L'homme
Sous-titre :
essai d'anthropologie chrétienne
ISBN :
82210
Editeur :
Auteur :
Info :
136
pages -
Broché -
1974
-
Prix : 10,00 €
Votre prix : 9,50 €
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Thèmes :
4e de couverture :
L'homme est un mystère. Il faut le percer, et si tu passes toute une vie à le percer, ne dis pas que tu as perdu ton temps ; j'étudie ce mystère, car je veux être un homme.
Ces lignes, qu'adressait Fiodor Dostoïevski à son frère, le 16 août 1839, l'auteur de ce livre aurait pu les signer. L'homme aujourd'hui est devenu problématique, un procès ouvert. Les sciences de l'homme ne cessent de le disséquer sans parvenir à manifester sa dignité ni sa grandeur. Faut-il se résigner à pareil constat ? Jürgen Moltmann s'y refuse pour sa part. S'il a écrit cet essai, c'est parce qu'il a conscience de la dignité de cet homme problématique. Il ne désespère pas de l'homme de la civilisation industrielle. Pour lui l'homme n'est pas seulement un problème ; il demeure un mystère. La question de l'homme pose en dernière instance celle de Dieu. Ce livre, qui est un livre sur l'homme, est ainsi, au fond, un livre sur Dieu.
Ces lignes, qu'adressait Fiodor Dostoïevski à son frère, le 16 août 1839, l'auteur de ce livre aurait pu les signer. L'homme aujourd'hui est devenu problématique, un procès ouvert. Les sciences de l'homme ne cessent de le disséquer sans parvenir à manifester sa dignité ni sa grandeur. Faut-il se résigner à pareil constat ? Jürgen Moltmann s'y refuse pour sa part. S'il a écrit cet essai, c'est parce qu'il a conscience de la dignité de cet homme problématique. Il ne désespère pas de l'homme de la civilisation industrielle. Pour lui l'homme n'est pas seulement un problème ; il demeure un mystère. La question de l'homme pose en dernière instance celle de Dieu. Ce livre, qui est un livre sur l'homme, est ainsi, au fond, un livre sur Dieu.
L'homme est un mystère. Il faut le percer, et si tu passes toute une vie à le percer, ne dis pas que tu as perdu ton temps ; j'étudie ce mystère, car je veux être un homme.
Ces lignes, qu'adressait Fiodor Dostoïevski à son frère, le 16 août 1839, l'auteur de ce livre aurait pu les signer. L'homme aujourd'hui est devenu problématique, un procès ouvert. Les sciences de l'homme ne cessent de le disséquer sans parvenir à manifester sa dignité ni sa grandeur. Faut-il se résigner à pareil constat ? Jürgen Moltmann s'y refuse pour sa part. S'il a écrit cet essai, c'est parce qu'il a conscience de la dignité de cet homme problématique. Il ne désespère pas de l'homme de la civilisation industrielle. Pour lui l'homme n'est pas seulement un problème ; il demeure un mystère. La question de l'homme pose en dernière instance celle de Dieu. Ce livre, qui est un livre sur l'homme, est ainsi, au fond, un livre sur Dieu.
Ces lignes, qu'adressait Fiodor Dostoïevski à son frère, le 16 août 1839, l'auteur de ce livre aurait pu les signer. L'homme aujourd'hui est devenu problématique, un procès ouvert. Les sciences de l'homme ne cessent de le disséquer sans parvenir à manifester sa dignité ni sa grandeur. Faut-il se résigner à pareil constat ? Jürgen Moltmann s'y refuse pour sa part. S'il a écrit cet essai, c'est parce qu'il a conscience de la dignité de cet homme problématique. Il ne désespère pas de l'homme de la civilisation industrielle. Pour lui l'homme n'est pas seulement un problème ; il demeure un mystère. La question de l'homme pose en dernière instance celle de Dieu. Ce livre, qui est un livre sur l'homme, est ainsi, au fond, un livre sur Dieu.