Charles IX devant la Saint-Barthélemy
ISBN :
9782600000901
Editeur :
Auteur :
Collection :
Info :
206
pages -
Broché -
2000
-
Prix 36,04 €
Thèmes :
Statut :
Neuf
4e de couverture :
LE LIVRE
Voici le second volet d'un diptyque, dont L'assassinat de Coligny (Droz, 1992) constituait le premier. On s'hypnotise toujours sur les semaines qui précédèrent le massacre et l'on passe généralement trop vite sur celles qui suivirent. L'après Saint-Barthélemy est donc au cœur de ce nouvel ouvrage. On s'attache à y démontrer, références d'archives à l'appui, comment Charles IX, un instant déstabilisé par un "accident" qu'il n'a nullement voulu, et avec lequel il a dû composer, n'a cessé ensuite de louvoyer pour sauvegarder l'essentiel de sa politique de pacification ; face à la pression conjointe de Madrid et de Rome, il est le défenseur des intérêts de la France. On découvre un Charles IX authentique, homme d'État retors et réaliste, tacticien accompli, passé maître dans l'art de retourner une situation a priori désespérée. On est bien loin des portraits habituels, qu'ils soient au vitriol ou à l'eau de rose.
L'AUTEUR
Jean-Louis Bourgeon, Maître de conférences à l'Université de Paris-Sorbonne (Paris IV) a publié sa thèse sur Les Colbert avant Colbert (P.U.F.). Depuis 1987, à travers une dizaine d'articles et un premier livre sur la Saint-Barthélemy, il s'attache à démasquer les faux-semblants qui ont, dès l'origine, volontairement occulté le sens du massacre de 1572, "drame autant franco-espagnol que franco-français", dont Charles IX fut également la victime.
Voici le second volet d'un diptyque, dont L'assassinat de Coligny (Droz, 1992) constituait le premier. On s'hypnotise toujours sur les semaines qui précédèrent le massacre et l'on passe généralement trop vite sur celles qui suivirent. L'après Saint-Barthélemy est donc au cœur de ce nouvel ouvrage. On s'attache à y démontrer, références d'archives à l'appui, comment Charles IX, un instant déstabilisé par un "accident" qu'il n'a nullement voulu, et avec lequel il a dû composer, n'a cessé ensuite de louvoyer pour sauvegarder l'essentiel de sa politique de pacification ; face à la pression conjointe de Madrid et de Rome, il est le défenseur des intérêts de la France. On découvre un Charles IX authentique, homme d'État retors et réaliste, tacticien accompli, passé maître dans l'art de retourner une situation a priori désespérée. On est bien loin des portraits habituels, qu'ils soient au vitriol ou à l'eau de rose.
L'AUTEUR
Jean-Louis Bourgeon, Maître de conférences à l'Université de Paris-Sorbonne (Paris IV) a publié sa thèse sur Les Colbert avant Colbert (P.U.F.). Depuis 1987, à travers une dizaine d'articles et un premier livre sur la Saint-Barthélemy, il s'attache à démasquer les faux-semblants qui ont, dès l'origine, volontairement occulté le sens du massacre de 1572, "drame autant franco-espagnol que franco-français", dont Charles IX fut également la victime.
LE LIVRE
Voici le second volet d'un diptyque, dont L'assassinat de Coligny (Droz, 1992) constituait le premier. On s'hypnotise toujours sur les semaines qui précédèrent le massacre et l'on passe généralement trop vite sur celles qui suivirent. L'après Saint-Barthélemy est donc au cœur de ce nouvel ouvrage. On s'attache à y démontrer, références d'archives à l'appui, comment Charles IX, un instant déstabilisé par un "accident" qu'il n'a nullement voulu, et avec lequel il a dû composer, n'a cessé ensuite de louvoyer pour sauvegarder l'essentiel de sa politique de pacification ; face à la pression conjointe de Madrid et de Rome, il est le défenseur des intérêts de la France. On découvre un Charles IX authentique, homme d'État retors et réaliste, tacticien accompli, passé maître dans l'art de retourner une situation a priori désespérée. On est bien loin des portraits habituels, qu'ils soient au vitriol ou à l'eau de rose.
L'AUTEUR
Jean-Louis Bourgeon, Maître de conférences à l'Université de Paris-Sorbonne (Paris IV) a publié sa thèse sur Les Colbert avant Colbert (P.U.F.). Depuis 1987, à travers une dizaine d'articles et un premier livre sur la Saint-Barthélemy, il s'attache à démasquer les faux-semblants qui ont, dès l'origine, volontairement occulté le sens du massacre de 1572, "drame autant franco-espagnol que franco-français", dont Charles IX fut également la victime.
Voici le second volet d'un diptyque, dont L'assassinat de Coligny (Droz, 1992) constituait le premier. On s'hypnotise toujours sur les semaines qui précédèrent le massacre et l'on passe généralement trop vite sur celles qui suivirent. L'après Saint-Barthélemy est donc au cœur de ce nouvel ouvrage. On s'attache à y démontrer, références d'archives à l'appui, comment Charles IX, un instant déstabilisé par un "accident" qu'il n'a nullement voulu, et avec lequel il a dû composer, n'a cessé ensuite de louvoyer pour sauvegarder l'essentiel de sa politique de pacification ; face à la pression conjointe de Madrid et de Rome, il est le défenseur des intérêts de la France. On découvre un Charles IX authentique, homme d'État retors et réaliste, tacticien accompli, passé maître dans l'art de retourner une situation a priori désespérée. On est bien loin des portraits habituels, qu'ils soient au vitriol ou à l'eau de rose.
L'AUTEUR
Jean-Louis Bourgeon, Maître de conférences à l'Université de Paris-Sorbonne (Paris IV) a publié sa thèse sur Les Colbert avant Colbert (P.U.F.). Depuis 1987, à travers une dizaine d'articles et un premier livre sur la Saint-Barthélemy, il s'attache à démasquer les faux-semblants qui ont, dès l'origine, volontairement occulté le sens du massacre de 1572, "drame autant franco-espagnol que franco-français", dont Charles IX fut également la victime.
Avis :
L’on connaît les thèses opposées sur le rôle des Guises, de Charles IX, de Catherine de Médicis, du duc d’Albe et de l’Espagne dans l’organisation de la Saint-Barthélemy. Après son Assassinat de Coligny (dans la même collection, vol. 51), Jean-Louis Bourgeon revient de manière définitive sur le rôle du roi de France, disculpant à jamais Charles IX de la préméditation du massacre.
L’on connaît les thèses opposées sur le rôle des Guises, de Charles IX, de Catherine de Médicis, du duc d’Albe et de l’Espagne dans l’organisation de la Saint-Barthélemy. Après son Assassinat de Coligny (dans la même collection, vol. 51), Jean-Louis Bourgeon revient de manière définitive sur le rôle du roi de France, disculpant à jamais Charles IX de la préméditation du massacre.