Ferdinand Buisson
Sous-titre :
Apôtre de l'école laïque
ISBN :
9782011705952
Editeur :
Auteur :
Collection :
Info :
142
pages -
Broché -
1999
-
Prix 11,90 €
Thèmes :
4e de couverture :
Parce qu'enseigner suppose une bonne connaissance des méthodes d'enseignement, mais aussi une solide culture pédagogique, la collection « Portraits d'éducateurs » présente les éducateurs marquants qui, au fil du temps, par leur pensée, leurs textes et leur action contribuent toujours à faire évoluer le dispositif scolaire français et nos conceptions de l'acte pédagogique quotidien.
« Il n'y a plus ni enseignement ni éducation là où il n'y a plus la liberté de la pensée et la sécurité de la parole. Oui n'est pas un homme libre n'est pas un éducateur. Credo d'Église ou credo d'État, c'est également la mort de l'esprit. » - Ferdinand Buisson, Le tempo, 17 septembre 1902.
« Il n'y a plus ni enseignement ni éducation là où il n'y a plus la liberté de la pensée et la sécurité de la parole. Oui n'est pas un homme libre n'est pas un éducateur. Credo d'Église ou credo d'État, c'est également la mort de l'esprit. » - Ferdinand Buisson, Le tempo, 17 septembre 1902.
Parce qu'enseigner suppose une bonne connaissance des méthodes d'enseignement, mais aussi une solide culture pédagogique, la collection « Portraits d'éducateurs » présente les éducateurs marquants qui, au fil du temps, par leur pensée, leurs textes et leur action contribuent toujours à faire évoluer le dispositif scolaire français et nos conceptions de l'acte pédagogique quotidien.
« Il n'y a plus ni enseignement ni éducation là où il n'y a plus la liberté de la pensée et la sécurité de la parole. Oui n'est pas un homme libre n'est pas un éducateur. Credo d'Église ou credo d'État, c'est également la mort de l'esprit. » - Ferdinand Buisson, Le tempo, 17 septembre 1902.
« Il n'y a plus ni enseignement ni éducation là où il n'y a plus la liberté de la pensée et la sécurité de la parole. Oui n'est pas un homme libre n'est pas un éducateur. Credo d'Église ou credo d'État, c'est également la mort de l'esprit. » - Ferdinand Buisson, Le tempo, 17 septembre 1902.