacrées aux nouvelles nations des Balkans publiées aux Éditions Armeline.
Marie VRINAT-NIKOLOV, agrégée de lettres classiques, docteur d'État, est traductrice et enseignante à Sofia.
Les Protobulgares, peuple asiatique mélangé aux Slaves, fondèrent un royaume qui domina sous le « tsar » Siméon (893-927) la majeure partie des Balkans, s'imposant à l'Empire byzantin. Mais les Ottomans conquirent l'ensemble des Balkans et la Bulgarie disparut dans leur Empire en 1396. Pour cinq siècles un ordre musulman s'imposa. Une « Renaissance » se manifesta au XVIIIe siècle, mais il fallut une guerre turco-russe pour que Constantinople accepte l'autonomie des Bulgares. Un nouvel État était né, une royauté, qui modernisa le pays tout en essayant de réunir l'ensemble des Bulgares. De là les Guerres balkaniques et leurs conséquences désastreuses. L'alliance avec l'Allemagne pendant la Grande Guerre aboutit à une seconde catastrophe.
Ruinés et mécontents, les Bulgares subirent à nouveau le mauvais choix de leurs dirigeants en 1941, qui conduisit le pays à être pendant cinquante ans une « république » docile de l'URSS jusqu'en 1991 : les Bulgares purent alors, pour la première fois, s'exprimer. Après une transition difficile la Bulgarie paraît avoir trouvé un équilibre nouveau.
C'est l'histoire de ce pays et de sa littérature, depuis l'Antiquité jusqu'au début du XXIe siècle, que cet ouvrage offre au grand public, dans le but de faire découvrir cette nation culturellement riche et traditionnellement hospitalière.
Georges CASTELLAN, agrégé d'histoire, docteur d'État, est professeur émérite de l'université Paris III-Sorbonne. Il est l'auteur de plusieurs monographies consacrées aux nouvelles nations des Balkans publiées aux Éditions Armeline.
Marie VRINAT-NIKOLOV, agrégée de lettres classiques, docteur d'État, est traductrice et enseignante à Sofia.
Bien que membre de l'UE depuis 2007, la Bulgarie demeure l'un des pays d'Europe les plus méconnus. Absorbée durant l'Antiquité par les Grecs, conquise par Rome, elle prend son allure définitive avec la colonisation des Slaves aux VIe-VIIe siècles.
Les Protobulgares, peuple asiatique mélangé aux Slaves, fondèrent un royaume qui domina sous le « tsar » Siméon (893-927) la majeure partie des Balkans, s'imposant à l'Empire byzantin. Mais les Ottomans conquirent l'ensemble des Balkans et la Bulgarie disparut dans leur Empire en 1396. Pour cinq siècles un ordre musulman s'imposa. Une « Renaissance » se manifesta au XVIIIe siècle, mais il fallut une guerre turco-russe pour que Constantinople accepte l'autonomie des Bulgares. Un nouvel État était né, une royauté, qui modernisa le pays tout en essayant de réunir l'ensemble des Bulgares. De là les Guerres balkaniques et leurs conséquences désastreuses. L'alliance avec l'Allemagne pendant la Grande Guerre aboutit à une seconde catastrophe.
Ruinés et mécontents, les Bulgares subirent à nouveau le mauvais choix de leurs dirigeants en 1941, qui conduisit le pays à être pendant cinquante ans une « république » docile de l'URSS jusqu'en 1991 : les Bulgares purent alors, pour la première fois, s'exprimer. Après une transition difficile la Bulgarie paraît avoir trouvé un équilibre nouveau.
C'est l'histoire de ce pays et de sa littérature, depuis l'Antiquité jusqu'au début du XXIe siècle, que cet ouvrage offre au grand public, dans le but de faire découvrir cette nation culturellement riche et traditionnellement hospitalière.
Georges CASTELLAN, agrégé d'histoire, docteur d'État, est professeur émérite de l'université Paris III-Sorbonne. Il est l'auteur de plusieurs monographies consacrées aux nouvelles nations des Balkans publiées aux Éditions Armeline.
Marie VRINAT-NIKOLOV, agrégée de lettres classiques, docteur d'État, est traductrice et enseignante à Sofia.
Les Protobulgares, peuple asiatique mélangé aux Slaves, fondèrent un royaume qui domina sous le « tsar » Siméon (893-927) la majeure partie des Balkans, s'imposant à l'Empire byzantin. Mais les Ottomans conquirent l'ensemble des Balkans et la Bulgarie disparut dans leur Empire en 1396. Pour cinq siècles un ordre musulman s'imposa. Une « Renaissance » se manifesta au XVIIIe siècle, mais il fallut une guerre turco-russe pour que Constantinople accepte l'autonomie des Bulgares. Un nouvel État était né, une royauté, qui modernisa le pays tout en essayant de réunir l'ensemble des Bulgares. De là les Guerres balkaniques et leurs conséquences désastreuses. L'alliance avec l'Allemagne pendant la Grande Guerre aboutit à une seconde catastrophe.
Ruinés et mécontents, les Bulgares subirent à nouveau le mauvais choix de leurs dirigeants en 1941, qui conduisit le pays à être pendant cinquante ans une « république » docile de l'URSS jusqu'en 1991 : les Bulgares purent alors, pour la première fois, s'exprimer. Après une transition difficile la Bulgarie paraît avoir trouvé un équilibre nouveau.
C'est l'histoire de ce pays et de sa littérature, depuis l'Antiquité jusqu'au début du XXIe siècle, que cet ouvrage offre au grand public, dans le but de faire découvrir cette nation culturellement riche et traditionnellement hospitalière.
Georges CASTELLAN, agrégé d'histoire, docteur d'État, est professeur émérite de l'université Paris III-Sorbonne. Il est l'auteur de plusieurs monographies consacrées aux nouvelles nations des Balkans publiées aux Éditions Armeline.
Marie VRINAT-NIKOLOV, agrégée de lettres classiques, docteur d'État, est traductrice et enseignante à Sofia.