Étude sur le protestantisme
Sous-titre :
A propos du centenaire de Luther
ISBN :
9782750426958
Editeur :
Auteur :
Info :
72
pages -
Broché -
2010
-
Prix 10,00 €
Thèmes :
4e de couverture :
A l'occasion du centenaire de Luther, on m'engage de divers côtés à détacher de mon cours d'Éloquence sacrée à la Sorbonne trois leçon sur le protestantisme. Je le fais bien volontiers, dans l'intention d'être utile à ceux qui voudraient approfondir ces matières en leur montrant, textes en main, ce qu'ont été l'homme et son œuvre.
C'est le 10 novembre prochain que l'on va célébrer en Allemagne surtout, comme on l'a déjà fait par avance à Erfurth et Wittemberg, la naissance du moine augustin devenu l'un des chefs de la prétendue réforme. Pour ma part, je ne saurais assez dire quelle surprise me fait éprouver une pareille apothéose, étant donné l'esprit de notre temps. A une époque où l'on se plait à exalter outre mesure la raison, la liberté, les forces et la dignité de la nature humaine, c'est chose plus qu'étrange de voir glorifier un homme dont le système doctrinal se réduisait à dire que le libre arbitre est une pure fiction ; que l'homme est impuissant à s'élever vers Dieu par un acte quelconque de son intelligence et de sa volonté ; que nos facultés intellectuelles et morales n'ont pas été seulement affaiblies, mais totalement affaiblies et viciées, mais totalement anéanties par la péché originel.
C'est le 10 novembre prochain que l'on va célébrer en Allemagne surtout, comme on l'a déjà fait par avance à Erfurth et Wittemberg, la naissance du moine augustin devenu l'un des chefs de la prétendue réforme. Pour ma part, je ne saurais assez dire quelle surprise me fait éprouver une pareille apothéose, étant donné l'esprit de notre temps. A une époque où l'on se plait à exalter outre mesure la raison, la liberté, les forces et la dignité de la nature humaine, c'est chose plus qu'étrange de voir glorifier un homme dont le système doctrinal se réduisait à dire que le libre arbitre est une pure fiction ; que l'homme est impuissant à s'élever vers Dieu par un acte quelconque de son intelligence et de sa volonté ; que nos facultés intellectuelles et morales n'ont pas été seulement affaiblies, mais totalement affaiblies et viciées, mais totalement anéanties par la péché originel.
A l'occasion du centenaire de Luther, on m'engage de divers côtés à détacher de mon cours d'Éloquence sacrée à la Sorbonne trois leçon sur le protestantisme. Je le fais bien volontiers, dans l'intention d'être utile à ceux qui voudraient approfondir ces matières en leur montrant, textes en main, ce qu'ont été l'homme et son œuvre.
C'est le 10 novembre prochain que l'on va célébrer en Allemagne surtout, comme on l'a déjà fait par avance à Erfurth et Wittemberg, la naissance du moine augustin devenu l'un des chefs de la prétendue réforme. Pour ma part, je ne saurais assez dire quelle surprise me fait éprouver une pareille apothéose, étant donné l'esprit de notre temps. A une époque où l'on se plait à exalter outre mesure la raison, la liberté, les forces et la dignité de la nature humaine, c'est chose plus qu'étrange de voir glorifier un homme dont le système doctrinal se réduisait à dire que le libre arbitre est une pure fiction ; que l'homme est impuissant à s'élever vers Dieu par un acte quelconque de son intelligence et de sa volonté ; que nos facultés intellectuelles et morales n'ont pas été seulement affaiblies, mais totalement affaiblies et viciées, mais totalement anéanties par la péché originel.
C'est le 10 novembre prochain que l'on va célébrer en Allemagne surtout, comme on l'a déjà fait par avance à Erfurth et Wittemberg, la naissance du moine augustin devenu l'un des chefs de la prétendue réforme. Pour ma part, je ne saurais assez dire quelle surprise me fait éprouver une pareille apothéose, étant donné l'esprit de notre temps. A une époque où l'on se plait à exalter outre mesure la raison, la liberté, les forces et la dignité de la nature humaine, c'est chose plus qu'étrange de voir glorifier un homme dont le système doctrinal se réduisait à dire que le libre arbitre est une pure fiction ; que l'homme est impuissant à s'élever vers Dieu par un acte quelconque de son intelligence et de sa volonté ; que nos facultés intellectuelles et morales n'ont pas été seulement affaiblies, mais totalement affaiblies et viciées, mais totalement anéanties par la péché originel.