Éloge de la transmission
Sous-titre :
Le maître et l'élève - entretien avec Cécile Ladjali
ISBN :
9782226137623
Editeur :
Auteur :
Info :
150
pages -
Broché -
2003
-
Prix 14,20 €
Thèmes :
4e de couverture :
Dans la préface au petit ouvrage que Cécile Ladjali a réalisé à partir des travaux de ses élèves de seconde sur le thème des "Mythes de la chute" (Murmures, Paris, L'Esprit des péninsules, 2000), G. Steiner écrit : "Avoir rencontré Cécile Ladjali, c'est avoir subi comme un choc de lumière. Chez cette jeune femme, tout est à la fois pudeur et ouverture, intériorité et éclat […] quelle chance ont-ils eu ces lycéens en écoute."
Dans ce dialogue entre une jeune enseignante et un professeur plus que réputé, diffusé sur France Culture, dans l'émission "Cas d'école", G. Steiner revient avec une lucidité et une franchise déconcertantes sur l'indispensable recours aux classiques, à la pratique d'une pédagogie de l'exigence, occasion d'une courtoisie réciproque, du bonheur d'enseigner et de recevoir.
G. Steiner développe des idées fondamentales sur l'éducation et la transmission du savoir. Sa pensée s'enracine toujours dans le souvenir concret de sa propre expérience de professeur. Il fait ainsi l'éloge des sciences, de la philosophie, de la musique, de la grammaire, de la "poésie de la grammaire", des langues vivantes et justifie le primat actuel des mathématiques sur les sciences humaines qui semblent s'abandonner à un verbiage dangereux. Il revient sur la difficulté ontologique des élèves à écrire, ces derniers vivant dans une culture qui est celle de l'oral et de l'image. Il déplore aussi les conséquences dramatiques du bruit sur leur conscience, avant de faire l'éloge du silence et de la musique. Conscient que le ghetto dans lequel s'enferment les élèves est avant tout linguistique, il revient sur la nécessité de solliciter cette préconnaissance qu'ils ont des grands mythes.
Dans ce dialogue entre une jeune enseignante et un professeur plus que réputé, diffusé sur France Culture, dans l'émission "Cas d'école", G. Steiner revient avec une lucidité et une franchise déconcertantes sur l'indispensable recours aux classiques, à la pratique d'une pédagogie de l'exigence, occasion d'une courtoisie réciproque, du bonheur d'enseigner et de recevoir.
G. Steiner développe des idées fondamentales sur l'éducation et la transmission du savoir. Sa pensée s'enracine toujours dans le souvenir concret de sa propre expérience de professeur. Il fait ainsi l'éloge des sciences, de la philosophie, de la musique, de la grammaire, de la "poésie de la grammaire", des langues vivantes et justifie le primat actuel des mathématiques sur les sciences humaines qui semblent s'abandonner à un verbiage dangereux. Il revient sur la difficulté ontologique des élèves à écrire, ces derniers vivant dans une culture qui est celle de l'oral et de l'image. Il déplore aussi les conséquences dramatiques du bruit sur leur conscience, avant de faire l'éloge du silence et de la musique. Conscient que le ghetto dans lequel s'enferment les élèves est avant tout linguistique, il revient sur la nécessité de solliciter cette préconnaissance qu'ils ont des grands mythes.
Dans la préface au petit ouvrage que Cécile Ladjali a réalisé à partir des travaux de ses élèves de seconde sur le thème des "Mythes de la chute" (Murmures, Paris, L'Esprit des péninsules, 2000), G. Steiner écrit : "Avoir rencontré Cécile Ladjali, c'est avoir subi comme un choc de lumière. Chez cette jeune femme, tout est à la fois pudeur et ouverture, intériorité et éclat […] quelle chance ont-ils eu ces lycéens en écoute."
Dans ce dialogue entre une jeune enseignante et un professeur plus que réputé, diffusé sur France Culture, dans l'émission "Cas d'école", G. Steiner revient avec une lucidité et une franchise déconcertantes sur l'indispensable recours aux classiques, à la pratique d'une pédagogie de l'exigence, occasion d'une courtoisie réciproque, du bonheur d'enseigner et de recevoir.
G. Steiner développe des idées fondamentales sur l'éducation et la transmission du savoir. Sa pensée s'enracine toujours dans le souvenir concret de sa propre expérience de professeur. Il fait ainsi l'éloge des sciences, de la philosophie, de la musique, de la grammaire, de la "poésie de la grammaire", des langues vivantes et justifie le primat actuel des mathématiques sur les sciences humaines qui semblent s'abandonner à un verbiage dangereux. Il revient sur la difficulté ontologique des élèves à écrire, ces derniers vivant dans une culture qui est celle de l'oral et de l'image. Il déplore aussi les conséquences dramatiques du bruit sur leur conscience, avant de faire l'éloge du silence et de la musique. Conscient que le ghetto dans lequel s'enferment les élèves est avant tout linguistique, il revient sur la nécessité de solliciter cette préconnaissance qu'ils ont des grands mythes.
Dans ce dialogue entre une jeune enseignante et un professeur plus que réputé, diffusé sur France Culture, dans l'émission "Cas d'école", G. Steiner revient avec une lucidité et une franchise déconcertantes sur l'indispensable recours aux classiques, à la pratique d'une pédagogie de l'exigence, occasion d'une courtoisie réciproque, du bonheur d'enseigner et de recevoir.
G. Steiner développe des idées fondamentales sur l'éducation et la transmission du savoir. Sa pensée s'enracine toujours dans le souvenir concret de sa propre expérience de professeur. Il fait ainsi l'éloge des sciences, de la philosophie, de la musique, de la grammaire, de la "poésie de la grammaire", des langues vivantes et justifie le primat actuel des mathématiques sur les sciences humaines qui semblent s'abandonner à un verbiage dangereux. Il revient sur la difficulté ontologique des élèves à écrire, ces derniers vivant dans une culture qui est celle de l'oral et de l'image. Il déplore aussi les conséquences dramatiques du bruit sur leur conscience, avant de faire l'éloge du silence et de la musique. Conscient que le ghetto dans lequel s'enferment les élèves est avant tout linguistique, il revient sur la nécessité de solliciter cette préconnaissance qu'ils ont des grands mythes.