De la Parole de Dieu
ISBN :
9782701011929
Editeur :
Auteur :
Info :
72
pages -
1989
-
Prix 18,90 €
Thèmes :
4e de couverture :
Nous sommes en 1522. Les deux disputes de Zürich, qui décident de la réformation dans l'Église de Zürich selon que les historiens s'accordent à le dire, n'ont pas encore eu lieu. Toutefois, la tension monte. Les premiers visés sont les moines, car c'est chez eux que se recrute le noyau résistant de l'Église romaine. De ce nombre sont les moniales du couvent d'Oetenbach près de Zürich. Elles appartiennent au nombre des disciples de Dominique et sont visitées et entretenues dans la bonne doctrine par les moines dominicains, malgré une résistance bien compréhensible dont elles sont l'objet de la part des responsables de leur ordre.
Zwingli avait donc été invité à prêcher au couvent d'Oetenbach. Le sermon qu'il prononça, accompagné des deux préfaces qui sont l'œuvre du réformateur, furent publiés en été 1522. En réalité, le sermon fut publié d'une manière développée, revêtant plutôt la forme d'un traité. Zwingli, selon ce qu'il écrit à ce sujet « l'a prêché comme un fondement sur lequel toute construction doit être construite ».
Ce sermon, ou ce traité, montre quelle était l'atmosphère avant que la réforme fut déclarée dans l'Église Zürichoise. On y voit quel rôle y joue l'Écriture Sainte et son explication et comment l'œuvre du réformateur zürichois s'est développée à partir de sa lecture et de son application.
Ce n'est pas sans émotion que nous faisons paraître cette dernière traduction du Président Jaques Courvoisier qui nous a quittés le 23 août 1988.
La publication de ce nouveau texte de Zwingli constitue un hommage à sa grande intelligence, à ses qualités de cœur, à son amitié envers Beauchesne depuis la publication en 1977 de son ouvrage De la Réforme au Protestantisme. Essai d'ecclésiologie réformée.
Zwingli avait donc été invité à prêcher au couvent d'Oetenbach. Le sermon qu'il prononça, accompagné des deux préfaces qui sont l'œuvre du réformateur, furent publiés en été 1522. En réalité, le sermon fut publié d'une manière développée, revêtant plutôt la forme d'un traité. Zwingli, selon ce qu'il écrit à ce sujet « l'a prêché comme un fondement sur lequel toute construction doit être construite ».
Ce sermon, ou ce traité, montre quelle était l'atmosphère avant que la réforme fut déclarée dans l'Église Zürichoise. On y voit quel rôle y joue l'Écriture Sainte et son explication et comment l'œuvre du réformateur zürichois s'est développée à partir de sa lecture et de son application.
Ce n'est pas sans émotion que nous faisons paraître cette dernière traduction du Président Jaques Courvoisier qui nous a quittés le 23 août 1988.
La publication de ce nouveau texte de Zwingli constitue un hommage à sa grande intelligence, à ses qualités de cœur, à son amitié envers Beauchesne depuis la publication en 1977 de son ouvrage De la Réforme au Protestantisme. Essai d'ecclésiologie réformée.
Nous sommes en 1522. Les deux disputes de Zürich, qui décident de la réformation dans l'Église de Zürich selon que les historiens s'accordent à le dire, n'ont pas encore eu lieu. Toutefois, la tension monte. Les premiers visés sont les moines, car c'est chez eux que se recrute le noyau résistant de l'Église romaine. De ce nombre sont les moniales du couvent d'Oetenbach près de Zürich. Elles appartiennent au nombre des disciples de Dominique et sont visitées et entretenues dans la bonne doctrine par les moines dominicains, malgré une résistance bien compréhensible dont elles sont l'objet de la part des responsables de leur ordre.
Zwingli avait donc été invité à prêcher au couvent d'Oetenbach. Le sermon qu'il prononça, accompagné des deux préfaces qui sont l'œuvre du réformateur, furent publiés en été 1522. En réalité, le sermon fut publié d'une manière développée, revêtant plutôt la forme d'un traité. Zwingli, selon ce qu'il écrit à ce sujet « l'a prêché comme un fondement sur lequel toute construction doit être construite ».
Ce sermon, ou ce traité, montre quelle était l'atmosphère avant que la réforme fut déclarée dans l'Église Zürichoise. On y voit quel rôle y joue l'Écriture Sainte et son explication et comment l'œuvre du réformateur zürichois s'est développée à partir de sa lecture et de son application.
Ce n'est pas sans émotion que nous faisons paraître cette dernière traduction du Président Jaques Courvoisier qui nous a quittés le 23 août 1988.
La publication de ce nouveau texte de Zwingli constitue un hommage à sa grande intelligence, à ses qualités de cœur, à son amitié envers Beauchesne depuis la publication en 1977 de son ouvrage De la Réforme au Protestantisme. Essai d'ecclésiologie réformée.
Zwingli avait donc été invité à prêcher au couvent d'Oetenbach. Le sermon qu'il prononça, accompagné des deux préfaces qui sont l'œuvre du réformateur, furent publiés en été 1522. En réalité, le sermon fut publié d'une manière développée, revêtant plutôt la forme d'un traité. Zwingli, selon ce qu'il écrit à ce sujet « l'a prêché comme un fondement sur lequel toute construction doit être construite ».
Ce sermon, ou ce traité, montre quelle était l'atmosphère avant que la réforme fut déclarée dans l'Église Zürichoise. On y voit quel rôle y joue l'Écriture Sainte et son explication et comment l'œuvre du réformateur zürichois s'est développée à partir de sa lecture et de son application.
Ce n'est pas sans émotion que nous faisons paraître cette dernière traduction du Président Jaques Courvoisier qui nous a quittés le 23 août 1988.
La publication de ce nouveau texte de Zwingli constitue un hommage à sa grande intelligence, à ses qualités de cœur, à son amitié envers Beauchesne depuis la publication en 1977 de son ouvrage De la Réforme au Protestantisme. Essai d'ecclésiologie réformée.