Entre nos mains l'embryon
Sous-titre :
Recherche bioéthique
ISBN :
9782830905878
Editeur :
Auteur :
Collection :
Info :
352
pages -
Broché -
1990
-
Prix 25,50 €
Thèmes :
4e de couverture :
Quel statut faut-il accorder à l'embryon humain in vitro ?
C'est l'une des questions brûlantes que se pose aujourd'hui la bioéthique. L'auteur la reprend en examinant les nouvelles techniques de reproduction ou de procréation artificielle. Il montre, à partir d'une démarche théologique protestante, que l'être humain reçoit une vocation à la liberté et à la maîtrise de la nature. Ce n'est donc pas le côté artificiel de la procréation assistée qui présente des difficultés éthiques, mais la possibilité d'une déshumanisation par le refus de prendre en compte les aspects profondément relationnels de la procréation.
Ecartant les positions vitalistes, l'auteur présente pour le statut de l'embryon une position originale où la relation entre les parents et les embryons in vitro est centrale et détermine le degré de protection qu'on doit lui accorder au moment de prendre une décision concernant sa destinée.
J.-M. Thévoz a obtenu sa licence, puis son doctorat en théologie en 1989 à l'Université de Lausanne. Il est actuellement engagé par la Fondation Louis Jeantet de Médecine pour conduire un projet de recherche « Éthique et thérapie génétique ». Il est secrétaire général de la Société suisse d'éthique biomédicale (SSEB) et membre d'une commission de l'Académie suisse des sciences médicales.
C'est l'une des questions brûlantes que se pose aujourd'hui la bioéthique. L'auteur la reprend en examinant les nouvelles techniques de reproduction ou de procréation artificielle. Il montre, à partir d'une démarche théologique protestante, que l'être humain reçoit une vocation à la liberté et à la maîtrise de la nature. Ce n'est donc pas le côté artificiel de la procréation assistée qui présente des difficultés éthiques, mais la possibilité d'une déshumanisation par le refus de prendre en compte les aspects profondément relationnels de la procréation.
Ecartant les positions vitalistes, l'auteur présente pour le statut de l'embryon une position originale où la relation entre les parents et les embryons in vitro est centrale et détermine le degré de protection qu'on doit lui accorder au moment de prendre une décision concernant sa destinée.
J.-M. Thévoz a obtenu sa licence, puis son doctorat en théologie en 1989 à l'Université de Lausanne. Il est actuellement engagé par la Fondation Louis Jeantet de Médecine pour conduire un projet de recherche « Éthique et thérapie génétique ». Il est secrétaire général de la Société suisse d'éthique biomédicale (SSEB) et membre d'une commission de l'Académie suisse des sciences médicales.
Quel statut faut-il accorder à l'embryon humain in vitro ?
C'est l'une des questions brûlantes que se pose aujourd'hui la bioéthique. L'auteur la reprend en examinant les nouvelles techniques de reproduction ou de procréation artificielle. Il montre, à partir d'une démarche théologique protestante, que l'être humain reçoit une vocation à la liberté et à la maîtrise de la nature. Ce n'est donc pas le côté artificiel de la procréation assistée qui présente des difficultés éthiques, mais la possibilité d'une déshumanisation par le refus de prendre en compte les aspects profondément relationnels de la procréation.
Ecartant les positions vitalistes, l'auteur présente pour le statut de l'embryon une position originale où la relation entre les parents et les embryons in vitro est centrale et détermine le degré de protection qu'on doit lui accorder au moment de prendre une décision concernant sa destinée.
J.-M. Thévoz a obtenu sa licence, puis son doctorat en théologie en 1989 à l'Université de Lausanne. Il est actuellement engagé par la Fondation Louis Jeantet de Médecine pour conduire un projet de recherche « Éthique et thérapie génétique ». Il est secrétaire général de la Société suisse d'éthique biomédicale (SSEB) et membre d'une commission de l'Académie suisse des sciences médicales.
C'est l'une des questions brûlantes que se pose aujourd'hui la bioéthique. L'auteur la reprend en examinant les nouvelles techniques de reproduction ou de procréation artificielle. Il montre, à partir d'une démarche théologique protestante, que l'être humain reçoit une vocation à la liberté et à la maîtrise de la nature. Ce n'est donc pas le côté artificiel de la procréation assistée qui présente des difficultés éthiques, mais la possibilité d'une déshumanisation par le refus de prendre en compte les aspects profondément relationnels de la procréation.
Ecartant les positions vitalistes, l'auteur présente pour le statut de l'embryon une position originale où la relation entre les parents et les embryons in vitro est centrale et détermine le degré de protection qu'on doit lui accorder au moment de prendre une décision concernant sa destinée.
J.-M. Thévoz a obtenu sa licence, puis son doctorat en théologie en 1989 à l'Université de Lausanne. Il est actuellement engagé par la Fondation Louis Jeantet de Médecine pour conduire un projet de recherche « Éthique et thérapie génétique ». Il est secrétaire général de la Société suisse d'éthique biomédicale (SSEB) et membre d'une commission de l'Académie suisse des sciences médicales.