La foi au prix du doute : « Encore 40 jours... » [Poche]
ISBN :
9782710375661
Editeur :
Auteur :
Info :
2015
-
Prix 8,70 €
Thèmes :
Statut :
Neuf
4e de couverture :
Pour Jacques Ellul, l'événement de la foi se distingue radicalement du fait de croire. La croyance, sûre d'elle-même, bavarde et grégaire, fait de Dieu un objet de dévotion. La foi, elle, suppose le doute, un Dieu personnel qui parle, un cœur qui écoute et qui se manifeste à travers le prochain.
Jacques Ellul interpelle les incroyants mais il critique aussi les croyants. Méfiant envers un certain angélisme œcuménique, il récuse la mode aveugle du bouddhisme en Occident et n'épargne pas certaines rigidités de l'islam.
Car seule la foi épurée peut, selon lui, sauver la révélation de la religion. Une réflexion tonique et courageuse qui est aussi comme un bréviaire de l'espérance.
Jacques Ellul interpelle les incroyants mais il critique aussi les croyants. Méfiant envers un certain angélisme œcuménique, il récuse la mode aveugle du bouddhisme en Occident et n'épargne pas certaines rigidités de l'islam.
Car seule la foi épurée peut, selon lui, sauver la révélation de la religion. Une réflexion tonique et courageuse qui est aussi comme un bréviaire de l'espérance.
Pour Jacques Ellul, l'événement de la foi se distingue radicalement du fait de croire. La croyance, sûre d'elle-même, bavarde et grégaire, fait de Dieu un objet de dévotion. La foi, elle, suppose le doute, un Dieu personnel qui parle, un cœur qui écoute et qui se manifeste à travers le prochain.
Jacques Ellul interpelle les incroyants mais il critique aussi les croyants. Méfiant envers un certain angélisme œcuménique, il récuse la mode aveugle du bouddhisme en Occident et n'épargne pas certaines rigidités de l'islam.
Car seule la foi épurée peut, selon lui, sauver la révélation de la religion. Une réflexion tonique et courageuse qui est aussi comme un bréviaire de l'espérance.
Jacques Ellul interpelle les incroyants mais il critique aussi les croyants. Méfiant envers un certain angélisme œcuménique, il récuse la mode aveugle du bouddhisme en Occident et n'épargne pas certaines rigidités de l'islam.
Car seule la foi épurée peut, selon lui, sauver la révélation de la religion. Une réflexion tonique et courageuse qui est aussi comme un bréviaire de l'espérance.