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« Histoire de la Mission Timothée »

Histoire du monument de Saint-Martin-du-Fresne, Sébastien Castellion

image Histoire du monument de Saint-Martin-du-Fresne, Sébastien Castellion

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ISBN :
9782354110253
Editeur :
Auteur :
Info :
138 pages - Broché - - Prix 15,00 € Livraison reduite
Thèmes :
Statut :
Neuf
4e de couverture :
Ayant eu vent d'un projet de déplacement du monument dédié à Sébastien Castellion, à Saint-Martin-du-Fresne (Ain), Christian Buiron a poussé la curiosité en menant ses investigations sur l'érection de cette stèle.
Peu de chercheurs se sont intéressés à cet homme essentiel dans ['histoire de la tolérance et de la liberté de conscience, et pourtant presque ignoré depuis le XVIe siècle. Sa curiosité aurait pu être satisfaite après la mise à jour d'un historique rempli de controverses et de débats, flétri par une dégradation en 1942 et rehaussé par une seconde inauguration en 1953.
Mais c'était sans compter sur trois points mystérieux, au détour d'un article du Journal de l'Ain du 13 septembre 1926 : « Les Frères francs-maçons n'auront pas à se fouiller pour couvrir les frais. »
Il fallait donc aller plus loin...
Derrière l'histoire de ce monument à l'aspect austère, se cache une étonnante histoire : celle de la réunion de plusieurs influences. C'est à partir d'une idée émise en 1868 par Edmond Chevrier, écrivain vraisemblablement protestant, qu'un franc-maçon, François-Claudius Sengissen, s'est engagé en 1892 dans ce qui fut un véritable combat pendant plusieurs décennies. Il parvint à imposer ce monument grâce au précieux concours de parlementaires francs-maçons, et d'hommes politiques radicaux-socialistes.
Ferdinand Buisson, auteur d'une remarquable thèse, Sébastien Castellion, sa vie et son œuvre, de passage à Bellegarde-sur-Valserine en 1911, s'est engagé de tout son poids. Agrégé de philosophie, directeur de l'enseignement primaire, il a supervisé la conception des lois sur la laïcité et a été le cofondateur et président de la Ligue des droits de l'homme. Après l'inauguration, en 1927, le prix Nobel de la paix lui sera attribué conjointement avec Ludwig Quidde. Puis Étienne Giran, président de l'Union de libres penseurs et de libres croyants, se range au côté de Buisson. Ils symbolisent le protestantisme libéral.
Francs-maçons, radicaux-socialistes er protestants réussissent en 1926 : ils se retrouvent pour rendre hommage à Sébastien Castellion dont les idées qui dénotaient en son temps, finiront par s'imposer avec la Révolution française et la République laïque.
Ayant eu vent d'un projet de déplacement du monument dédié à Sébastien Castellion, à Saint-Martin-du-Fresne (Ain), Christian Buiron a poussé la curiosité en menant ses investigations sur l'érection de cette stèle.
Peu de chercheurs se sont intéressés à cet homme essentiel dans ['histoire de la tolérance et de la liberté de conscience, et pourtant presque ignoré depuis le XVIe siècle. Sa curiosité aurait pu être satisfaite après la mise à jour d'un historique rempli de controverses et de débats, flétri par une dégradation en 1942 et rehaussé par une seconde inauguration en 1953.
Mais c'était sans compter sur trois points mystérieux, au détour d'un article du Journal de l'Ain du 13 septembre 1926 : « Les Frères francs-maçons n'auront pas à se fouiller pour couvrir les frais. »
Il fallait donc aller plus loin...
Derrière l'histoire de ce monument à l'aspect austère, se cache une étonnante histoire : celle de la réunion de plusieurs influences. C'est à partir d'une idée émise en 1868 par Edmond Chevrier, écrivain vraisemblablement protestant, qu'un franc-maçon, François-Claudius Sengissen, s'est engagé en 1892 dans ce qui fut un véritable combat pendant plusieurs décennies. Il parvint à imposer ce monument grâce au précieux concours de parlementaires francs-maçons, et d'hommes politiques radicaux-socialistes.
Ferdinand Buisson, auteur d'une remarquable thèse, Sébastien Castellion, sa vie et son œuvre, de passage à Bellegarde-sur-Valserine en 1911, s'est engagé de tout son poids. Agrégé de philosophie, directeur de l'enseignement primaire, il a supervisé la conception des lois sur la laïcité et a été le cofondateur et président de la Ligue des droits de l'homme. Après l'inauguration, en 1927, le prix Nobel de la paix lui sera attribué conjointement avec Ludwig Quidde. Puis Étienne Giran, président de l'Union de libres penseurs et de libres croyants, se range au côté de Buisson. Ils symbolisent le protestantisme libéral.
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Histoire du monument de Saint-Martin-du-Fresne, Sébastien Castellion - par Christian BUIRON - Editeur Musnier-Gilbert



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